La Rochegiron

Faisait partie du diocèse de Sisteron et de la viguerie de Forcalquier, aujourd’hui dans le canton de Banon. La commune, de 3011 hectares, s’étire sur les pentes sud de la montagne de Lure au nord de la commune de Banon. Les principaux habitats sont situés au sud du territoire à l’altitude moyenne de 800-900 mètres, alors que l’extrémité nord parvient au sommet de la montagne qui est franchit par le Col de la Roche (1314 m). Malgré son étendue la commune n’a jamais dépassé les 325 habitants (1851).

397. L’église Saint-Jean à Vière

Le nom de La Rochegiron apparaît avec l’église quand celle-ci est citée en 1274, ecclesia de Rochagiron (Pouillés, p. 116). Le GCN, au XIVe siècle, la fait dépendre du monastère de Ganagobie avec un prior de Rocha Gironis (GCN I, Inst. col. 472). Elle était sous le titre de saint Jean et située au lieu-dit nommé aujourd’hui Vière, village formé lors de l’enchâtellement. Une visite pastorale du 18 juin 1859 la cite comme chapelle rurale et comme étant l’église anciennement paroissiale de l’ancien village, nous n’avons pu la visiter, la toiture exigerait des réparations urgentes. Encore citée en 1863 et 1866, elle est déclarée interdite en 1871 (2 V 86). R. Collier décrit ainsi ce qui subsiste de cette église : son état de ruine provient surtout de ce que l’on y a puisé des pierres pour le cimetière attenant. Il subsiste principalement le chœur à chevet plat, avec un arc triomphal à double rouleau, à impostes à méplat et quart-de-rond et le clocher-tour, en moellon avec chainages d’angle, portant la date de 1559. Le choeur, en assez joli appareil, indique la fin du XIIe siècle (p. 143-144).

398. Eglise du Saint-Nom de Jésus

Cette église est située près du hameau du Jonquet et on fait remonter sa construction au XVIIIe siècle. C’est ce que fait constater R. Collier : l’église ayant pour patron saint Pancrace et pour titulaire le Saint Nom de Jésus, porte diverses dates : 1890 (porte d’entrée), 1884 (clocher-tour collé contre l’abside), 1717 (pierre d’angle à l’extérieur). Cette église possède une nef de deux travées à lourdes voûtes d’arêtes, et portant sur d’épais massifs formant pilastres. Le chœur est une grande travée carrée à voûte d’arêtes et dont la partie antérieure s’incurve en abside, peut-être vestige d’une église précédente (p. 222-223). L’inventaire du 12 mars 1906 apporte d’autres précisions : l’église située au lieu-dit « la chapelle » provient de l’ancienne chapelle construite en 1717 qui a formé la nef. Le clocher et le chœur ont été construits par la commune et sont d’origine beaucoup plus récente (1 V 67). D’après ces données, il apparaît que cette église a été construite sur une chapelle portant la date de 1717, mais R. Collier pense qu’elle peut avoir été élevée sur une autre plus ancienne. Son orientation à 45° n’incite pas à la dater de la période romane. C’est près d’elle qu’est situé le cimetière de la paroisse après l’abandon de celui de l’église de Vière.

399. Eglise Saint-Pancrace

C’est la deuxième église de la paroisse et est située dans le village. Elle est dédiée à saint Pancrace. Féraud ajoute qu’elle porte le millésime de 1517. Nos renseignements s’arrêtent là.

400. Chapelle Saint-Pancrace

Le patron attesté de la paroisse est saint Pancrace. Or, il existe tout au sud de la commune un hameau appelé St-Pancrace. Si le cadastre napoléonien de 1839 et les cartes modernes ne signalent aucun édifice, par contre la carte de Cassini indique une chapelle en état dans le hameau du même nom. Le fait que ce saint soit le patron de la paroisse indique son antériorité sur les autres. Il se pourrait qu’il soit le saint le premier vénéré. C’est un cas « classique » de garder comme protecteur le titulaire de la première paroisse.

