Procession chantée
![](https://paroissemontagnedelure.fr/wp-content/uploads/2024/07/Suzelle-2-6-1024x768.jpeg)
![](https://paroissemontagnedelure.fr/wp-content/uploads/2024/07/Suzelle-3-7-1024x768.jpeg)
![](https://paroissemontagnedelure.fr/wp-content/uploads/2024/07/Suzelle-4-5-1024x768.jpeg)
![](https://paroissemontagnedelure.fr/wp-content/uploads/2024/07/Suzelle-5-7-1024x768.jpeg)
Messe
![](https://paroissemontagnedelure.fr/wp-content/uploads/2024/07/Suzelle-8-5-768x1024.jpeg)
![](https://paroissemontagnedelure.fr/wp-content/uploads/2024/07/Suzelle-9-4-768x1024.jpeg)
![](https://paroissemontagnedelure.fr/wp-content/uploads/2024/07/Suzelle-10-5-768x1024.jpeg)
![](https://paroissemontagnedelure.fr/wp-content/uploads/2024/07/Suzelle-11-3-768x1024.jpeg)
![](https://paroissemontagnedelure.fr/wp-content/uploads/2024/07/Suzelle-12-3-768x1024.jpeg)
![](https://paroissemontagnedelure.fr/wp-content/uploads/2024/07/Suzelle-14-1-768x1024.jpeg)
![](https://paroissemontagnedelure.fr/wp-content/uploads/2024/07/Suzelle-26-1-768x1024.jpeg)
![](https://paroissemontagnedelure.fr/wp-content/uploads/2024/07/Suzelle-28-1-768x1024.jpeg)
![](https://paroissemontagnedelure.fr/wp-content/uploads/2024/07/Suzelle-27-1-1024x768.jpeg)
![](https://paroissemontagnedelure.fr/wp-content/uploads/2024/07/Suzelle-29-1024x768.jpeg)
![](https://paroissemontagnedelure.fr/wp-content/uploads/2024/07/Suzelle-30-1024x768.jpeg)
![](https://paroissemontagnedelure.fr/wp-content/uploads/2024/07/Suzelle-31-1024x768.jpeg)
![](https://paroissemontagnedelure.fr/wp-content/uploads/2024/07/Suzelle-6-4-1024x576.jpeg)
![](https://paroissemontagnedelure.fr/wp-content/uploads/2024/07/Suzelle-7-6-1024x768.jpeg)
![](https://paroissemontagnedelure.fr/wp-content/uploads/2024/07/Suzelle-24-1-1024x768.jpeg)
![](https://paroissemontagnedelure.fr/wp-content/uploads/2024/07/Suzelle-25-1024x768.jpeg)
![](https://paroissemontagnedelure.fr/wp-content/uploads/2024/07/Suzelle-23-1-1024x768.jpeg)
Paroisse de la Montagne de Lure
Le Christ est vivant et Il vous veut vivants !
Procession chantée
Messe
ATTENTION:
DIMANCHE 21 JUILLET, MESSE UNIQUE DE SECTEUR à CRUIS
ATTENTION
La messe anticipée du samedi 17 aout avait été annoncée à LA ROCHEGIRON, elle sera célébrée à L’HOSPITALET
DIMANCHE 18 AOUT, MESSE UNIQUE DE SECTEUR A BANON
Et le père Barthélémy y participe !
Lundi 8 juillet
Mardi 9 juillet
Vélo fatigué, mais le père Barthélémy tient la barre !
Même Mgr Gobilliard a pédalé sur les chemins avec les jeunes du pélé VTT
Rendez-vous à 10h00 pour prier le Rosaire, puis partager la messe.
Tout d’abord une procession dans les rues du village
Puis le père Barthélémy a célébré la messe, et baptisant aussi une petite fille
Et c’est le temps de discuter et de partager un moment convivial.
Comme chaque année la traditionnelle messe au Contadour
Puis le repas dans la salle municipale et le feu par dessus lequel la tradition veut que l’on saute
C’est le 27 juin 1964 que le père Yves Clouet d’Orval a été ordonné prêtre en la cathédrale Notre Dame de Paris.
Pour le fêter, ainsi que ces nombreuses années au service du Christ et de l’Église, les paroissiens et habitants de Fontienne où il réside, ont tenu à se rassembler pour une messe d’action de grâce et pour un apéritif dinatoire amical.
Monseigneur Gobilliard a tenu à être présent aussi, pour entourer le père Yves, en compagnie du Père Barthélémy Zagré, curé de la paroisse, du père Charles curé de Forcalquier et du père Barthélémy, vicaire à Forcalquier.
Lors de la messe le Saint Sacrement a été introduit dans l’église.
Rencontre avec les deux conseils paroissiaux.
Le père Yves Clouet d’Orval réside à Fontienne dans le secteur paroissial. Le 27 juin 2024 il fêtera 60 ans de sacerdoce.
La paroisse le fêtera le samedi 29 juin lors de la messe de 18h00 à Fontienne.
Dernière étape, à Mallefougasse, en compagnie du Conseil épiscopal.
Rencontre avec le maire et quelques habitants
Un programme riche et varié à la rencontre des réalités du territoire ! Retrouvez les photos de chaque jour, de chaque visite :
Une entreprise qui reconstitue des dinosaures à partir d’ossements fossilisés.
Mgr Gobilliard a aussi rendu visite à l’association de défense des Chauves-Souris https://www.gcprovence.org/
Messe à 9h00
Visite de l’entreprise Leblanc
Visite du Garage
Visite à la mairie, où Michèle Moutte, maire de Banon, montre le cadastre ancien de la commune.
Marie et Thierry Souetre ont souhaité réinstaller une vierge dans la niche existante à l’angle du btiment des Voyageurs, rue Bourgade à Banon. Cette statue a été bénie par Monseigneur Gobilliard lors de sa visite pastorale.
Église
La Commanderie
A la mairie
Au presbytère préparé pour accueillir notre évêque
Puis à l’église
En compagnie de paroissiens et d’un spécialiste visite de Notre Dame de Lure, actuellement en travaux.
Suite de la visite pastorale !
9h00, Messe à Notre Dame de l’Ortiguière
Retrouvez des photos du site :https://www.mairie-revestdubion.fr/notre-dame-de-lortiguiere/ et https://paroissemontagnedelure.fr/rendez-vous-le-12-juin-2022-a-notre-dame-de-lortiguiere/
A la rencontre des résidents, Mgr Gobilliard a tenu à rendre visite à chacun, et célébrer ensuite la messe, en compagnie des bénévoles qui prennent soin des personnes qui habitent à l’Ehpad de Banon
Après la messe de 18h00, le père Barthélémy a béni le tableau du Sacré-Coeur de Jésus en prévision de la journée d’adoration du vendredi 7 juin.
Belle occasion pour immortaliser l’assemblée.
Journée d’adoration à l’église de Banon, de 9h00 à 18h00
La dévotion au Sacré-Cœur de Jésus a toujours constitué un aspect important de la spiritualité catholique, nourrie et soulignée par divers papes tout au long de l’histoire. Ces documents pontificaux ont apporté des éclairages théologiques et des conseils spirituels aux fidèles.
En 1899, le pape Léon XIII a publié l’encyclique Annum Sacrum, consacrant le monde entier au Sacré-Cœur de Jésus. Ce document souligne que la dévotion est essentielle pour renforcer la foi et la charité parmi les croyants. Léon XIII a souligné que le Sacré-Cœur était le symbole de l’amour illimité du Christ et une source de grâce et de miséricorde pour l’humanité. La consécration mondiale a été considérée comme un acte significatif pour relever les défis spirituels de l’époque et renouveler la vie chrétienne.
Dans son encyclique Miserentissimus Redemptor de 1928, le pape Pie XI s’est penché sur le thème de la réparation au Sacré-Cœur de Jésus. Il a souligné la nécessité pour les fidèles d’accomplir des actes de réparation pour les péchés de l’humanité, qui ont profondément blessé le Cœur du Christ. Pie XI a souligné que la dévotion au Sacré-Cœur n’est pas seulement une expression d’amour et de gratitude, mais aussi un moyen de participer activement à la rédemption par des actes de pénitence et de réparation. Cette encyclique est un appel à combattre le sécularisme et l’éloignement de la foi par une dévotion plus profonde et engagée.
En 1956, le pape Pie XII a publié Haurietis Aquas, une profonde réflexion théologique sur le Sacré-Cœur de Jésus. Pie XII a approfondi les fondements bibliques et théologiques de la dévotion, présentant le Sacré-Cœur comme le symbole ultime de l’amour rédempteur du Christ pour l’humanité. L’encyclique explique comment cette dévotion est enracinée dans l’Écriture et la tradition de l’Église et encourage les fidèles à la pratiquer avec ferveur et constance. Pie XII considérait cette dévotion comme une source de renouveau spirituel et de force pour faire face aux défis du monde moderne.
La prochaine exhortation du pape François devrait s’appuyer sur cette riche tradition, en proposant des réflexions et des conseils contemporains sur la vénération du Sacré-Cœur de Jésus.
comme tous les 1ers samedis du mois, rendez-vous à Notre Dame des Anges, pour prier Marie, et vivre l’Eucharistie.
L’équipe d’aumônerie a profité des ces rendez-vous pour se retrouver en pélerinage !
ce bon temps s’est poursuivi par un bon pique nique.
Rendez-vous le 6 juillet !
9h00, dans la cour du presbytère de Banon, en présence de Mgr Gobilliard.
Puis les courageux ont entamé l’ascension, rythmée par des pauses spirituelles
Pendant ce temps des bénévoles installaient de quoi célébrer la messe.
Monseigneur Gobilliard a reçu un cadeau de Fabienne Bonnefoy, et de l’Atelier du Secours Catholique
La chasuble brodée avec la carte des doyennés du diocèse.
Puis nous sommes tous montés jusqu’au pied de la croix qui domine le Grou de Bane et tout le Pays de Banon, pour une bénédiction générale.
Messe célébrée par Monseigneur Gobilliard, pour l’inauguration de l’église qui a été restaurée.
Messe présidée par Mgr Gobilliard, co-célébrée par le père Barthélémy Zagré (curé du secteur paroissial), le père Yves Clouet d’Orval, et le père Charles Honoré (Curé de Forcalquier et doyen ), avec le diacre Cyrille Prache.
En présence également de madame Blanc, Maire du village, qui a présenté les travaux, et les artisans qui ont travaillé à la restauration des peintures et des vitraux.
Partage du verre de l’amitié.
La journée s’est poursuivie par la visite du Musée à la mémoire des Harkis
Et par la découverte de l’ancien village de Vière et des ruines de son église.
Vous pouvez retrouver un article complet sur le village d’Ongles https://paroissemontagnedelure.fr/ongles/
Mgr Gobilliard nous a fait la joie de présider la messe de Pentecôte à Banon, en présence de quatre joueurs de Cors des Alpes et de nombreux fidèles.
Arrivée des fromages qui seront bénis à l’issue de la messe
Et ensuite petit tour sur la Fête du Fromage !
D’abord assister à la dégustation du Banon par le jury qui décernera les Banon d’Or, d’Argent et de Bronze.
Rendre visite aux différents stands, dont celui du Secours Catholique
Puis l’inauguration avec les officiels
Le village d’Ongles, qui abrite de nombreux lieux de mémoire (exposition permanente consacrée au harkis) est dominé par le site primitif de Vière où on peut admirer les vestiges restaurés de l’église romane Saint-Barthélémy et du village médiéval abandonné. Il est situé à 613 m d’altitude.
Le site originel du village est le hameau ruiné de Vière qui a pu être occupé jusqu’au Bas-Empire romain.
Le nom du village, tel qu’il apparaît dès 1073, serait une comparaison de la forme du rocher où le Vieux Ongles était construit avec un ongle. Il est mentionné sous les formes Castrum d’Ungula en 1073, hospitalis de Ungula en 1274.
Sur la colline de Vière, se trouve le village médiéval primitif qui domine le village actuel. L’église romane (XIème siècle et XIIème siècle ) Saint-Barthélemy est dévastée durant les guerres de religion, restaurée au début du XVIIème siècle, puis définitivement ruinée et abandonnée au XIXème siècle (1835). Elle présentait l’originalité pour la région de posséder un transept. Directement accolé à l’ouest de cette église, se trouve un ermitage, dont la porte orientée au sud est surmontée d’une pierre ornée d’une croix sculptée en remploi datant de l’époque mérovingienne.
Le site est classé sur une superficie de 129 hectares en août 2013. Une intervention récente a permis à la commune de conserver et fixer les ruines imposantes de cet édifice médiéval. Ce projet d’envergure prévoit encore des phases de mise en œuvre pour finaliser complètement la valorisation du lieu.
Autour de l’église de Vière, ensevelie sous la végétation subsistent quelques traces du village primitif ; anciennes rues, substructions, etc. Projet de restauration en cours.
L’un des oratoires d’Ongles date du XVIIe siècle : orné d’une plaque émaillée, c’est l’un des plus vieux de la région.
Dans le village actuel, le château fut construit en 1670 par le seigneur protestant d’alors (famille de Lignon). Il sera vendu en 1726 et agrandi par une chapelle, installée dans son vestibule (église paroissiale actuelle). Il devient ensuite propriété communale au début du XIXème siècle, il abrite actuellement la MHeMO (La maison d’Histoire et de mémoire d’Ongles).Dans le hameau central a été créée la Maison d’histoire et de mémoire d’Ongles (MHeMO) qui abrite l’exposition permanente intitulée « ils arrivent demain… » relatant l’histoire d’une vingtaine de familles de harkis arrivées dans le village le 6 septembre 1962.
Photos de l’église paroissiale
Le village d’Ongles c’est aussi plusieurs hameaux dont le plus important, est le Rocher, et son église romane Notre-Dame, (excentrée) dévastée durant les guerres de religion et reconstruite au XVIIe siècle.
L’église Notre-Dame, au Rocher d’Ongles, est construite au XIIe ou au XIIIe siècles. Elle a été appelée Notre-Dame de Pitié, du Revers, de Revots ou de Benonos.
Il subsiste de l’état original le chevet, le mur nord, une partie du mur sud. Le mur sud et la voûte, en berceau brisé, datent du XIIe siècle. La nef comprend trois travées, débouchant dans un chœur à chevet plat. L’ensemble est fait d’un appareil petit mais régulier, sans être monotone selon Daniel Thiery. La seule porte est au sud, et daterait du XVIIe siècle. Le clocher date de 1862. Son chœur est entièrement recouvert de peintures du XVIIe siècle, la voûte étant peinte au siècle suivant, dont un tableau représentant la Présentation au Temple et saint Michel, du XVIIe siècle, classé monument historique au titre objet. À proximité se trouve un bâtiment construit en 1866, qui a servi d’école de filles puis de presbytère.
Belle messe dans cette belle église, décorée pour l’occasion par Muriel
Retrouvez les photos de l’église https://paroissemontagnedelure.fr/eglise-de-la-rochegiron/
Fête de la Famille au Bartèu
mais aussi Fête du Fromage à Banon
Petit historique, tiré du livre de monsieur Lombard
En 1765 : Sr Imbert consul de l’année dernière a payé 2 livres pour une croix qu’il fit faire à la montagne de Banon, en remplacement de celle qui avait dépéri.
Retraite de 1893.
L’an de Notre-Seigneur 1893, et le 3 avril après une retraite de 15 jours prêchée par le père Tardif, missionnaire, apostolique et dont le résultat a dépassé nos espérances, nous avons inauguré une nouvelle croix sur le coton qui domine le pays, appelé Crous de Banon. Dans les premiers jours du mois de septembre de l’année précédente, à la suite d’un violent orage, la croix qui dominait ce coteau avait été brisée par la foudre. Il était temps de la remplacer, la population du pays et celle des pays voisins le demandaient. Une grande croix pesant environ 700 kilos, prise dans un chêne fourni par Mme de Bellegarde, traînée au haut de la montagne par les chevaux de monsieur Lauthier et M Lanflé, dressée par le soin de quelques hommes de bonne volonté. Et scellée gratuitement par le maçon Marius Degrandy deux jours à l’avance, attendait la bénédiction solennelle. Le lundi de Pâques àtrois heures de l’après-midi, en présence d’une foule nombreuse et après une allocution ardente et patriotique faite par le père missionnaire, avec la permission de Monseigneur l’évêque, nous avons béni cette croix monumentale qui domine toute la contrée, en présence de plusieurs prêtres voisins. Nous avons remercié notre missionnaire et lui avons adressé nos adieux
3 avril 1893. Isnard curé doyen.
Abattue une nouvelle fois en 1912, elle fut remplacée par M Arioste. Cette croix, à son tour, tomba de vétusté en 1963. La nouvelle croix de bois, érigée en 1964 ne résista pas longtemps. En 1973, la grande croix de fer que l’on voit actuellement fut construite par Lolo et aimée Martel. Alors en 2000, elle fut illuminée.
Article de journal
Au début du 20e siècle, une petite croix trônait en haut du « groupe de Bane » comme un oratoire que les prêtres allaient honorer à l’occasion des processions. À cette époque, le curé-doyen de Banon, Joachim Arioste, soutenu par Monsieur Martel et Éloi Savoillan, envisage la construction d’une chapelle sur cette colline typique d’où l’on peut admirer le village tout entier aussi bien que la région de Lure au Ventoux. Ce projet devant être abandonné, une grande croix en tronc d’arbres, est alors érigée, toujours sous l’égide de M Arioste et de ses fidèles amis.
Dans les années 50 les caprices météorologiques en viendront à bout et inciteront « Lolo » et « Mémé » Martel à en fabriquer une autre, en grosses poutres, qu’ils érigeront après l’avoir montée à l’aide d’un GMC, toujours avec Éloi Savouillan et quelques autres amis.
En 1973, hélas – le bois, qui est certes au grand air, mais sans sa sève, n’est pas éternel- la croix s’écroule. Les Frères Martel en fabriquent une autre, à l’aide de gros IPN, qu’ils iront mettre en place avec leur fameux « tube » Citroën de dépannage.
Quelques années après, Louis Martel décide d’illuminer cette croix pour les fêtes de Noël et de Nouvel an et d’en faire une surprise pour tout le monde. Au dernier moment, il fait tout de même part de son projet au maire de l’époque, Jacques blanc, qui l’encourage en son idée.
Depuis, notre regretté Lolo a passé le flambeau à « Dédé » Bounous qui a pris la relève pour que cette croix qui devient « de lumières » du 24 décembre au 3 ou 4 janvier, continue à guider Banonaises et Banonnais, voyageurs et touristes qui peuvent l’apercevoir depuis Simiane ou Revest-Des-Brousses, depuis Revest-Du-Bion ou La Rochegiron. Et si en 2002, elle n’a pas été illuminée pour des raisons que nul ne cherche à connaître, il est heureux qu’une si belle tradition se perpétue pour le plus grand plaisir de tous.
Cette belle tradition perdure : retrouvez les images https://paroissemontagnedelure.fr/la-croix-du-grou-de-bane-a-banon/
Tous les 1ers samedis de mai à octobre, rendez-vous à Notre Dame des Anges, à Banon
Premières images pour le mois de mai :
Très belle messe avec une belle assemblée (une cinquantaine de personnes, avec une quinzaine d’enfants . L’église était pleine !
Cela s’est terminé devant l’église avec un verre de l’amitié, tout en partage et convivialité.
Pendant la messe de Banon, l’assemblée a remercié le père Barthélémy, Pasteur de la paroisse.
C’est Baptiste qui a reçu le corps du Christ pour la 1ère fois lors de la messe dominicale à Banon, en présence de sa marraine et de sa famille.
Messe avec des enfants, quelle joie !
présentation de Baptiste à la communauté car il fera sa première communion dimanche prochain.
La Conférence des évêques de France a annoncé mercredi 10 avril, peu avant la présentation du projet de loi sur la fin de vie en conseil des ministres, la nomination de quatre évêques porte-parole sur ce « sujet de société majeur ». U
Mgr de Moulins-Beaufort, président de la Conférence des évêques de France, et Mgr Jordy, porte-parole de la CEF sur la fin de vie, le 7 avril 2022 à Lourdes.
Le projet de loi du gouvernement sur la fin de vie est présenté en conseil des ministres mercredi 10 avril. La Conférence des évêques de France a annoncé, le même jour, dans un communiqué, la nomination de quatre évêques comme porte-parole, mobilisés pour les « nombreuses échéances, parlementaires notamment, qui jalonneront l’actualité des semaines et mois à venir ». Après son passage en conseil des ministres, la loi entamera un long parcours parlementaire à l’Assemblée et au Sénat.
Les quatre porte-parole choisis pour défendre la position de l’Église catholique sur «cette question infiniment grave et complexe de l’accompagnement des personnes en fin de vie » sont Mgr Pierre-Antoine Bozo (évêque de Limoges), Mgr Matthieu Rougé (évêque de Nanterre), Mgr Emmanuel Gobilliard (évêque de Digne) et l’archevêque de Tours Mgr Vincent Jordy.
Tous les quatre sont «particulièrement mobilisés, au sein de la CEF ou dans leur diocèse », indique le communiqué. Membre du groupe de travail sur la fin de vie mis en place en 2022 par la CEF, Mgr Jordy est aussi vice-président de la CEF. Également membre du groupe de travail sur la fin de vie, Mgr Rougé était aumônier des parlementaires français entre 2004 à 2012.
Troisième porte-parole, Mgr Emmanuel Gobilliard bénéficie d’une expérience d’accompagnement des patients en fin de vie. Il a fait partie pendant quatre ans, de 1994 à 1998, de l’équipe d’aumônerie de l’hôpital Spallanzani à Rome, spécialisé dans les phases terminales des maladies infectieuses. Dans son diocèse de Digne, il a entrepris de visiter l’ensemble des Ehpad et maisons de retraite. Enfin, évêque de Limoges depuis mai 2017, Mgr Bozo est membre du Conseil permanent et fait également partie du groupe de travail sur la fin de vie de la CEF.
Leur nomination s’inscrit dans une mobilisation de longue haleine pour l’Église catholique. Lors de son discours d’ouverture de l’Assemblée des évêques de France de printemps, Mgr Éric de Moulins-Beaufort, président de la CEF, affirmait : « Notre voix, sur ce sujet comme sur d’autres, est attendue ; elle est même, plus que sur d’autres, espérée. » En outre, les évêques de France ont publié, le 19 mars, une déclaration exprimant leur « grande inquiétude » et leurs « profondes réserves » quant au projet d’ouvrir une « aide à mourir ». Ils ont appelé à ne « pas dévoyer la fraternité ».
Une déclaration faisant suite à la réaction vigoureuse de Mgr de Moulins-Beaufort après l’entretien du président Emmanuel Macron, dans La Croix et Libération, où ce dernier a dévoilé les grandes lignes du texte du projet de loi sur la fin de vie. L’archevêque de Reims dénonçait une « tromperie » : « Appeler “loi de fraternité” un texte qui ouvre à la fois le suicide assisté et l’euthanasie est une tromperie ». Il regrettait également « de vagues promesses » en ce qui concerne les soins palliatifs.
Bénédiction des rameaux dans la cour du presbytère et procession jusqu’à l’église
Puis messe, avec la Lecture à plusieurs voix de la Passion de Jésus-Christ
Bénédiction des rameaux
puis messe
L’église paroissiale saint Jean-Baptiste, est essentiellement du XIII e siècle, avec des restaurations en 1865. Elle possède quelques parties qui ont pu être datées du XII e siècle et qui sont les seuls vestiges du premier prieuré construit par les Hospitaliers. L’abside, en cul-de-four est éclairée par de petites baies. Le chevet est plat et la nef, percée d’archères, ne compte qu’une travée. Le chœur est accosté, au nord, d’une chapelle. Le clocher-tour est plus récent..
Retrouvez toutes les informations sur cette commune https://fr.wikipedia.org/wiki/L%27Hospitalet
VITRAUX
le 23 décembre 2023 le père Barthélémy a béni les vitraux restaurés de l’église .
père Yves Clouet d’Orval
Concert à l’église sainte Victoire à 16h
Ils ont chanté et fait les lectures pendant la messe de 11h00. Nous sommes toujours heureux de recevoir de jeunes scouts !
Rendez-vous à la chapelle du presbytère de Banon à 15h pour un temps de lecture de 3 témoignages de femmes palestinienne, suivi du temps d’adoration (17h00) et de la messe à 18h00.
https://journeemondialedepriere.fr/celebration/
Cette rencontre sera animée par l’ ACF qui fait partie de ce mouvement œcuménique.
A cette célébration, tout le monde est invité.
Une collecte alimentaire de produits non périssables a été organisée par le groupe d’aumônerie de la paroisse montagne de Lure le samedi 10 février de 9h à 13h devant le magasin Utile de Banon, au profit des restos du cœur.
Un grand merci pour votre soutien dans cette action concrète en accord avec nos valeurs chrétiennes.
Tout sera déposé aux Restos du Coeur ce mercredi
Messe à Saint Étienne les Orgues
C’est le dernier jour pour parler de la crèche de Banon et de lea merveilleuse équipe qui la monte, la présente et la range… Et voilà ! Rendez-vous dans 10 mois, le 15 décembre 2024 !
BRAVO, et MERCI !!!
Pour tous ceux qui se demandent ce qu’il y a sous la crèche de Banon !
Rendons grâces pour l’équipe qui a installé la crèche en décembre 2023, et a tenu les nombreuses permanences pour permettre aux 8990 visiteurs de l’admirer.
Bernard, grand coordinateur de l’équipe !
L’âne a été le premier sujet à être enlevé, Rendez vous le 15 décembre 2024 pour l’installer dans la nouvelle crèche !
Procession des villageois pour aller voir Jésus
Fête de l’Épiphanie à Banon
Messe et bénédiction des tombes
Les jeunes du diocèse se sont retrouvés à Banon , et au Contadour !
Messe à Banon pour les défunts de la guerre 1914-1918
La vidéo de la célébration
Voici quelques photos de cette magnifique célébration
Située au rez de chaussée du presbytère de Banon, (30 rue du Chanoine Arioste) elle est utilisée pour les messes de semaine et pour les messes dominicales en janvier et février.
Elle a été décorée par les ateliers de Puyharas dans les années 80.
Fresque sur Bois représente triomphale de Jésus à Jérusalem
2 VITRAUX DONNANT SUR LA COUR
La statue de la Vierge provient de l’église de Redortiers
Le tabernacle en gemail, complète l’œuvre artistique du Puyharas.
Cette église a été inaugurée le 15 octobre 1911.
C’est le Chanoine ARIOSTE, curé de l’époque depuis 1907, qui en a lancé la construction à partir de juin 1909.
Peu à peu la vie s’était installée an bas du vieux village.
Lors d’une « mission » en 1907, le prédicateur confie au père Arioste : « si vous ne voulez pas voir votre église se vider, vous devriez en construire une autre, dans le bas du village ».
L’ancienne église saint Marc (aujourd’hui désacralisée, et servant de lieu culturel sous l’appellation « Eglise Haute » ) domine toujours à la cime du village, en compagnie des ruines du château des Comtes de Tournon, rasé à la Révolution.
Le temps de chercher un terrain et sans un sou en poche, monsieur Arioste se lance dans la construction. Les paroissiens s’organisent et acceptent une sorte de taxe familiale par roulement. Les maçons, tailleurs de pierre et autres artisans promettent de travailler gratuitement un certain nombre d’heures. La Providence fera le reste !
Monsieur Arioste n’était pas architecte, et le plan avait ses faiblesses ; quarante ans plus tard la voûte s’effondre. C’est l’origine de ce plafond en bois, qui diminue la hauteur de cette église que monsieur Arioste voulait très grande, très haute, avec un chœur spacieux où puissent se dérouler de belles cérémonies.
A l’entrée droite de l’église se trouve le tombeau et le portrait du chanoine Arioste. Arrivé à Banon à l’âge de 42 ans, il y est resté comme curé doyen, pendant 41 ans.
L’autel, le socle de la statue de la Vierge et le baptistère sont en pierre de Banon.
Les vitraux et les mosaïques ont été réalisés en 1987-1988 à l’atelier Puyharas de Banon, avec la participation de stagiaires et habitants du village, sous la direction de Serge Devic. A l’origine un tryptique sur la Cruxifiction peint par l’artiste ornait le fond du Chœur. Abimé par l’humidité il a été remplacé par le tableau de la Cène pour les 100 ans de l’église en 2011, toujours peint par Serge Devic .
L’Église accompagne et donne sens aux événements de la vie.
Elle assure une présence, un accueil, un accompagnement, tout cela est gratuit comme l’amour de Dieu.
Faire une offrande à l’Église au moment de la célébration d’un baptême, d’un mariage ou de funérailles, c’est aussi entrer dans cette démarche du don.
Il ne s’agit donc pas de payer une messe, le baptême, le mariage ou la célébration de funérailles que l’on a demandé, mais de participer généreusement à la vie de la paroisse.