À propos de l’auteur : Daniel Thiéry source https://delfabbro.fr/index.php?option=com_content&view=article&id=264:la-rochegiron&catid=14:notices-communales-04&Itemid=131 )


Ruines de l’église de Vière

Au-dessus du village, la tour d’un moulin à vent de 1806 est encore debout.

L’église du Saint-Nom-de-Jésus a été construite par le curé au XVIIIe siècle, tandis que l’église Saint-Pancrace (1717) recèle une abside en cul-de-four.

Un oratoire de 1677 a été construit contre un puits placé dans un édicule

Les ruines du village Vières sont un des éléments remarquables de la commune. L’église est construite à la fin du XIIe siècle, et remaniée en 1559 ; il en subsiste le chœur à chevet plat et la tour du clocher, et une partie du mur sud.

Véronique PAGNIER

La confirmation


Là où certains parlent de ‘‘Confirmation’’, d’autres parlent de ‘‘Chrismation’’. Ce second terme est plus adapté pour nous aider à comprendre de quoi il est question.

Le don de l’Esprit Saint est le grand don promis par Dieu par l’intermédiaire des Prophètes. Jésus est vu par Jean-Baptiste comme celui sur qui l’Esprit descend et repose. Jésus lui-même annonce qu’après être monté au Ciel auprès du Père, il enverra l’Esprit Saint. L’événement de la Pentecôte (Actes 2,1-4) manifeste la réalisation de ce don.

Désormais, l’Esprit Saint n’est plus seulement attendu, il est donné et reçu. Les apôtres vont transmettre ce don jusqu’à nos jours. Le sacrement de Confirmation est l’événement de la Pentecôte aujourd’hui pour le baptisé qui le reçoit.

‘‘Confirmation’’ veut dire que Dieu confirme, c’est-à-dire ‘‘rend ferme’’, le don qu’il a initié au baptême. C’est pour mieux marquer le lien à la Pentecôte que l’Église latine a réservé à l’Évêque le soin de donner le sacrement de Confirmation. En recevant le sacrement de Confirmation, le baptisé consent à être fortifié par la puissance de l’Esprit Saint afin de vivre l’Évangile dans toute sa profondeur.

Qui peut être confirmé ?

Tout baptisé, quelque soit l’âge. Une préparation adaptée s’adresse aux plus jeunes ou aux adultes. N’hésitez-pas   à nous demander.



La 1ère communion

Le grand désir de Dieu est d’entrer en relation avec l’être humain et de venir demeurer chez lui. Cette rencontre peut se faire de multiples manières. Il y a aussi bien des manières pour Dieu de venir demeurer chez nous. Il en est une qu’il a particulièrement souhaitée : que nous le recevions comme nourriture, pour vivre de sa vie, aimer comme lui. D’où l’importance de bien préparer sa « première communion ».

Faire sa première communion

Jésus a voulu laisser le « signe » de son amour et de sa vie donnés. Il a voulu communiquer sa force d’amour. Il l’a rendu possible par le don de son corps et de son sang comme « vraie nourriture » et « vraie boisson », dans l’eucharistie (encore appelée la Messe).

Qui peut faire sa première communion ?

 Communier suppose d’être baptisé(e), c’est-à-dire d’être entré(e) dans la famille des enfants de Dieu par le baptême. Communier suppose aussi de vouloir vivre en amitié avec le Christ, selon son Évangile, et dans toute sa vie. (Faire sa première communion n’est donc pas un simple rite social, encore moins une conclusion du catéchisme).

L’enfant doit lui-même le vouloir, et ses parents eux-mêmes doivent soutenir leur enfant en s’intéressant à son cheminement et en l’aidant à aller à la messe et à vivre selon l’Évangile.

Aujourd’hui, beaucoup d’adultes qui demandent à être baptisés, sont également préparés à faire leur première communion. Des adultes, baptisés mais n’ayant pas fait leur première communion, demandent également à la faire. Mais depuis longtemps, l’Église considère que les enfants qui vivent déjà chrétiennement et qui participent à la Messe régulièrement, peuvent communier, moyennant une bonne préparation.

Comment se préparer à faire sa première communion ?

Les adultes se préparent dans le cadre du ”catéchuménat”. La paroisse prépare aussi les enfants à leur première communion, dans le cadre du catéchisme, dans leur année de CM1 (environ 9/10 ans). La première communion se fait après deux ans de catéchisme.

L’eucharistie

L’Eucharistie est « source et sommet de toute la vie chrétienne »

Signification

Eucharistie signifie en grec action de grâce : 
Louange, action de grâce rendue à Dieu. Chez les chrétiens, et plus précisément chez les catholiques, l’Eucharistie est la célébration du sacrifice du corps et du sang de Jésus-Christ présent sous les espèces du pain et du vin.

Tout le monde peut-il communier ?

Des baptisés participent à la messe sans pouvoir communier : des personnes qui n’ont pas fait leur première communion, d’autres qui ne se sont pas confessées depuis plus d’un an, d’autres dont la situation personnelle est objectivement contraire à l’Évangile sur un point important. Dans l’attente de pouvoir rentrer à nouveau dans la plénitude de la grâce de Dieu, ce passage de l’Évangile peut éclairer : « N’empêchez pas les enfants de venir à moi. Celui qui n’accueille pas le royaume de Dieu à la manière d’un enfant n’y entrera pas. Et Jésus serrait dans ses bras les petits enfants et les bénissait en leur imposant les mains ». (Marc 10, 14, 16)

Qu’est-ce qui nous est demandé là ? De croire de toute notre âme que Dieu notre Père est bon. De croire de toute notre âme que le chemin qu’il nous montre par le Christ et l’Esprit est juste et bon.

Si vous ne pouvez pas communier parce qu’un obstacle vous en empêche pour le moment, laissez cependant le Christ vous prendre dans ses bras. Approchez-vous dans la procession de communion, les bras croisés sur les épaules pour exprimer votre accord avec Jésus et l’Église sur ce qu’ils nous demandent, votre volonté de conversion, votre amour pour Jésus et l’Église et pour recevoir, non le Corps du Seigneur, mais cette petite croix de bénédiction qui vous dit que l’Église vous porte en votre chemin.

La confession

Dieu aime les hommes sans limite et désire avoir une relation personnelle avec chacun d’eux : c’est sur cette certitude que repose la foi chrétienne. Ce qui coupe de cette relation de confiance et d’amour, c’est l’égoïsme, l’orgueil, la jalousie… Le sacrement de réconciliation permet de restaurer cette relation.

Les annonces paroissiales

  • Les horaires de messe du mois de juin

    Le dimanche, messe à Banon à 9h30, et à St Étienne les Orgues à 11h00, sauf cas particulier (voir ci-dessous)

    ATTENTION, MESSES DE JEUDI 12 ET VENDREDI 13 MODIFIEES

    Jeudi la messe de 9h00 est déplacée à 18h00

    vendredi la messe de 18h00 est avancée à 9h00, suivie de l’adoration eucharistique

  • mardi 24 juin 2025

    Redortiers le Contadour

  • PAPE LÉON XIV

    élu le jeudi 8 mai 2025

    Robert Prevost, un missionnaire Américain au profil atypique, devient Léon XIV

    Il a été élu pape le 8 mai et se fera appeler Léon XIV. Le cardinal Robert Francis Prevost, 70 ans, américain de Chicago et missionnaire dans les Andes, offre un parcours singulier. Désigné par le pape François en 2023 pour diriger le dicastère chargé de sélectionner les évêques du monde, c’est un profil atypique, marqué par son expérience de terrain et ses convictions pastorales.

    « Que la paix soit avec vous tous », a déclaré le 267e souverain pontife, âgé de 69 ans, devant la foule réunie pour sa première bénédiction. Le nouveau pape a lancé un « appel de paix » à « tous les peuples ».