Par votre don, vous apportez à l’Église le soutien matériel nécessaire pour remplir son service envers vous et envers tous. Soyez-en vivement remerciés.
Ces offrandes sont une aide pour assurer la vie quotidienne des prêtres.
Un montant indicatif est proposé par la Conférence des Évêques de France :
Par chèque inscrire « Association diocésaine de Digne /Montagne de Lure » au titre de bénéficiaire
Crédit Photo : Lugdivine Heyoka©️ que nous remercions vivement.
Crédit photo Carole Prache
Voici quelques photos prises sous la neige de novembre et prêtées gracieusement par Sébastien Renard- L’œil du Goupil, que nous remercions !
A quelques kilomètres du village, le site magnifique de Notre Dame de Lure vous attend https://paroissemontagnedelure.fr/notre-dame-de-lure-sous-la-neige/
Banon est une commune française, située dans le département des Alpes-de-Haute-Provence.
Village perché aujourd’hui descendu dans la plaine, Banon possède une forte identité culturelle. Sa population connait une forte baisse entre 1841 et 1962 due à l’exode rural, malgré les différentes cultures spéculatives (soie, truffes, lavande), mais a à nouveau dépassé la barre des mille habitants depuis le début des années 2000. Actuellement, l’agriculture joue encore un rôle important, avec des productions labellisées comme le fromage Banon (aop) et la lavande. L’activité économique est tirée par le tourisme, qui bénéficie d’une campagne déserte, d’un climat ensoleillé et de la proximité du Luberon et la librairie le Bleuet, une des plus grandes de France.
Ses habitants sont appelés les Banonais
Le village est adossé au plateau d’Albion, entre la Montagne de Lure et le Ventoux à 25 kilomètres au nord-ouest de Forcalquier et à 760 m d’altitude, sur un site perché dominant la vallée du Coulon. Bien qu’implanté en hauteur, il est protégé du vent du nord par un versant de montagne
Porte du XIVe siècle et calade.
L’enceinte fortifiée du XVe siècle subsiste en partie, avec notamment la porte du XIVe siècle défendue par une bretèche (construite en 1600 selon la DRAC et inscrite comme monument historique).
Dans le vieux village, l’ancien hôtel-Dieu, d’architecture archaïque et datant de 1850, a été restauré et les ruelles à arcades sont bordées de maisons du XVIe siècle, dont quelques-unes comportent des éléments d’architecture bois. Certaines ont des devantures anciennes en pierre, de style médiéval mais datant des XVIIe et XVIIIe siècles. Dans le haut du village, une maison sous laquelle la rue passe possède une grande cheminée dont le manteau est orné d’une gypserie datant du début du XVIIe siècle, ornée notamment d’une frise à deux lions allongés.
L’habitat dispersé explique la présence de nombreuses chapelles, et de deux paroisses au XIXe siècle. Banon possède deux églises anciennement paroissiales : l’église Saint-Marc est située au sommet du bourg ; elle est de style roman et date de 1652. Elle abrite un ex-voto de 1864 représentant une femme couchée avec son époux priant la Vierge Marie.
L’église paroissiale en activité Notre Dame de l’Assomption (ou église basse) est située rue du Chanoine Arioste, à coté du presbytère, fut construite de 1909 à 1911. La voûte s’est effondrée en 1950 et a été remplacée par un plafond. Elle est dotée d’un petit clocher-tour.
La chapelle du presbytère de Banon, située au rez de chaussée du presbytère de Banon (au 30 rue du Chanoine Arioste) elle est utilisée pour les messes de semaine aux horaires d’hiver, ainsi que pour la messe dominicale par les temps froids. Elle a été décorée par les équipes de Puyharas dans les années 80.
Les nombreuses chapelles sont la chapelle Notre-Dame-du-Bon-Secours des Granges-de-Dauban (1769) ; Saint-Marc, au Largue et Notre-Dame-des Anges à Banon. Au moins quatre autres chapelles ont disparu.
La chapelle Notre-Dame-des-Anges, isolée sur le plateau, date en partie de la fin du XIIIe siècle. Il est possible que sa fondation soit plus ancienne, étant implantée sur un lieu occupé à l’époque gallo-romaine. Elle était d’abord appelée Sainte-Marie-du-Largue. L’abside est en cul-de-four, avec un chevet plat ; le chœur est encadré par deux chapelles. La voûte de la nef a probablement été refaite au XIXe siècle au cours des nombreux travaux qu’elle subit sous le régime du Concordat. Elle a été restaurée en 2020.
Deux chapelles latérales encadrent la travée de chœur. La porte est surmontée de voussures appuyées sur des colonnettes. Deux statues d’anges portant des phylactères l’encadrent. Le clocher-mur est surmonté d’une statue de la Vierge Marie.
L’enquête sur les lieux de culte de 1899 nous révèle qu’il y a un pèlerinage à N.D. des Anges, à 4 kil. de la paroisse qui s’y rend en procession le dimanche de la Trinité et dans l’octave de l’Assomption. Des personnes pieuses y font quelquefois dire la messe à l’usage à peu près exclusif de Banon. Le coutumier de la paroisse rédigé en 1835 est plus explicite : on se rendait en procession à Notre Dame le premier jour des Rogations, le jour de la fête de Sainte Trinité et le 15 août. Si la chapelle actuelle présente des éléments du XIIIe siècle, il est probable que sa fondation soit plus ancienne, car implantée sur un site antique. En effet, dans son environnement immédiat ont été observées de nombreux fragments de tuiles romaines (2).
La localité apparaît pour la première fois dans les textes au XIe siècle (castrum Banonni). Banon, en vivaro-alpin et en provençal se dit et s’écrit Banon dans la norme classique et Banoun dans la norme mistralienne.
Pour en savoir plus sur la toponymie et les explications des différents lieux du village .https://fr.wikipedia.org/wiki/Banon_(Alpes-de-Haute-Provence)
La commune est fréquentée à l’époque préhistorique : les découvertes du Paléolithique sont assez nombreuses.( en savoir + sur le site Wikipedia))
La romanisation se lit dans des sites tels que les villas de Fouent-Créma : plusieurs villas et ateliers, ou un hameau gallo-romain étaient installés dans la plaine au nord-est de Banon, aux Ier et IIe siècles de notre ère.
Le village est fortifié au XIe siècle (c’est le castrum banonum des chartes de l’époque). Au Moyen Âge, l’église Notre-Dame dépendait de l’abbaye de Cruis, qui percevait les revenus attachés à cette église et ceux de la chapelle Saint-Hilaire (disparue) revenaient à l’abbaye de Sénanque.
Le fief des Simiane (du XIIe siècle à la révolution de 1789) est dévasté par Raymond de Turenne (1391). La communauté de Banon relevait de la viguerie de Forcalquier.
Le château médiéval est rasé à la Révolution.
Le coup d’État du 2 décembre 1851 commis par Louis-Napoléon Bonaparte contre la Deuxième République provoque un soulèvement armé dans les Basses-Alpes, en défense de la Constitution. Après l’échec de l’insurrection, une sévère répression poursuit ceux qui se sont levés pour défendre la République : 17 habitants de Banon sont traduits devant la commission mixte, la majorité étant condamnés à la déportation en Algérie.
Comme de nombreuses communes du département, Banon se dote d’écoles bien avant les lois Ferry. L’habitat dispersé la conduit à doubler l’équipement, avec en 1863, deux écoles, installées au chef-lieu et au village du Largue, aux deux extrémités est et ouest de la commune. Ces écoles dispensent une instruction primaire aux garçons et aux filles : la loi Falloux (1851) impose l’ouverture d’une école de filles aux communes de plus de 800 habitants. La commune profite des subventions de la deuxième loi Duruy (1877) pour reconstruire l’école du village du Largue, et pour en construire une nouvelle aux Granges de Dauban.
Le village commence à se déplacer au courant du XIXe siècle : les habitants commencent à abandonner l’habitat serré des hauteurs pour construire leurs maisons à proximité du carrefour des routes de Sisteron, Apt, Manosque et Forcalquier, vers 1840-1880. Cette nouvelle agglomération est appelée la Bourgade. L’ancien village n’est pas abandonné immédiatement, puisque l’église y est agrandie, l’hôpital est construit sur les hauteurs. Mais en 1887, le collège est construit dans le nouveau village, sur la place du Marché. En 1905, c’est la fontaine à jet d’eau de la source des Brieux, alimentée par un aqueduc souterrain de 3 km42, qui est construite dans le nouveau village.
Par la suite, toutes les nouvelles constructions, privées ou collectives, se font dans le village du bas (église en 1911, hôpital en 1930), et dans les années 1950, on commence à convertir les vergers en zone pavillonnaire
Procession dans le village
Messe célébrée dans la très jolie église du village comprenant un grand nombre d’objets inscrits aux monuments historiques, notamment le très beau rétable.
Photos souvenirs en compagnie du maire du village
Le village de Revest-Saint-Martin, à 658 m d’altitude1, se situe à 2 km de Sigonce, 3 km au nord et en contrebas de Fontienne et 7 km de Forcalquier.
Les communes limitrophes de Revest-Saint-Martin sont Saint-Étienne-les-Orgues, Montlaux, Sigonce et Fontienne, toutes appartenant au secteur paroissial de la Montagne de Lure.
Revest-en-Fangat a adopté son actuel de Revest Saint Martin en 1894.
Il comprend 3 hameaux: St Martin où se trouve la mairie, Le Revest où se trouve l’église et La Blache ou se trouve le cimetière.
L’église paroissiale Saint-André, au sommet de Revest, existait en 1152, sera nommée «Ecclesia de Revesto Fangatos» en 1274 car le terrain est argileux et les pluies forment une fange quasiment toute l’année. À cette époque elle dépend de l’Évêque de Sisteron.
Le bâtiment actuel est une reconstruction du XVIIe siècle. Elle est de style roman et de confession catholique. Elle est dédiée à St André, disciple de Jésus (qui reçoit l’enseignement du maître). Saint André est fêté le 30 novembre.
L’accueil se fait par la porte latérale. À l’entrée on trouve le bénitier et les fonts baptismaux.
Sa nef ne compte qu’une travée, et n’est pas voûtée. Elle possède deux chapelles latérales, formant la croix latine et qui tiennent lieu de transept. Celle de gauche est consacrée à Marie.
Derrière l’autel se trouve le chevet en hémicycle. Des belles statues du XVIII siècle entourent le maître-autel: Saint André et Marie-à-l’Enfant en bois taillé, peint et doré.
Dans le chœur la porte latérale droite mène à la sacristie.
La Nef abrite 2 belles toiles restaurées en 1999 par La Direction Régionale des Affaires Culturelles .
St André a demandé à être crucifié sur une croix particulière en forme de X convaincu de ne pas être digne de mourir dans la même position que Jésus.
Durant son calvaire il a fait preuve de courage en calmant la foule de chrétiens rassemblés. Il en est resté la Croix de St André.
Durant les années 1992/1993 Mr Daniel Palla artisan maçon au Revest a procédé à la rénovation de l’église. Réfection de la toiture, jointoiement des pierres, porche d’entrée et renforcement de la clé de voûte.Les bancs ont été élaborés par une entreprise de Revest du Bion en 1999.
Une personne du village se propose pour vous faire visiter l’église si vous le souhaitez : 07.86.79.88.87. Un grand merci à elle.
A l’issue de la messe, le père Barthélémy a donné une belle bénédiction à Marie-Claire pendant qu’un duo chantait un très bel Avé Maria !
La surprise s’est poursuivie au presbytère autour d’un verre fraternel et d’un gâteau. Marie Claire est au service de la paroisse depuis de nombreuses années et nous sommes heureux de lui montrer notre gratitude pour son dévouement.
6 aout
3 aout
2 aout
1er aout
31 juillet
30 juillet
29 juillet
28 juillet 2023
27 juillet 2023
26 juillet 2023
Belle procession dans les rues du village.
Sophie et Matthieu, les animateurs dynamiques desnjeunes de la paroisse nous ont envoyé le compte-rendu de cette belle journée :
Nous avons passé une belle journée à Sénanque avec Jean-Baptiste, Baptiste et sa cousine Cynthia, et Maëlle et Lucie. (Sacha n’a pu venir ayant une épreuve du bac demain, il devait réviser…)
En commençant par la messe à 10h avec les frères cisterciens dans une chapelle car l’église est en travaux. Ensuite, à l’ombre des grands arbres, nous avons pris une grosse heure pour échanger ensemble sur la signification de la communion, et de la vie en communauté, et sur les 7 sacrements.
Puis pique-nique, préparation de la messe du 13 août où certains feront leur première communion, et enfin visite guidée du monastère médiéval à 14h.
Ce fut un beau moment partagé avec les jeunes dans un haut lieu de la chrétienté, proche de chez nous. Une joie de le découvrir ensemble et de pouvoir échanger avec eux dans un autre cadre, tout prend une autre dimension !
Une belle façon de clôturer cette petite année de caté…
C’était le premier samedi et le premier rendez-vous à Notre Dame des Anges.
Prière à Marie, puis messe
Et enfin repas tiré du sac dans un lieu magnifique.
Pour fêter Sainte Victoire, la sainte du village, les paroissiens et les villageois étaient réunis autour de Monseigneur Emmanuel Gobilliard, évêque de Digne qui a célébré la messe ce dimanche 30 avril 2023.
Plus de 400 ans après son inauguration, l’église était pleine et les cœurs étaient heureux.
Avant la messe l’occasion était idéale pour découvrir l’église, et pour se préparer à la rencontre avec le Christ.
L’heure est venue de chanter sainte Victoire.
C’était très joyeux, même si la forme n’était pas encore bien définie ! Matthieu nous a accompagnés avec sa guitare,
en commençant avec le Notre-Père de Glorious https://youtu.be/X7uBkTcx3Jg , puis nous avons travaillé plusieurs chants comme
Que ma bouche chante ta louange https://youtu.be/onPVN4Mu6bg
Comment ne pas te louer https://youtu.be/-hV5FQLY6J0
Mets ta joie dans le Seigneur https://youtu.be/pxjuWpK39SY qui donne envie de danser !
Pour terminer, un très beau chant de Taizé, Ubi caritas, https://youtu.be/G2o27qpvfUc dont les paroles, en latin (Ubi caritas et amor, ubi caritas, Deus ibi est) délivrent un beau message :
« Où sont amour et charité, Dieu est là ».
Ensuite, pour ceux qui pouvaient rester, une pizza offerte par Barthélémy, un moment d’échanges chaleureux qui donne bien envie de recommencer !
Alors à vos agendas pour les prochaines séances
Chemin de Croix à Banon
Vigile Pascale à St Étienne les Orgues, 18h30
Messe de Pâques, 9h30 à Banon
Messe de Pâques à Saint Étienne les Orgues
Bénédiction des Rameaux devant le presbytère de Banon, suivie de la procession jusqu’à l’église où a lieu la messe.
Bénédiction des Rameaux devant l’église de Saint Étienne les Orgues, puis messe.
Témoignage d’une pélerine, qui poursuit l’idée lancée avec vigueur par le père Barthélémy : Et sin on louait le Seigneur à Banon ???
LA CHAPELLE DE LA RENCONTRE, construite en 1995 est l’œuvre de l’architecte René Maison. Construite sur des piliers de béton, la chapelle présente une forme polygonale, ouverte sur l’extérieur par deux larges pans vitrés. Cette chapelle comporte une estrade en arc de cercle. Les vitraux sont l’œuvre de l’artiste ARCABAS.
Le chœur de la Basilique
Le tableau d’Arcabs « les Noces de Cana »
Quelques clichés du reste de la basilique
Le second tableau d’Arcabas, la « la déploration de Marie à la Croix »
La basilique de Notre-Dame de la Salette est une grande église de plan basilical. Sa façade de style néo-roman est encadrée par deux grandes tours-porches symétriques abritant des cloches au sommet.
Le plan basilical de l’église est composé de cinq nefs terminées par une abside ou des absidioles. L’église est constituée de volumes intérieurs très élancés. Ses voûtes d’arête retombent sur de très hautes et fines colonnes, reposant sur de hauts piédestaux. Les fenêtres hautes sont aveugles, l’éclairage ne provient que des fenêtres des premiers bas-côtés. Le chevet de l’église se compose de deux absidioles de part et d’autre d’un chœur avec travée droite et abside en cul-de-four. L’abside est ornée d’une peinture murale le « Christ en gloire », et sur la travée droite nous trouvons une représentation des symboles du tétramorphe, œuvre de l’artiste Arcabas. Les bas-côtés extérieurs sont décorés de plusieurs œuvres « Le Christ aux noces de Cana », « la déploration de Marie à la Croix », et dans le chœur : le Christ et les quatre vivants de l’Apocalypse. Les vitraux présentent des œuvres de différents artistes : le cycle du Rosaire (dans l’abside du chœur), conçu en 1857 par Adrien-Louis Lusson, le cycle de la Passion du Christ par l’atelier Thibaud de Clermont-Ferrand, et de nombreuses verrières des ateliers grenoblois Antoine Bernard et Bessac (1895 – 1897).
La basilique et autour
Le hall qui permet de circuler même avec la neige !
Les lieux d’apparition de la Vierge Marie
Départ très matinal de Banon, mais dans une excellente ambiance ! Renforcée par la pause offerte par deux paroissiennes très sympathiques !
Arrivée à 9h30, en même temps que quelques flocons !
Et vraiment à l’heure pour pouvoir vivre la célébration de la messe à la Chapelle de la Rencontre, à 10h30.
Retrouvez les photos de la Chapelle de la Rencontre https://paroissemontagnedelure.fr/la-salette-la-chapelle-de-la-rencontre/
Après un apéritif offert à tous les pélerins car c’est l’ouverture de la saison, le repas rassemble bénévoles, communauté et pélerins.
Les sœurs de la Salette offrant même une animation musicale et dansante à la fin du repas, entrainant un grand nombre de convives !
Visite guidée du Musée
Puis de la Basilique :
Dimanche 26 mars Sacha a été accueilli comme catéchumène dans la paroisse.
C’est Matthieu et Sophie qui l’accompagnent sur ce si beau chemin !
Une équipe de femmes se crée sur la paroisse pour vivre des rencontres dans un un espace propice à la relecture de leurs vies, un échange de confiance sur des thèmes d’actualité et où elles peuvent méditer la parole de Dieu.
Les réunions ont lieu au rythme d’ une fois par mois. Toute femme, quelles que soient ses croyances et sa culture peut vivre cette expérience qui s’ inscrit dans la nouvelle évangélisation; Le fondement de cette méthode est la liberté de la parole.
Il y a déjà eu 2 rencontres à Banon dans le local du Secours Catholique, rassemblant 6 ou 7 personnes… La prochaine aura lieu le 29 mars.
c’ est une association féminine née en 1901.
L’ACFest tout d’abord une association Loi 1901 reconnue d’utilité publique depuis 2017. C’est aussi un mouvement d’action catholique , mouvement d’Église selon la Conférence des évêques de France (CEF)
Ce mouvement œuvre pour la dignité et la promotion des femmes dans les domaines de la vie : familiale, professionnelle, politique, associative, ecclésiale. Il sert pour sa part l’identité féminine et, en cela, apporte sa contribution à un véritable partenariat femmes-hommes dans la société et dans l’Église. Mieux être et mieux vivre dans un monde où femmes et hommes vivent et travaillent ensemble.
Activités :
L’ACF propose des lieux et des temps où toutes les femmes peuvent prendre la parole et chercher un sens à ce qu’elles vivent.
Voici le site de l’association : https://actioncatholiquedesfemmes.org/notre-association/notre-histoire/
La procession a débuté dans la cour du presbytère en direction de l’église, en présence de Monseigneur Emmanuel Gobilliard.
La messe est célébrée par Mgr Gobilliard, et par le père Barthélémy.
Nous terminons par la prière à Marie autour de la crèche.
Monseigneur Gobilliard a oté le premier objet de la crèche, l’âne. Il reviendra le déposer dans la crèche 2023 lors de son inauguration, rendez-vous le 17 décembre 2023 !
Et pour terminer la saison, quelques dernières images de la crèche !
Et quelques clichés, les « arbres de la crèche » :
Les information pratiques sont là!Réservez votre journée du 19 mars !
Le déplacement se fera en bus au départ de Banon (arrêts multiples jusqu’à Mallefougasse). Le prix comportera le transport et le repas servi par le sanctuaire.
Le 19 septembre 1846, dans les alpages au dessus du village de La Salette en Isère, deux enfants bergers, Maximin Giraud et Mélanie Calvat, disent avoir rencontré une « Belle Dame » en pleurs, toute de lumière. Elle leur confie un message de conversion, pour « tout son peuple ».
Après 5 ans d’une enquête rigoureuse, l’évêque de Grenoble, Mgr Philibert de Bruillard, reconnaît par un mandement authenticité de l’apparition.
Le 19 septembre 1846, deux enfants disent avoir rencontré une « Belle Dame » dans les alpages où ils faisaient paître leurs vaches, au dessus du village de La Salette. Maximin Giraud a 11 ans et Mélanie Calvat 14 ans.
D’abord assise et toute en larmes, la « Belle Dame » se lève et leur parle longuement, en français et en patois, de « son Fils » tout en citant des exemples tirés du concret de leur vie. Elle leur laisse un Message en les chargeant de le » faire bien passer à tout son peuple. «
Toute la clarté dont elle est formée et qui les enveloppe tous les trois, vient d’un grand Crucifix qu’elle porte sur sa poitrine, entouré d’un marteau et de tenailles. Elle porte sur ses épaules une lourde chaîne et, à côté, des roses. Sa tête, sa taille et ses pieds sont entourés de roses. Puis la » Belle Dame » gravit un raidillon et disparaît dans la lumière.Retrouvez toute l’histoire des apparitions : https://lasalette.cef.fr/histoire
Le diocèse propose une soirée utile sur un thème d’actualité : la fin de vie. Le Président de la République a annoncé la constitution d’une convention citoyenne sur le sujet, qui réunira 150 citoyens entre décembre 2022 et mars 2023, puis nos parlementaires voteront un texte de loi, un de ceux qui modèleront le visage de notre société.
Grâce à des intervenants très compétents sur le sujet, avec une volontaire ouverture bien au-delà des cercles de l’Église catholique, nous vous proposons de vivre une soirée enrichissante.
La soirée est ouverte à toutes et à tous, avec une participation aux frais de 5€. Il est nécessaire de vous inscrire. Un buffet sera proposé (10 €), qui nécessite également une inscription : contact@lebarteu.fr
Cochez la date dans votre agenda, et invitez autour de vous !
Les paroissiens et nombreux visiteurs étaient invités dès 10h à l’église de Banon pour écouter une conférence de Mgr Grua, évêque émérite de St Flour, sur les évangiles de l’enfance de Jésus.
Mgr Grua a ensuite célébré la messe, qui s’est terminée par la bénédiction de la crèche exceptionnelle de Banon et par celle de la petite Salomé (1 mois).
L’équipe de bénévoles, entrainée comme toujours par Carlos, était présente et a reçu de nombreux applaudissement en guise de remerciements et de signes d’admiration pour ce travail exceptionnel, initié par le père Claude Listello lorsqu’il était curé de la paroisse.
Voici quelques images du cru 2022 !
Les paroissiens étaient invités à se retrouver à 17h45 pour fêter l’Immaculée Conception en pélerinant jusqu’à la chapelle où était célébrée la messe du jour.
GRANDE JOIE DANS NOTRE DIOCÈSE ! Monseigneur Emmanuel Gobilliard a été installé dimanche 11 décembre à la Cathédrale Notre Dame du Bourg à Digne
Petit aperçu de la journée :
Pour voir l’article et les photos : https://eglise.catholique04.fr/?p=11710
Si vous voulez voir ou revoir la messe du 11 décembre :
Elle est en cours de création, et sera visible à partir du dimanche 18 décembre.
Ce jour là, Mgr GRUA, évêque émérite de st Flour, donnera un enseignement sur l’enfance de Jésus à 10h00, puis présidera la messe à 11h00.
A l’issue de celle-ci la crèche de Banon sera bénie. Puis elle sera ouverte au public tous les après-midi de 14h à 17h pendant les vacances scolaires.
12 décembre : Voici quelques photos de la crèche en construction pour vous faire patienter !
Les bénévoles s’activent et le travail avance bien …
Visites et visitations sont au programme aujourd’hui…
Visites aux personnes résidentes de l’Ehpad.
18h00, Messe d’action de grâces pour cette semaine dans notre paroisse.
Et enfin c’est le dernier repas tous ensemble !
Tous les Famissionnaires présents sur le diocèse (260 ) se sont retrouvés à Manosque, entourés des diocésains, pour être formés et aller à la rencontre des habitants de Manosque pour annoncer la Bonne nouvelle !
16h30, messe à Notre dame de Romigier
Suivie d’un spectacle contant la vie de Mgr de Miollis, évêque de Digne !
Toute l’équipe de Famissio a été recue dans l’église magnifique de Cruis par monsieur le maire et le deuxième adjoint, pour une visite commentée.
Un groupe accompagne le diacre pour bénir les tombes du cimetière de Cruis
Laurent et Françoise Milesi proposent une visite de leur exploitation
Temps d’adoration du Saint Sacrement à l’église de Saint Etienne les Orgues.
Fête des défunts. Messe à St Étienne les Orgues
Quelle belle assemblée !
Mission ? Baby foot !
FÊTE DE LA TOUSSAINT !
Messe à l’église de Banon !
Puis départ en mission :
Veillée à la salle Bugadière, et après la vaisselle,
partage du film présenté par le père Barthélémy : https://paroissemontagnedelure.fr/et-larbre-a-donne-ses-fruits/ !
Après l’excellent repas offert il est temps de se diriger vers les lieux de visite.
Un groupe se dirige vers l’ESAT, section menuiserie. Le groupe apprécie les explications et admire le travail effectué sur place.
Le groupe peut maintenant se diriger vers la Chapelle Notre Dame de l’Ortiguière, pour un temps de prière collective, et un bon foot ou un temps de repos au soleil généreux !
La journée se terminait par une soirée miséricorde à Forcalquier.
La journée s’annonce belle ! Le soleil est là pour nous inviter à louer le Seigneur !
Puis bénédiction des tombes du cimetière du village :
On se retrouve dans la salle du temps libre ( salle communale) avec l’association de la fête de la Chataigne. La fête s’est tenue la veille dans le village et a été un franc succès.
Les bénévoles ont tenu à inviter les famissionnaires ! Nous sommes reçus comme des hôtes de marque, comme quelques habitants de Revest du Bion.
Un grand MERCI à eux !
Pour terminer cette belle journée un grand repas attend les familles missionnaires et toutes les personnes rencontrées dans la journée !
Le repas s’est tenu à la salle Bugadière. Et s’est poursuivi par la présentation des familles missionnaires et des paroissiens. (Tous ne sont pas en photo ci-dessous)
Petite promenade après la vie « ordinaire » !
découverte du vieux village de Banon:
Formation à la mission, pour les petits et les grands :
Puis c’est l’envoi en mission dans le village : aller annoncer la BONNE NOUVELLE : Jésus Christ aime chaque homme, est né, est mort et est ressuscité par amour, et nous donne la vie éternelle
La journée a commencé par la messe à l’église de Banon, animée par l’équipe Famissio
à la fin de la messe le père Barthélémy a béni et envoyé en mission tous les volontaires :
Un apéritif attendait tous les participants :
Occasion de danser tous ensemble, dans la bonne humeur et l’enthousiasme donné par l’Esprit Saint
Les familles-missionnaires étaient attendues dès 17h00 au presbytère pour faire connaissance avec les familles qui allaient les héberger tout au long de la semaine dans différents village du secteur paroissial.
Elles, qui ont parcouru un long chemin (de Toulon, Dunkerque, la Creuse ou la région parisienne) sont heureuses de découvrir notre environnement. Elles commencent par répéter la chorégraphie qui sera vécue pendant la semaine.
Le prêtre aumônier de Famissio nous fait même le plaisir de venir rencontrer le père Barthélémy sur ses terres. Le temps de prière nous réunit tous à l’église.
Samedi 15 octobre 2022, le pape François a nommé, Monseigneur Emmanuel Gobilliard évêque de Digne, Riez et Sisteron. Il était jusqu’à présent évêque auxiliaire de Lyon.
Nous souhaitons la bienvenue dans notre diocèse à notre nouvel évêque !
Mgr Gobilliard s’adresse à tous les diocésains dans cette courte vidéo :
Pour télécharger sa biographie et le communiqué de presse officiel, il suffit de
La chaine de télévision KTO vous propose son « portrait d’évêque » dédié à Mgr Gobilliard. Pour encore mieux connaitre Mgr Emmanuel Gobilliard :
Nous sommes invités à prier pour Mgr Gobilliard, afin que le Seigneur lui permette de toujours mieux faire Sa volonté. Nos prières vont aussi vers les personnes du diocèse de Lyon, elles qui vont se séparer de ce serviteur dévoué.