    Premier pape américain de l’histoire. Discret et réservé, ce proche collaborateur de l’ancien pape François a la réputation au sein de la Curie, le gouvernement du Vatican, d’être un modéré capable de concilier des points de vue divergents. Robert Francis Prevost était depuis 2023 le préfet du puissant Dicastère des évêques, chargé de nommer les évêques du monde entier. Il a passé des années en tant que missionnaire au Pérou et est l’archevêque-évêque émérite de Chiclayo dans ce pays d’Amérique du Sud. Il est également président de la Commission pontificale pour l’Amérique latine.

    Prevost, né d’un père français, catéchiste dans sa paroisse et d’une mère italienne, est réputé être le plus «latino» des Américains. Sa biographie révèle, de fait, un parcours atypique et cosmopolite. Le nouveau pape est né à Chicago et a grandi aux Etats-Unis. Formé à l‘université de Philadelphie en mathématiques et en philosophie, il a été ordonné prêtre en 1982 puis a étudié à Rome jusqu’en 1987 et soutenu une thèse en droit canonique (le droit interne à l‘Eglise catholique), à l‘Angelicum, l‘université romaine de l‘ordre des Dominicains.

    https://youtu.be/RwM6iay5s3w?si=1YkxbaH07GDcZwqx

    Avant la bénédiction, le nouveau Pape a adressé les paroles suivantes aux fidèles :

    Paroles du Saint-Père

    Que la paix soit avec vous tous !

    Chers frères et sœurs, c’est la première salutation du Christ ressuscité, le Bon Pasteur qui a donné sa vie pour le troupeau de Dieu. Je voudrais moi aussi que ce salut de paix entre dans vos cœurs, qu’il parvienne à vos familles, à tous les hommes, où qu’ils soient, à tous les peuples, à la terre entière. Que la paix soit avec vous !

    C’est la paix du Christ ressuscité, une paix désarmée et une paix désarmante, humble et persévérante. Cela vient de Dieu, Dieu qui nous aime tous inconditionnellement. Nous gardons encore dans nos oreilles cette voix faible mais toujours courageuse du Pape François bénissant Rome !

    Le Pape qui a béni Rome a donné sa bénédiction au monde, au monde entier, ce matin de Pâques. Permettez-moi de poursuivre sur cette même bénédiction : Dieu nous aime, Dieu vous aime tous et le mal ne prévaudra pas ! Nous sommes tous entre les mains de Dieu. C’est pourquoi, sans crainte, unis la main dans la main avec Dieu et les uns avec les autres, avançons. Nous sommes disciples du Christ. Le Christ nous précède. Le monde a besoin de sa lumière. L’humanité a besoin de Lui comme pont vers lequel Dieu et son amour peuvent tendre. Aidez-nous aussi, et ensuite les uns les autres, à construire des ponts, par le dialogue, par les rencontres, nous unissant tous pour être un seul peuple toujours en paix. Merci au Pape François !

    Je voudrais également remercier tous mes frères cardinaux qui m’ont choisi pour être le Successeur de Pierre et pour marcher avec vous, comme une Église unie, toujours à la recherche de la paix, de la justice, cherchant toujours à travailler comme des hommes et des femmes fidèles à Jésus-Christ, sans peur, pour annoncer l’Évangile, pour être missionnaires.

    Je suis fils de saint Augustin, augustinien, qui disait : « avec vous je suis chrétien et pour vous évêque ». En ce sens, nous pouvons tous marcher ensemble vers la patrie que Dieu nous a préparée.

    Un salut spécial à l’Église de Rome ! Nous devons chercher ensemble comment être une Église missionnaire, une Église qui construit des ponts, qui dialogue, toujours ouverte à recevoir comme cette place à bras ouverts. Tous ceux qui ont besoin de notre charité, de notre présence, de notre dialogue et de notre amour.

    Et si vous me le permettez aussi, un mot, un salut à tous et de manière particulière à mon bien-aimé diocèse de Chiclayo, au Pérou, où une communauté fidèle a accompagné son évêque, a partagé sa foi et a donné beaucoup, beaucoup pour suivre l’Église du fils de Jésus-Christ.