Une équipe spirituelle organise différents evenements au Bartèu, ouverts à tous.
Il y en aura 3 cette année : le vendredi 14 octobre, le 13 janvier et le 10 mars.
Pour celle du 14 octobre nous avons sollicité le P. Thierry Cazes qui introduira les participants à prier avec la Parole à la manière de la lectio divina. Pour celle de janvier, une équipe de la Communauté Vie Chrétienne fera goûter la prière à la manière ignatienne. Et en mars, nous avons sollicité les religieux trinitaires pour nous aider à animer cette journée.
Retrouvez les informations ci-dessous. Afin de faciliter l’organisation, nous souhaitons que les personnes intéressées s’inscrivent. Une participation aux frais de 5 € sera demandée. Ça ne doit évidemment pas être un obstacle à la participation.
Une belle assemblée a vécu la procession avant de partager la célébration de l’eucharistie à Cruis, devant la chapelle de la Croix Glorieuse.
Comme prévu, et malgré le risque de pluie, l’assemblée s’est retrouvée nombreuse pour fêter la sainte Vierge à Notre Dame des Anges.
D’abord la procession à partir du Plan, puis la messe dans la très belle chapelle restaurée l’année dernière.
15 aout, église de Saint Étienne les Orgues
Les conditions de sécurité n’ayant pû permettre le pélerinage et la messe à Notre Dame de Lure, c’est à l’église de St Étienne les Orgues qu’a été célébrée la messe du 15 aout, par le père Barthélémy et par le père Alban.
Les informations :
Ce petit village est situé sur un col reliant le bassin de Forcalquier à la plaine de St Etienne Les Orgues, isolé au milieu de somptueux paysages.
Fontienne vient de Fonte Jana (avant 970) puis Fonteiana (1055). Ce nom est parfois interprété comme faisant référence à sa source importante et à la déesse romaine Diane (fons Dianae), mais plus souvent comme dérivé d’un nom propre romain (Fonteianus), ou variation de Fonteciana du nom d’un homme latin Fonteius plus le suffixe -ane, signifiant « le domaine de Fonteius », l’appellation villa pour la communauté se conservant jusqu’au XIe siècle.
La localité apparaît pour la première fois dans les chartes avant 970 (Fonte Jana). Au IXe siècle, le polyptyque de Wadalde mentionne deux colonicae appartenant à la cathédrale Sainte-Marie de Marseille. Ces deux colonges, appelées Fontelaigas et Fonteleigas, dont une abandonnée, étaient toutes deux situées à Fontienne. Le monument est un simple obélisque, entouré d’une petite grille. Il est situé sur une pelouse devant l’église.
Au milieu du Moyen Âge, le site actuel est occupé par une petite agglomération, comme l’attestent les sarcophages retrouvés autour de l’église. Au XIe siècle, la collectivité devait être administrée par un groupe d’alleutiers, donc de paysans libres ne relevant d’aucun seigneur, ce qui n’empêchait pas la présence d’une église dépendant de l’abbaye de Cruis, qui percevait les revenus attachés à cette église, et d’un seigneur arrière-vassal de Saint-Étienne, absorbé par la vicomté de Reillanne en 1379. Enfin, sous l’Ancien Régime, la communauté relevait de la viguerie de Forcalquier.
La commune fait partie du secteur paroissial de la Montagne de Lure.
L’église paroissiale Saint-Pierre, possède une nef à deux travées en berceau brisé ; deux larges chapelles latérales sont voûtées en plein cintre. Le portail est voûté de claveaux. Le clocher-mur, au-dessus de la façade occidentale, est surmonté d’un fronton triangulaire. Quelques éléments romans sont du XIIIe siècle, mais l’église a été reconstruite en 1611. Le tableau représentant saint Pierre, du XVIIe siècle, est classé monument historique au titre objet.
Voici quelques photos de l’église :
Le château, situé dans le village, est construit sur un premier étage de salles voûtées en plein cintre (XIIIe siècle au plus tôt). Les deux bâtiments construits au-dessus, dont l’un en L et ayant conservé une tour à mâchicoulis, datent du XVIIIe siècle ou du début du XIXe.
En face du château se trouve un ancien prieuré, avec une belle porte ancienne et un cadran solaire qui proclame « Horas numero nisi serenas » (Je ne compte que les heures ensoleillées)… mais le latin du prieur devait laisser à désirer, car la citation correcte est « Horas non numero nisi serenas »).
La chapelle Sainte-Anne se trouve à l’est du village.
Renseignements tirés de Wikipédia https://fr.wikipedia.org/wiki/Fontienne et photos personnelles
Tout le secteur paroissial s’est retrouvé avec les habitants de Fontienne pour fêter saint Pierre, avec une procession dans les rues du village, ce qui ne s’était pas fait depuis 72 ans…
Voici l’occasion de découvrir cette jolie église dédiée à st Pierre
St Pierre a été porté par quatre Fontiennois tout autour du village, au rythme des prières et des chants, préparés par Michèle Bremond.
Et ensuite l’assemblée a pu vivre la messe célébrée par le père Barthélémy.
Au programme de cette journée, dont le thème est « L’amour familial : vocation et chemin de sainteté » : louange, témoignages, enseignements, pour petits et grands, parcours et jeux ont permis de vivre une magnifique journée dans ce lieu de grâces et de bénédictions particulières pour les familles.
Chants de louange pour commencer la journée !
Introduction à la journée par le père Christophe Disdier-Chave
3 témoignages suivis de temps de partage en petit groupe.
Les présents étaient invités à rejoindre Bessillon en suivant un parcours spirituel et ludique.
Pendant que d’autres suivaient la table ronde animée par RCF, ou se rafraichissaient…
La journée s’est achevée par la célébration de la Messe devant Notre Dame de Grâce, en présence des évêques encore sur place et présidée par l’Archevêque de Marseille Mgr Aveline.
Retrouvez toutes les photos de cette journée :
Tout d’abord la messe célébrée par le père Yves Clouet d’Orval, servi par le diacre Cyrille Prache.
La messe a été animée par la Chorale Sarabande.
L’apéritif a permis de rencontrer les uns et les autres
Le cadre magnifique et paisible nous a permis de vivre une belle journée !
En vivant cette fraternité nous rendons visible l’amour du Père pour chaque homme et chaque femme !
Les jeunes du diocèse et les paroissiens volontaires se sont retrouvés au Grou de Bane jeudi 26 mai pour célébrer la messe de l’Ascension dans la joie, et pour bénir le village et ses alentours !
Départ du cimetière de Banon pour l’ascension à pieds…
les voilà !
La vue est splendide sur le village et sur la plaine !
Célébrons l’Ascension du Seigneur, en rendant grâce !
Ascension jusqu’à la croix qui culmine au Grou de Bane, pour une large bénédiction.
Certains ont eu la chance de redescendre an parapente !
Le programme était alléchant (autant pour les petits que pour les grands): découvrir Monseigneur de Miollis, vivre un temps de découverte du beau village d’Ongles, prendre le temps de faire connaissance, et célébrer ensemble, en fraternité et portés par les chants joyeux, à la chapelle du Rocher d’Ongles.
Retrouvez en photos quelques clichés de ces excellents moments fraternels et spirituels !
( les photos des enfants arriveront bientôt !)
Louange avec Christine et Vincent, puis accueil par le père Christophe Disdier-Chave, qui fêtait ses 28 ans de sacerdoce.
Remarquable intervention de monsieur Saugeron, venu de Digne pour nous parler de Monseigneur de Miollis https://eglise.catholique04.fr/?p=10329
Repas partagé à l’ombre douce des platanes
….suivi de la découverte du charmant village d’Ongles, et de son musée très riche et intéressant, présenté par madame le maire. .
La journée s’est terminée à la Chapelle du Rocher d’Ongles, décorée par sœur Grâce
Et l’assemblée a eu le privilège et la joie d’accompagner Marie, habitante du hameau , pour son baptême!
Puis nous avons terminé la journée dans la joie et l’émotion de dire au revoir au père Alban et au père Christophe qui quitteront la paroisse de Forcalquier et donc le doyenné en septembre.
Merci au père Barthélémy, et à toutes les personnes qui ont permis cette belle journée!
Toutes les informations sur le site diocésain : https://eglise.catholique04.fr/?p=10310
et voici la synthèse diocésaine :
Jacques-Honoré (Le Ve) Chastan,, martyr en Corée, voit le jour à Marcoux (Alpes de Haute Provence), le 7 octobre 1803… Il est ordonné prêtre en 1826…
En avril 1827 il part pour Macao… A la fin de 1836, il retourne à la frontière de la Corée pour y attendre les chrétiens qui devaient l’aider à pénétrer dans le pays interdit sous peine de mort…
J.-H. Chastan a été décapité le 21 septembre 1839….
Le 6 mai 1984, à Séoul, à l’occasion de son voyage en Corée, le Pape Jean-Paul II a réuni dans une même canonisation 103 bienheureux.
Martyrologe romain
Si quelque chose pouvait diminuer la joie que nous éprouvons en ce moment de départ, ce serait de quitter ces fervents néophytes que nous avons eu le bonheur d’administrer pendant trois ans et qui nous aiment comme les Galates aimaient saint Paul, mais nous allons à une trop grande fête pour qu’il soit permis de laisser entrer des sentiments de tristesse dans son cœur.
POUR EN SAVOIR PLUS : https://missionsetrangeres.com/martyrsdasie/saint-jacques-chastan/
Nous sommes tous invités à participer à une conférence organisée par le diocèse de Digne sur le thème « rebâtir la fraternité ».
Cette conférence est ouverte à tous sans distinction aucune, quelles que soient ses options, ses appartenances philosophiques ou politiques, ses croyances ou non croyances.
Nous sommes tous citoyens et, à ce titre, figure dans la devise de notre pays la notion de fraternité. La promouvoir est le rôle de chacune et de chacun : parents, enseignants, éducateurs, politiques…
Le diocèse a invité, pour nous aider à réfléchir, Jean-Marie Petitclerc, un homme qui est d’abord un homme de terrain qui vit et expérimente la fraternité au quotidien par son travail d’éducateur auprès des jeunes dans des quartiers difficiles. Cet homme de terrain est aussi polytechnicien et expert des questions d’éducation. Il a également été conseiller ministériel sur les questions liées à l’éducation.
Comme beaucoup d’entre nous, de par son expérience quotidienne et sa réflexion, il est préoccupé par le présent et l’avenir de la fraternité menacée aujourd’hui par le repli sur soi. Ne risque-t-on pas aussi de voir s’effondrer tout ce qui nous unit : les liens de proximité et de solidarité, mais aussi les liens éducatifs, économiques ou politiques au sens noble du terme ? N’attendons pas demain pour agir, insiste Jean-Marie Petitclerc. L’avenir de nos sociétés est à ce prix.
Cette journée est aussi proposée aux familles avec enfants et jeunes. Merci de diffuser largement.
Nous sommes TOUS invités à participer à cette action .
SUR LE STAND DU SECOURS CATHOLIQUE DE LA MONTAGNE DE LURE, le jour de la FÊTE DU FROMAGE à BANON, DANS LA COUR DU PRESBYTÈRE.
Le secours Catholique a l’habitude tenir un stand le jour de la Fête du Fromage, pour présenter et vendre les objets réalisés à l’atelier du savoir faire du jeudi après midi .
Cette année un stand supplémentaire complétera le stand initial, composé de Bric et Brac, objets apportés par tous ceux qui se préoccupent de l’accueil des réfugiés (Ukrainiens spécialement).
NOUS SOMMES DONC TOUS CONCERNÉS : APPORTONS UN OBJET (avec son prix estimé), parlons de cette initiative autour de nous, et venons acheter le jour J !
VOICI QUELQUES PERMANENCES POUR APPORTER LES OBJETS à BANON :
Pour toute info contacter la paroisse : paroissedebanon@yahoo.fr
ou en bas de cette page : contact
La porte du Tabernacle, en très mauvais état depuis quelques années, a été très bien restaurée par un artiste, Jean-Louis Bocquis, grâce à un généreux mécène.
Il a dû travailler sur une porte certes très abimée, mais constituée, chose rare, de l’alliance de deux matériaux, le bois et le marbre.
Ce dimanche 24 avril c’était l’occasion de la remettre en place, et de bénir le tabernacle et la nombreuse assemblée présente en ce jour de messe des Familles.
Porte enfin dévoilée !
C’est trois jours qui nous font vivre la Passion du Christ jusqu’à sa Résurrection.
Après la messe, nous adorons le Seigneur, devant le reposoir.
Cette année nous avons retrouvé les paroissiens de tout le doyenné à la Con-Cathédrale de Forcalquier
Et avons eu le bonheur d’accompagner Caroline et Lætitia pour leur baptême.
Les Cierges Pascals ont été bénis avant d’être remis à des paroissiens.
Les réflexions du groupe qui s’est réuni dans le cadre de ce synode ont été synthétisées en vue de communiquer à l’évêché « l’extrait distillé » du travail accompli. 3 sous-groupes du grand groupe ont réfléchi et se répartissant selon 3 thèmes :
Nous trouvons un espace commun aux 3 sous-groupes, qui s’articule autour de la fraternité et du vécu qui prime sur le savoir et l’habitude. Ainsi, aller vers l’autre, même et surtout en dehors de l’Église, correspond à une démarche missionnaire. En Église, nous pourrions tous être orientés dans cette direction.
Le groupe s’est retrouvé en plénière pour partager « la phrase de la fin » selon chacun de ses membres.
La tonalité dominante est la suivante :
« Demander au Seigneur de nous aider à garder confiance, car il nous revient, dans une collaboration ministres ordonnés-laïcs toujours renforcée, de faire progresser la foi, de laisser notre cœur déborder de ce que nous avons reçu, afin que tout un chacun puisse à son tour rencontrer le Seigneur. »
Le Saint Père a initié une démarche synodale pour toute l’Église sur le thème de la synodalité. Ce Synode aura trois étapes : une diocésaine (en cours), une continentale (2021- 2022) et une universelle à Rome en octobre 2023.
Deux questions fondamentales sont données par la Pape pour guider cette consultation du Peuple de Dieu :
C’est donc à une expérience d’écoute et de communion entre nous que le Saint Père nous invite, en vue d’affermir la Mission de l’Église : conduire et accompagner chacun vers Dieu.
Notre secteur paroissial a son mot à dire ! C’est une chance pour nous tous de prendre part à cette réflexion. Plutôt que de regretter que « tout vienne toujours d’en haut » prenons la parole que l’on nous donne ! Et cette liberté est offerte à tous les habitants de notre secteur paroissial !
Le rendez-vous est le samedi 12 mars à 14h30 à la médiathèque de SEO, animé par notre référente du synode, Françoise Milesi, Cyrille Prache et le père Barthélémy .
Les familles qui accueillent des ukrainiens dans notre secteur ont besoin de notre soutien .
Pour cela des artistes locaux ont donné des œuvres qu’ils exposent à l’ancienne mairie de Simiane la Rotonde pour les vendre.
Chers amis,
Comme chaque année, nous venons vers vous pour la collecte du denier de l’Eglise. C’est grâce à vous que notre église des Alpes de haute Provence peut remplir ses missions : Célébrer, Montrer l’Amour de Dieu dans un accompagnement personnalisé, Servir les plus fragiles et Annoncer la Bonne Nouvelle.
Sans aide du Vatican, notre église ne vit que de dons !
Or les besoins sont importants : la prise en charges des prêtres, des séminaristes et des laïcs salariés pour la mission ou pour l’administratif représente 655 K€ en 2020.
En votre âme et conscience, regardez comment vous vous sentez concerné et pouvez nous aider.
Merci d’avance de votre générosité et de votre fidélité qui me touche beaucoup !
+Jean Philippe NAULT
Si vous souhaitez effectuer votre don en ligne : http://eglise.catholique04.fr/?page_id=3054
Pour effectuer un don en passant pas la page diocésaine : http://eglise.catholique04.fr/?page_id=6619
Plusieurs moments forts rythment la semaine sainte qui précède la fête de Pâques. Le vendredi saint, les chrétiens revivent la passion et la mortvdu Christ, avant de fêter sa résurrection le dimanche suivant. Une façon de prier et de méditer les dernières heures de Jésus avant sa crucifixion est de faire le chemin de croix pendant les vendredis du carême.
Le chemin de croix est une forme de “pèlerinage” autour de la passion du Christ. A travers 14 stations, nous sommes invités à revivre le chemin que Jésus fit de sa condamnation à mort jusqu’à sa crucifixion et sa mort au Golgotha. C’est une forme de prière particulière puisque nous marchons et méditons à la fois pour cheminer – tant physiquement que spirituellement – au côté du Christ dans son calvaire.
Seul, à plusieurs, dans une église ou même en ville, le chemin de croix est avant tout cheminement intérieur. Dans chaque église, nous trouvons les 14 stations représentées. Souvent des propositions sont faites dans les paroisses pendant le temps du carême pour vivre ce moment en communauté. Toutefois nous pouvons revivre la Passion du Christ et ce mystère d’amour de la croix quand nous le désirons.
Au début du chemin de croix, nous pouvons commencer par dire cette prière :
« Dieu, Père très bon, par amour pour nous, tu as envoyé ton Fils sur la terre, qui s’est fait obéissant jusqu’à la mort sur une croix, pour nous sauver tous.
Je veux aujourd’hui suivre en pensée le Christ sur le chemin de la Croix, pour ouvrir plus largement mon âme à ta bonté sans mesure, et mieux comprendre la gravité de mes péchés. Que la contemplation des souffrances de Jésus éveille en moi contrition sincère, et la volonté de me corriger.
O Marie, mère des douleurs, obtiens-moi de Jésus, cette grâce. Amen. »
Puis, nous entamons notre marche à travers les différentes stations. A chacunes d’elles, nous prenons un temps :
Première station : Jésus est condamné à mort.
Deuxième station : Jésus est chargé de la croix
Troisième station : Jésus tombe pour la première fois sous le poids de la croix.
Quatrième station : Jésus rencontre sa très sainte Mère
Cinquième station : Simon de Cyrène aide Jésus à porter sa croix
Sixième station : Véronique essuie le visage de Jésus
Septième station : Jésus tombe pour la deuxième fois
Huitième station : Jésus réconforte les femmes de Jérusalem
Neuvième station : Jésus tombe pour la troisième fois
Dixième station : Jésus est dépouillé de ses vêtements.
Onzième station : Jésus est crucifié
Douzième station : Jésus meurt sur la croix
Treizième station : Jésus est déposé de la croix
Quatorzième station : Jésus est déposé dans le tombeau
On ajoute parfois une quinzième station, qui est le tombeau vide : une ouverture vers la résurrection fêtée à Pâques.
Entre chaque station, nous pouvons dire « Nous t’adorons au Christ et nous te bénissons… », réciter un Gloire au Père ou reprendre un chant.
Chemin de Croix, Pape François, avril 2014
Chemin de Croix, Cloître de la Cathédrale saint Vincent. Diocèse d’Autun , Paroisse Saint Just de Bretenières, Chalon sur Saône,
Chemin de Croix, diocèse de Vanne, mars 2020
Réplique de la Croix faite et offerte par MESTRE Jean-MICOULIN le 14 juin 1992 (faite et installée par Bricojardin en janvier 2022)
Avec le 1er scrutin des deux catéchumènes Caroline et Lætitia, qui seront baptisées pendant la Vigile Pascale à Forcalquier
Avec la conférence de Carême donnée par le frère de la Communauté st Jean, et le deuxième scrutin des catéchumènes
Vernissages les samedis 9 avril et 7 mai à 19h.
Ouverture tous les jours de 14h à 18h,
et sur demande auprès d’Isabelle Oudot au 06 28 28 50 96
En cette période troublée le Secours Catholique nous propose une soirée d’échanges et de partage au Revest du Bion, à partir de 19h.
« La multitude de ceux qui avaient adhéré à la foi avait un seul cœur et une seule âme; et personne ne se disait propriétaire de ce qu’il possédait, mais on mettait tout en commun…On en redistribuait une part à chacun des frères au fur et à mesure de ses besoins ». (actes des Apôtres 4:32-36).
Au delà de simples échanges, rassemblons nos idées et nos forces pour agir efficacement, pour venir en aide aux peuples qui souffrent, en Ukraine mais aussi ailleurs.
MERCI DE VOUS INSCRIRE sur le site (formulaire contact)
ou sur l ’email de la paroisse : paroissedebanon@yahoo.fr
pour prendre la succession de Mgr André Marceau,qui avait présenté sa démission il y a quelques mois.
Monseigneur Nault a écrit aux diocésains :
Retrouvez un portrait vidéo de Mgr Jean-Philippe Nault :
Nous pouvons rendre grâce pour l’évêque que nous avons eu pendant 7 ans et nous réjouir pour le diocèse de Nice !
Il sera installé à la cathédrale de Nice le 8 mai, à 15h30.
Plus que jamais, aujourd’hui, nous pouvons reprendre la devise épiscopale de Mgr Nault : « Que Ta volonté soit faite » !
Retrouvez tout l’article qui lui est consacré sur le site de l’Église de France : https://eglise.catholique.fr/conference-des-eveques-de-france/nominations/523948-mgr-jean-philippe-nault-nomme-eveque-de-nice/
Mgr Jean-Philippe Nault, évêque de Digne, Riez et Sisteron, a publié ce 1er Mars une troisième série de nominations.
Demandons au Seigneur, par l’intercession de la Vierge Marie, de préparer chacun des prêtres à sa mission, et chaque paroissiens à avoir le cœur ouvert et accueillant.
Dernier dimanche avant le Carême et premiere messe des familles à Banon depuis bien longtemps.
Une famille bien dynamique a animé l’eucharistie et a entrainé l’assemblée.
Merci à chacun de ses membres ! On attend le prochain rendez-vous !
Depuis 1992, l’Église universelle célèbre tous les 11 février, fête de Notre-Dame de Lourdes, la Journée Mondiale du malade. Son thème cette année, “Heureux”. i La Journée mondiale du malade se décline dans les diocèses français en un Dimanche de la Santé, pour rappeler que l’accompagnement des personnes souffrantes et la préservation du don de santé sont des priorités évangéliques.
En France, cet événement se vit en paroisse à l’occasion du Dimanche de la Santé, généralement le dimanche le plus proche du 11 février. L’Église est présente sur le terrain de l’accompagnement, au sein des aumôneries hospitalières avec ses équipes de bénévoles qui œuvrent aux côtés d’associations laïques où tant de personnes de bonne volonté s’engagent aussi. Encourager tous ces volontaires, qui partout en France dans les plus petits villages et les plus grands hôpitaux, dans la discrétion et la simplicité, se rendent présentes au jour le jour à l’autre, malade, seul, isolé, est l’une des dimensions du Dimanche de la santé. Les inviter à approfondir leur engagement, à poursuivre leur formation, à donner du sens à ce service et à cette mission aussi.
Nous devons être témoins auprès des malades de cet Évangile qui peut les aider à se remettre debout.
Initié par les diocèses de Lille, Arras et Cambrai, le dimanche de la santé s’est étendu à l’ensemble des diocèses depuis le Jubilé de l’an 2000. Cette célébration, qui s’inscrit toujours dans le cadre de la liturgie dominicale, permet aux assemblées de chrétiens de prier en lien avec la Journée mondiale du Malade.
« Une intention de prière le dimanche de la santé ne suffit pas ! s’exclame Mgr Michel Guyard. Nous sommes tous concernés. Cette journée doit être l’occasion de rencontres. Comment prévenir la maladie et éviter les excès ? Comment, pour le personnel soignant, résister aux demandes des malades ? » Et les rencontres avec des partenaires de la santé concernés par le thème proposé chaque année sont de plus en plus nombreuses ; toutes les initiatives sont possibles qui peuvent sensibiliser les communautés chrétiennes au monde de la santé : rencontres avec des acteurs de santé, liturgie préparée avec des équipes de service évangélique des malades ou d’aumônerie, témoignages de soignants, de professionnels de santé, réflexions autour de thèmes, rencontre festive avec diverses associations ou mouvements œuvrant pour les malades etc…
Cette journée est par exemple l’occasion pour le Service évangélique des malades (Sem) de rappeler que beaucoup de personnes en souffrance ne peuvent se déplacer pour assister à la messe, et d’inciter les chrétiens à rejoindre les équipes bénévoles du Sem qui vont porter le Saint Sacrement aux malades dans la custode.
Autre manière de faire participer les malades à la célébration eucharistique, certaines paroisses prévoient un transport spécial pour les malades et leur famille et organisent un repas fraternel après la messe. Il est également possible à l’occasion du Dimanche de la Santé de recevoir le sacrement des malades dans de nombreux diocèses.
Message du pape François pour la 30ème journée : https://eglise.catholique.fr/vatican/messages-du-saint-pere/490322-message-pape-francois-xxviiie-journee-mondiale-malade/
devant la superbe crèche qui attend vos visites !
La crèche est visible jusqu’au 2 février à l’église, à la demande en téléphonant au 09 64 02 87 97 .
Messe à Saint Etienne les Orgues pour la veillée de Noël
Messe unique de secteur , avec une intervention du père Lucien sur le thème de la joie
Lors de cette célébration unique, deux jeunes femmes ont fait leur entrée en catéchuménat
et la crèche a été bénie (voir l’article complet)
Elle a été bénie et inaugurée le dimanche 19 décembre 2021, à l’issue de la messe dominicale. Et voici les photos de cette merveille, renouvelée chaque année.
Elle sera ouverte dès le dimanche 19 décembre, de 14h00 à 16h00.
Elle est installée, et nous pouvons l’admirer !
La paroisse de la MOntagne de Lure, qui s’étend de Revest du Bion à Mallefougasse comporte 17 villages.
Les bonnes volontés reçoivent beaucoup en donnant à la paroisse, et seraient tout à fait heureuses d’etre plus nombreuses !
Nous avons tous un talent qui pourrait profiter à tous !
Regardez ci-dessous si vous trouvez le votre … et venez le faire fructifier avec le père Barthélémy et l’Église ! N’hésitez pas à vous manifester !
Oui elle va être visible bientôt ! Dès dimanche prochain , le 19 décembre !
En effet, en cours de montage, elle sera bénie et inaugurée lors de la messe du 19 décembre de 11h00, et sera donc visible dès l’après midi, de 14h00 à 17h00.
À partir de cette date, vous pourrez venir voir la crèche tous les jours de 14h à 17h et ce jusqu’au 30 janvier à l’Église paroissiale.
Le port du masque est obligatoire ainsi que l’utilisation du gel hydro-alcoolique mis à disposition à l’entrée.
L’accès à l’église se fera par petits groupes pour limiter la présence d’un trop grand nombre de personnes simultanément, merci de respecter ces contraintes.
Voici quelques photos des coulisses …en attendant d’admirer la crèche terminée, qui, rassurez vous sera au moins aussi belle que celles que nous avons toujours connues !
….est installée et attend les visiteurs !
Bravo aux personnes qui l’ont réalisée et installée !
Le père Barthélémy va parcourir les villages de la paroisse de la Montagne de Lure pour bénir les tombes de nos proches.
Soyons présents pour rendre mémoire à nos anciens disparus !
Les rendez-vous sont donnés aux cimetières des villages nommés :
Samedi 30 octobre à 17 H 30 LA ROCHEGIRON
Dimanche 31 Octobre à 14H30 CRUIS
Lundi 01 novembre (Toussaint) à 12 H 00 ST-ETIENNE LES ORGUES
Mardi 02 novembre (Fête des Défunts) à 17 H 30 BANON
Dimanche 07 novembre à 12 H 00 ONGLES
Dimanche 14 novembre à 12 H 15 MALLEFOUGASSE
Dimanche 21 novembre à 12 H 15 LARDIERS
Ce dimanche 28 novembre 2021 3 couples de la Communion Priscille et Aquila étaient présents à la messe de Banon. ( https://www.communion-priscille-aquila.com/ )
Partageant pendant 24h un temps de prière, de louange, de partage fraternel et de réflexion autour de l’évangélisation, ces 3 couples venus de notre diocèse et de celui de Gap, ont été heureux de vivre ce temps d’eucharistie dans notre paroisse.
jeudi 25 novembre le père Barthélémy a célébré la messe à l’Ehpad de Banon pour les résidents heureux de le recevoir.
Pour fêter la Lumière apportée par le Christ et pour soutenir le Secours Catholique :
à partir de 14h collecte de jouets en bon état
17h00 Messe à l’église
18h00 Illuminations
19h30 Dégustation de soupes
Présentation de l’équipe des Ateliers du Savoir Faire, qui se retrouve tous les jeudis après midi, à coté de l’église de Banon
L’assemblée paroissiale a été conviée à l’atelier pour admirer les réalisations et partager le verre de l’amitié.
Rendez-vous sur les marchés de noël :
à Revest du Bion le 4 décembre, le 11 décembre à Simiane la Rotonde et le 12 décembre à Banon.