    Et si vous me permettez un mot, un salut à tous et spécialement à mon cher diocèse de Chiclayo, au Pérou, où un peuple fidèle a accompagné son évêque, a partagé sa foi et a donné beaucoup, beaucoup pour continuer à être une Église fidèle de Jésus-Christ.

    À vous tous, frères et sœurs de Rome, d’Italie, du monde entier, nous voulons être une Église synodale, une Église qui marche, une Église qui cherche toujours la paix, qui cherche toujours la charité, qui cherche toujours à être proche surtout de ceux qui souffrent.

    Aujourd’hui c’est le jour de la Supplication à Notre-Dame de Pompéi. Notre Mère Marie veut toujours marcher avec nous, être proche de nous, nous aider par son intercession et son amour.

    Alors j’aimerais prier avec vous. Prions ensemble pour cette nouvelle mission, pour toute l’Église, pour la paix dans le monde et demandons cette grâce particulière à Marie, notre Mère.

    Je vous salue Marie…

  • Le pape François a rejoint le Père

    Ce matin, à 7h35, l’évêque de Rome, François, est retourné à la maison du Père.

    Son éminence, le cardinal Farrell, a annoncé avec tristesse la mort du Pape François, en ces termes : «Chers frères et sœurs, c’est avec une profonde tristesse que je dois vous annoncer la mort de notre Saint Père François. Ce matin, à 7h35, l’évêque de Rome, François, est retourné à la maison du Père. Toute sa vie a été consacrée au service du Seigneur et de son Église. Il nous a appris à vivre les valeurs de l’Évangile avec fidélité, courage et amour universel, en particulier en faveur des plus pauvres et des plus marginalisés. Avec une immense gratitude pour son exemple de véritable disciple du Seigneur Jésus, nous confions l’âme du Pape François à l’amour infiniment miséricordieux du Dieu trinitaire». (Vatican News-21/4/2025)

    QUE NOS PRIÈRES L’ACCOMPAGNENT, et que nous rendions grâces pour sa foi, et son esprit de service qu’il a tenu jusqu’au bout.

    https://www.youtube.com/watch?v=YVtjQGWHoE4

    Chers diocésains,

    en communion avec l’église universelle, tout notre diocèse est dans la tristesse, mais aussi dans l’espérance. Notre bien-aimé Pape François est mort comme il a vécu : en donnant sa vie, pour le Christ, pour son église, pour nous ! Il était passionné par Jésus et passionné par les gens au point qu’il se nourrissait du contact avec Dieu mais aussi du contact avec les gens. Tout au long de son ministère il a eu à cœur de rencontrer, en particulier les plus pauvres et les plus fragiles. Je reçois depuis ce matin des témoignages bouleversants de personnes qui ont été touchés par lui, par son souci des pauvres, de la création. Prions pour lui, prions pour son successeur. Notre espérance, que le saint père à choisi comme thème de l’année jubilaire, demeure intacte. Il est fidèle celui qui nous appelle, le Christ et Seigneur, c’est lui qui garde son Église. Oui soyons des pèlerins de cette espérance qui ne déçoit pas. Il est ressuscité ! Qu’il entraîne le pape Francois dans son mystère Pascal. Une veillée de prière sera célébrée pour lui ce soir lundi 21 avril à 20h dans la cathédrale Notre Dame du Bourg. Soyez assuré de ma prière et de ma bénédiction

    +Emmanuel Gobilliard, évêque de Digne

    Une  veillée de prières diocésaine est organisée ce lundi 21 avril 2025 à 20h dans la cathédrale Notre-Dame du Bourg à Digne, autour de notre évêque.

    https://www.francetvinfo.fr/monde/vatican/pape-francois/le-pape-francois-artisan-de-la-modernisation-de-l-eglise-catholique-est-mort-a-l-age-de-88-ans_4734485.html?utm_source=firefox-newtab-fr-fr

  • Avril 2025, Le DENIER DE L’ÉGLISE

    Message de notre évêque Mgr Gobilliard :