Il y a de quoi acheter pour jouer au Père Noël !!! Pensez-y !!!
Au cimetière de CRUIS, le 31 octobre
Un programme chargé mais très varié !
Un village pour présenter des mouvements et associations :https://www.congresmission.com/partenaires
Des tables rondes et ateliers le samedi et le dimanche :
Des veillées le samedi soir
Ce mardi 5 octobre, le rapport de la CIASE (Commission Indépendante sur les Abus Sexuels dans l’Église) a été remis aux deux mandants, les évêques de France (CEF) et la Conférence des religieux et religieuses de France (CORREF). Ce rapport, commandé par les évêques à la CIASE en 2018, découle de près de 3 années de travail d’une commission indépendante d’experts ; il s’étend sur 70 ans, soit depuis 1950. Il avait trois objectifs : recueillir les témoignages et établir des faits concernant la pédophilie dans l’Église ; comprendre pourquoi et comment de tels faits ont pu se produire ; dresser le bilan de l’action de l’Église contre la
pédocriminalité depuis les années 2000 et faire des recommandations pour l’avenir.
Les résultats donnés par cette commission sont terribles et douloureux, et cette épreuve touche bien sûr les victimes mais aussi toute la “famille” de l’Église et toute la société. Le
nombre estimé de victimes de prêtres ou de religieux durant cette période dans l’Église, est un chiffre effrayant. Nous sommes bouleversés et honteux devant l’ampleur de ces données et devant ce drame humain indescriptible.
Le premier mouvement est bien sûr celui de la stupeur et de l’horreur ; puis vient celui de la compassion, de l’écoute et de la repentance. Il nous faut surtout prendre des moyens fermes pour éviter que cela ne se reproduise. Les évêques de France ont commencé à prendre collégialement des mesures claires sur quatre plans : la justice, l’accompagnement des
victimes, la prévention, la reconnaissance et la mémoire [Cf Lettre aux catholiques de France de mars 2021] ; ce nouveau rapport va permettre d’amplifier et d’ajuster les choses.
« L’ampleur et la gravité des faits exigent que nous réagissions de manière globale et communautaire » précisait le Pape François en août 2018 dans sa Lettre au Peuple de Dieu.
Pour grandir, il nous faut regarder la vérité en face et en tirer, ensemble, les justes conséquences. C’est ce que l’Église s’engage à faire avec détermination, et la volonté de faire
la lumière sur ces 70 ans passés en est un premier signe. Avec courage et un désir réel de conversion, il nous faut maintenant prendre les mesures de prévention, d’accompagnement et de “contrôle” qui seront nécessaires.
Pensons tout d’abord aux victimes et aux personnes qui doivent se reconstruire ; nous avons davantage compris, par leur témoignage courageux, les terribles impacts de ces actes et les traces profondes laissées en elles. Notre première pensée et notre prière accompagne ces personnes.
Prenons les mesures de prévention nécessaires, tout spécialement dans l’accompagnement des jeunes qui nous sont confiés. Sachons aussi croire en la bonté fondamentale de la personne humaine, qui même défigurée par le péché, ne peut être entièrement détruite. Écartons la stigmatisation des coupables, et préférons la justice et l’espoir d’un pardon que
seules les victimes peuvent accorder.
Dans notre diocèse, le diocèse de Digne, sur cette période de de 70 ans (depuis 1950) nous avons connaissance de moins de dix cas de prêtres et religieux impliqués dans ces cas
d’agression, recensés après analyse des archives et recueil de témoignage ; pour chacun les mesures nécessaires ont été prises. Mais bien sûr cela est déjà beaucoup trop pour les
personnes concernées, et cela blesse douloureusement notre “être” chrétien.
Accueillons avec humilité ce rapport. C’est une invitation à une prise de conscience personnelle et collective de ces drames, et à nous recentrer sur l’essentiel, Jésus-Christ. « Ce
que vous avez fait à l’un de ces petits, c’est à moi que vous l’avez fait » nous a dit Jésus ; en nous tournant vers Lui, demandons la grâce du repentir, de la compassion vraie, et celle qui
nous est nécessaire pour traverser l’épreuve. Demandons-Lui aussi la clairvoyance et la volonté nécessaires, afin que l’Église soit toujours plus un lieu accueillant, humble et vrai.
Que le Seigneur nous aide et nous accompagne en ces moments douloureux et difficiles. Que Notre-Dame veille sur chacun.
Jean-Philippe NAULT, évêque de Digne, Riez et Sisteron
Communiqué de la Conférence des évêque de France [CEF]
Voici un lien pour télécharger le rapport :https://www.ciase.fr/rapport-final/
C’est le 21 septembre dernier qu’Hermine Saubion, qui habitait Vachères et qui est résidente à la maison de retraite de Banon, a fêté ses 110 ans, entourée des bénévoles de la pastorale de la santé de la paroisse du Largue et de Marie-Lyne.
C’est en octobre 2018 que l’équipe de WeGo Productions a rencontré le Père Barthélémy ZAGRE, prêtre ivoirien, à cette époque affecté au diocèse de Digne-les-bains dans les Alpes-de-Haute-Provence. Ensemble ils ont posé les bases d’un projet de documentaire sur les prêtres venus d’Afrique. 2 ans après, le projet a fleuri.
Sous la métaphore végétale de la graine qui prend racine et se développe, nous ouvrons des parenthèses de vie de pères africains, les pères Barthélémy, Benoît, Antoine et Valerry, venus sur le territoire français porter la parole de l’Évangile. Qu’ils soient étudiants en théologie, curés de province ou cardinal, venus du Bénin, de Côte d’Ivoire ou du Sénégal,ces pères étrangers sont le fruit de l’évangélisation de l’Afrique il y a plus d’un siècle et portent avec eux une approche religieuse, spirituelle, culturelle et cultuelle nourrie par leur histoire originelle. Ils sont venus en France en reconnaissance du travail accompli, le plus simplement. Dans ce documentaire, il nous sera donné à apprendre certains des fondements de cette venue et leurs conséquences.
DIFFUSION SUR KTO EN SEPTEMBRE
Retrouvez les premières images et les informations : https://www.wego-productions.com/le-film-et-larbre-a-donne-ses-fruits-en-diffusion-sur-kto-tv-a-la-rentree
C’est toujours une grande fête pour l’Église et particulièrement pour une paroisse que d’accueillir un nouvel ordonné.
Cela a été le cas pour l’Église du diocèse de Digne, Riez et Sisteron, ainsi que pour la paroisse de la Montagne de Lure le samedi 18 septembre 2021 puisque c’est ce jour là que Monseigneur Jean-Philippe NAULT a ordonné Cyrille Prache diacre permanent par l’imposition des mains et le don de l’Esprit Saint.
La célébration s’est tenue à 10h30 à la Concathédrale de Forcalquier qui était pleine.
Retrouvez l’intégralité de la célébration :
C’est avec une immense joie que le père Barthélémy a baptisé Alice, Antôn et Jade GAIDON le 22 aout 2021 !
Toute la paroisse se réjouit de ce bel évènement et attend impatiemment de retrouver ces adorables enfants !
Toutes nos félicitations aux heureux parents !
En présence d’une centaine de fidèles et personnes venues à l’invitation de la mairie de Saint Étienne les Orgues et de l’Association de sauvegarde de l’Abbaye de Lure, la messe de l’Assomption de la Vierge Marie a été célébrée par le père Barthélémy devant la Chapelle de Notre Dame de Lure.
Célébration animée par Katherine Théron (chants) et Martine Seyre (Flute traversière)
Le rendez-vous était fixé à 17h00 au Plan pour emporter ensemble la Statue de la Vierge Couronnée d’étoiles jusqu’à la Chapelle de Notre Dame des Anges ! Nombreux ont été ceux qui ont répondu à cette invitation.
L’assemblée était nombreuse à 17h00 pour la messe présidée par Monseigneur Jean-Philippe NAULT dans la chapelle Notre Dame des Anges, pour fêter la fin de sa restauration et sa bénédiction par l’évêque du diocèse de Digne, Riez et Sisteron.
Tous ont pu admirer le travail effectué à l’intérieur de la chapelle, travail remercié par Monseigneur Nault à de nombreuses reprises.
La suite de la soirée s’est poursuivie par la prise de parole de madame Moutte, maire de Banon, de madame Marie-Françoise Brunel, déléguée départementale de la Fondation du Patrimoine, et du représentant du parc du Luberon.
Le verre de l’amitié a ensuite rassemblé toute l’assistance au pied des statues de Sainte Anne et saint Joseph (ou saint Joachim…) dans une ambiance conviviale.
retrouvez les informations données par la Fondation du Patrimoine :
Ainsi au cours de la journée voici une nouvelle façon de réciter son rosaire les mains libres.
C’est très simple : il suffit de faire glisser les petites boules de bois. Une explication détaillée de la prière du Rosaire se trouve au dos de l’objet. Et, quelle belle idée de cadeau pour enseigner et inviter petits et grands à prier cette extraordinaire prière si puissante sur le cœur de Dieu !
Notre Dame nous a dit que par le rosaire, on peut arrêter des guerres et modifier notre avenir.
Sur les bouliers que voici, l’image du centre est une photo de Notre Dame des Anges de Banon, particulièrement à l’honneur cette année : la restauration de sa chapelle étant achevée, nous espérons que nous serons très nombreux à l’honorer le soir du 14 Août 2021 à 18h00.
En souvenir vous pourrez repartir avec un ou plusieurs bouliers de prière qui sont vendus au prix de 15 euros l’unité.
Voici ses dimensions : Largeur 15.5cm x Hauteur 13.5cm x Profondeur 6.5cm
15€ l’unité
Choisissez parmi les différents modèles ci-dessous:
N’hésitez pas à faire connaître autour de vous cet ingénieux et très bel outil de prière !
Afin d’envisager vos demandes et vous permettre de choisir parmi plusieurs modèles, nous vous demandons de bien vouloir prendre contact avec la paroisse par mail (paroissedebanon@yahoo.fr ou par le formulaire de contact en bas de cette page) pour réserver votre achat.
A la messe de 18h00, la chapelle du village a rassemblé les habitants de Redortiers autour de leur maire, des paroissiens et des vacanciers. Portée par l’animation dynamique et priante de Martine et sa guitare, l’assemblée a participé de bon cœur.
Tous se sont retrouvés ensuite à la salle communale autour d’une excellente soupe à l’épeautre offerte par la municipalité. En attendant l’heure d’allumer le feu et d’encourager quelques courageux « sauteurs » !
Tous ont pu assister à l’arrivée d’une très belle lune !
« L’ordre du jour, dit le pape François, est à une réforme des structures. Cette « réforme des structures, qui exige la conversion pastorale, ne peut se comprendre qu’en ce sens : faire en sorte qu’elles deviennent toutes plus missionnaires, que la pastorale ordinaire en toutes ses instances soit plus expansive et ouverte, qu’elle mette les agents pastoraux en constante attitude de “sortie” et favorise ainsi la réponse positive de tous ceux auxquels Jésus offre son amitié. » (Evangelii Gaudium, 27)
Cette initiative se déroulait jusqu’à présent à Paris. Les paroisses de province ont maintenant la chance de pouvoir vivre cet événement puisqu’il se rapproche d’elles.
Tout savoir sur ce que c’est : https://www.congresmission.com/
ou regarder cette plaquette qui présente le contenu de ce Congrès (un peu comme une « foire aux initiatives »):
Vous serez informés de ce qui pourrait dynamiser la vie de la paroisse ! C’est une chance pour tous !
Clôture de la soirée du Congrès Mision 2018 :
Au mois de juillet le PELE VTT de notre diocèse passe plusieurs jours dans notre paroisse.
Le Pélé VTT, c’est 5 jours à vélo avec d’autres jeunes en direction d’un sanctuaire marial ou d’une cathédrale. C’est un événement inoubliable qui permet de progresser dans la foi. Né en 2001 à Rocamadour, il existe aujourd’hui dans 33 départements et regroupe 5000 participants https://www.pele-vtt.fr/
Regardez la version 2019 vécue dans le 04 :
SI VOUS CONNAISSEZ DES JEUNES QUE CELA POURRAIT INTÉRESSER, n’hésitez pas à leur transmettre l’information !
On vous en reparlera car vous allez certainement croiser ces jeunes …. et qu’ils auront sans doute besoin d’un coup de main …
samedi 22 mai à 11h00 le père Barthélémy a célébré la messe à la chapelle de Bertranet en présence du trentaine de personnes fidèles à ce rendez-vous!
Nous sommes heureux d’accueillir un nouveau baptisé : bienvenue à Timeo, baptisé le 22 mai dans l’église de Cruis.
Félicitation à ses parents ! Que le Seigneur bénisse Timeo et sa famille !
Le 15 mai 2021, Francis Moutte, que les paroissiens connaissent bien, va fêter ses 91 printemps, et ce sera l’occasion de se réjouir avec lui de sa vie en compagnie de Dieu puisqu’il a reçu le baptême dans cette église le 1er juin 1930, y a ensuite vécu toutes les étapes de sa vie de chrétien : sa première communion, sa confirmation et son mariage avec Paulette NICOLAS.
Les grands-parents paternels de Francis Moutte, Philippe et Julia, qui habitaient Tinette à Redortiers, ont rejoint Le Jas de la Moutte à Saint Etienne les Orgues en 1907, année de la naissance du papa de Francis, Arcade. Ils habiteront chez Madame Moutte, une tante. Les grands-parents maternels de Francis, de Cruis, étaient Joachim et Maria Turin.
Arcade, papa de Francis, épousera Marie -Jeanne et ensemble ils élèveront 5 enfants en ayant la tristesse de perdre Maxime à 12 ans d’une septicémie.
Francis, paysan à Saint Etienne, a épousé Paulette Nicolas (d’une famille connue de Forcalquier) le 27 janvier 1957 dans l’église du village.
Ils ont eu la joie d’avoir 4 garçons, (Dominique, François, Philippe et Claude) et la peine de voir partir Philippe victime d’un accident de chasse encore jeune (12 ans). Il y a maintenant 5 petits-enfants et 2 arrière-petits-enfants autour de Francis, resté seul après le décès de Marie Jeanne en 2012.
Francis n’habite plus le Jas, mais une maison pas loin de sa maison d’enfance et continue à fréquenter l’église du village tous les dimanches et jours de fête religieuse. Il continue à se préoccuper de la vie de foi de sa paroisse et reste attentif aux autres.
Nous avons eu la chance de pouvoir lui souhaiter un bel anniversaire dimanche 16 mai à l’issue de la messe de 11h00 à st Etienne les Orgues, ainsi que le dimanche 22 mai, jour de la Pentecôte
Merci Seigneur pour cette vie féconde et pour le don de la foi fait à Francis !
Depuis 6ans, le Congrès Mission a été créé pour s’interroger sur notre Foi. Dans quelle catégorie de notre vie trouve-t ’elle une place ? Comment faisons-nous pour la transmettre autour de nous ?
Le Congrès Mission existe pour donner un espace à ces réflexions, ces questionnements et trouver des solutions adaptées ensemble.
Chacun est invité à venir y partager ses expériences, ses méthodes qui marchent, pour échanger, rencontrer pour créer un réseau, autour de tables rondes, d’ateliers, de témoignages, et découvrir les initiatives des régions qui marchent, qui se renouvellent et qui nous inspirent, avec des temps de prières et de louanges et de partages. Chacun est invité à venir y puiser de quoi innover et de se ressourcer !
Me voici donc embarquée dans cette aventure, comme d’autres, en tant « qu’ambassadeur Congrès Mission » où nous ne manquerons pas de vous partager les infos autour de cet événement. Voici déjà la bande-annonce :
Prions et confions notre paroisse dès aujourd’hui, pour que l’Esprit-Saint souffle sur nous tous et que les plans que Dieu a prévus pour nous s’accomplissent !
Marie-Sabine
Le programme https://www.congresmission.com/programme
Comment ne pas se réjouir quand on voit l’entrain des animatrices et le mélange des générations ?
A l’occasion de ce dimanche des vocations, le pape François a écrit un message aux catholiques, expliquant pourquoi St joseph est le modèle même du cœur de père, capable de donner et de susciter la vie dans le quotidien. C’est à cela que tendent les vocations : susciter et régénérer des vies chaque jour.
Le 8 décembre dernier, à l’occasion du 150ème anniversaire de la proclamation de saint Joseph comme Patron de l’Eglise universelle, a commencé l’année spéciale qui lui est consacrée (cf. Décret de la Pénitencerie Apostolique, 8 décembre 2020). Le pape François a écrit la Lettre apostolique Patris corde, dans le but d’« accroître l’amour envers ce grand Saint ». « Il s’agit en effet d’une figure extraordinaire, en même temps « si proche de la condition humaine de chacun de nous ». Saint Joseph n’impressionnait pas, il n’était pas doté de charismes particuliers, il n’apparaissait pas exceptionnel aux yeux de celui qui le rencontrait. [..] Pourtant, à travers sa vie ordinaire, il a réalisé quelque chose d’extraordinaire aux yeux de Dieu. »
« Dieu voit le cœur (cf. 1 S 16, 17) et en saint Joseph, il a reconnu un cœur de père, capable de donner et de susciter la vie dans le quotidien. C’est à cela que tendent les vocations : susciter et régénérer des vies chaque jour.
Le Seigneur désire modeler des cœurs de pères, des cœurs de mères : des cœurs ouverts, capables de grands élans, généreux dans le don de soi, compatissants en réconfortant les angoisses et fermes pour renforcer les espérances. C’est de cela que le sacerdoce et la vie consacrée ont besoin, aujourd’hui de manière particulière, en des temps marqués par des fragilités et des souffrances dues aussi à la pandémie, qui a suscité des incertitudes et des peurs concernant l’avenir et le sens même de la vie. Saint Joseph vient à notre rencontre avec sa douceur, comme un saint de la porte d’à côté ; en même temps, son témoignage fort peut nous orienter sur le chemin. »
Si vous souhaitez lire le message en entier :
Renseignements et Inscriptions
Secrétariat du Pèlerinage de Lourdes : Presbytère- 04420 Le Brusquet- 06.60.41.68.46
Ou Vendredi : 10h à 12h et de 14h à 16h – 5 Rue Aubin – 04000 Digne-les-Bains- 06.14.50.60.80
pour vous renseigner : http://www.pelerinagesdigne.fr/lourdes/pelerinage_diocesain_a_lourdes-26039
Inscription en ligne
https://voyages.pelemobil.com/tour/51991d9a-9aa3-46dd-8c0c-27ad0b36e0d7
Des feuillets d’inscriptions sont disponibles à la paroisse.
Les églises de Banon et de St Étienne ont vécu deux évènements différents et néanmoins festifs en ce jour de la Miséricorde Divine.
L’église de Banon a accueilli la statue de la Vierge à l’enfant qui se trouvait depuis 50 ans dans la cour du presbytère. Comme des travaux importants sont prévus dans le mur de soutènement du parvis de l’église, cette statue devait être déplacée. Elle est maintenant à l’abri à coté du tabernacle de l’église.
A Saint Etienne ce sont deux charmants garçons qui se sont vus remettre leur aube de servant d’autel et qui ont été bénis par le père Barthélémy.
Filéas et Jonas Lambert seront fidèles au poste et nous prions déjà pour eux !
« Je désire me transformer toute entière en Ta miséricorde et être ainsi un vivant reflet de Toi, ô Seigneur ; que le plus grand des attributs divins, Ton insondable miséricorde, passe par mon âme et mon cœur sur le prochain. Aide-moi, Seigneur, pour que mes yeux soient miséricordieux, pour que je ne soupçonne et ne juge jamais d’après les apparences extérieures, mais que je discerne la beauté dans l’âme de mon prochain et lui vienne en aide. Aide-moi, Seigneur, pour que mon oreille soit miséricordieuse, afin que je me penche sur les besoins de mon prochain et ne reste pas indifférente à ses douleurs ni à ses plaintes. Aide-moi, Seigneur, pour que ma langue soit miséricordieuse, afin que je ne dise jamais de mal de mon prochain, mais que j’aie pour chacun une parole de consolation et de pardon. Aide-moi, Seigneur, pour que mes mains soient miséricordieuses et remplies de bonnes actions, afin que je sache faire du bien à mon prochain et prendre sur moi les tâches les plus lourdes et les plus déplaisantes. Aide-moi, Seigneur, pour que mes pieds soient miséricordieux, pour me hâter au secours de mon prochain, en dominant ma propre fatigue et ma lassitude. Mon véritable repos est dans le service rendu à mon prochain. Aide-moi, Seigneur, pour que mon cœur soit miséricordieux, afin que je ressente moi-même les souffrances de mon prochain. Je ne refuserai mon cœur à personne. Je fréquenterai sincèrement même ceux qui, je le sais, vont abuser de ma bonté, et moi, je m’enfermerai dans le Cœur très miséricordieux de Jésus. Je tairai mes propres souffrances. Que Ta miséricorde repose en moi, ô mon Seigneur. Ô mon Jésus, transforme-moi en Toi, car Tu peux tout. Ô mon Dieu caché dans ce grand et Divin Sacrement ! Jésus, soyez avec moi à chaque moment ! Et mon cœur sera tranquillisé. Ainsi soit-il. »
Elle a réuni un grand nombre de paroissiens venus fêter la résurrection du Christ !
Les lectures et les chants se sont succédés, dans la joie de Pâques !
Puisque la situation sanitaire ne nous a pas permis de vivre les Vigiles pascales le samedi soir, le secteur paroissial de la montagne de Lure les a vécues tôt le dimanche matin ! Et c’est avec le feu et la lumière que la célébration a commencé , pour se terminer dans la Joie de la Résurrection du Christ !
Célébrée à l’église de Cheyran, cette belle fête a réuni des paroissiens venus des communes alentours.
Les paroissiens ont décidé de soutenir le père Barthélémy en lui offrant de quoi aller en Cote d’Ivoire retrouver sa famille. Il a été très heureux et ému de ces marques d’attachement, d’ailleurs il le dit lui-même :
Chers frères et sœurs, je voudrais du fond du cœur vous dire merci. S’il y avait un autre mot plus grand que ce mot MERCI, je l’aurais cité. Merci et encore merci pour votre bienveillance à mon égard.
Je ne peux que prier le Seigneur qu’Il vous inonde toujours de sa bénédiction.
Chaque fois que vous entendrez les cloches sonner, sachez que c’est moi qui vous remercie et qui prie pour vous et vos familles. Que Dieu vous protège et préserve de tout mal.
A Banon :
A Saint Étienne les Orgues :
Le dimanche 14 février le père Barthélémy a béni l’ambon tout neuf apporté par Fabienne Bonnefoy.
ENTRONS EN CARÊME AVEC LE PAPE FRANÇOIS
« Je recommande ce qui suit comme le meilleur Jeûne pendant ce Carême : Jeûnez de mots offensants et transmettez seulement des mots doux et tendres. Jeûnez d’insatisfaction, d’ingratitude et remplissez-vous de gratitude. Jeûnez de colère et remplissez-vous de douceur et de patience. Jeûnez de pessimisme et soyez optimiste. Jeûnez de soucis et ayez confiance en Dieu. Jeûnez de lamentations et prenez plaisir aux choses simples de la vie. Jeûnez de stress et remplissez-vous de prière. Jeûnez de tristesse et d’amertume, et remplissez votre cœur de joie. Jeûnez d’égoïsme, et équipez-vous de compassion pour les autres. Jeûnez d’impiété et de vengeance, et soyez remplis d’actes de réconciliation et de pardon.
Jeûnez de mots et équipez-vous de silence et de la disponibilité à écouter les autres. Si nous pratiquons tous ce style de jeûne, notre quotidien sera rempli de paix, de joie, de confiance les uns dans les autres et de vie. Ainsi soit-il. » Pape François
Pour tout savoir sur ce que Monseigneur Jean-Philippe Nault nous propose :
Le samedi 16 janvier 2021 la messe était célébrée à Fontienne, occasion pour les paroissiens d’admirer la crèche.
vendredis 15 – 22 – 29 janvier, et 5 février 2021
C’est pourquoi, encouragés par les évêques de France, les membres du Groupe bioéthique de la Conférence des Évêques de France proposent quatre journées de prière et de jeûne en janvier-février 2021, afin que les yeux de tous –les nôtres et ceux d’autrui– s’ouvrent et sachent discerner la dignité inouïe de toute créature humaine.
Comme vous le savez, en raison des mesures sanitaires exceptionnelles, il n’a pas été possible de monter la crèche habituelle dans l’église de Banon.
Mais nous avons tout de même une crèche pour Noël ! Merci aux concepteurs et réalisateurs de cette beauté !
Françoise inaugure cette nouvelle rubrique, voilà les photos de sa crèche
La crèche chez Régis et Geneviève, avec leur petits-enfants
Allons chez Betty et Alain :
Petite visite chez Guy et Marie-Lyne :
Voici la crèche de Marie-Sabine et ses enfants :
Et ils ont même préparé une couronne de l’Avent !
Et c’est maintenant au tour de Martine et Richard de nous présenter leur crèche …et leur sapin !
Et Élisabeth et Gérard nous envoient leur crèche :
Et celle de Nadine
La ribambelle jolie des crèches de nos maisons continue … Voici celle de Monique !
Très jolie Nativité d’Isabelle
Et voilà une crèche envoyée par Marie Josée et Odile, fabriquée par leur papa avec des outils …Occasion de prier pour lui !
La crèche de sœur Grace
On vous accueille à l’église de L’Hospitalet les après midis du WE pendant toutes les vacances et jusqu’à la fin janvier… Allez admirer la crèche et l’église restaurée l’année dernière !
Leur CD personnel est disponible !
Quelle belle idée de cadeau !
– Veillez et priez (Avent)
– Église, lève-toi (Avent)
– Tous les anges chantent (Noël)
– Un enfant nous est né (Noël)
– Soyez miséricordieux (Carême)
– C’est la Croix (Carême)
– Éveille-toi (Pâques)
– Il a vaincu la mort (Pâques)
– Un esprit de force (Pentecôte)
– Joie pour les cœurs (Temps Ordinaire)
– Me voici, envoie-moi (Temps Ordinaire)
– Hymne de la Toussaint
– Amoris Laetitia (Mariage)
Pour écouter quelques extraits : http://www.exultet.net/eshop/pages-product_music_info/product-11440/eglise-leve-toi.html
et un titre entier !
Jean-Baptiste du fond de sa prison envoie deux de ses disciples demander à Jésus : es-tu celui qui doit venir ou devons-nous en attendre un autre ?
Jean-Baptiste avait prêché un baptême de pénitence invitant à la conversion pour accueillir celui dont il n’était que le précurseur. Un jour voyant Jésus venir vers lui, il avait dit à ses disciples : voici l’agneau de Dieu. La prédication de Jean-Baptiste était rude, exigeante : voici que la cognée est à la racine des arbres…. Jean-Baptiste savait au fond de lui-même que Jésus était le messie. Mais comme Marie et Joseph au temple de Jérusalem, le mystère de Jésus lui demeurait obscur. Sans doute attendait-il une manifestation éclatante, foudroyante du messie venant faire œuvre de justice et peut-être apporter la libération politique du pays. Aussi, il se pose des questions sur Jésus et son action. Jésus ne va pas aller tout à fait dans le sens de Jean-Baptiste mais il va manifester la tendresse miséricordieuse de Dieu par ses actes. Il vient au-devant des aveugles, des boiteux, des lépreux, des sourds, des morts, des pauvres. Jésus se présente comme le messie annoncé par Isaïe, ce messie qui est Dieu et le seul sauveur de tous les hommes. Jésus libère tous ces gens qui vivent à la périphérie, comme le dit le pape Francois, faisant écho au cardinal Balthasar, ces gens qui ne sont pas considérés, ni aimés. Il vient leur donner l’espérance. Il ne vient pas châtier mais libérer, pardonner, guérir et donner la vie en abondance la vie éternelle de Dieu.
21 siècles après la première venue de Jésus le messie toujours présent parmi nous et qui reviendra à la fin des temps, nous sommes peut-être tentés de nous demander : est-ce vraiment lui le sauveur du monde ? En effet le monde dans son ensemble est dominé par l’injustice, le mensonge, la violence, la haine, le matérialisme effréné, l’amour de l’argent, la consommation, le mépris de la vie humaine. Le monde tient encore grâce à Dieu et à ceux qui croient à l’amour. S’il nous arrive de nous poser la question de Jean-Baptiste, il existe une seule réponse celle de Pierre dans st Jean : à qui irions-nous Seigneur tu as les paroles de la vie éternelle ? Si le mal est grand, profond et augmente de jour en jour on serait tenté de céder au pessimisme et au découragement. Il n’en est rien, au contraire, car le mal qui nous entoure et qui est aussi en nous est une invitation à l’espérance. En effet st Paul nous a dit dans l’épître aux romains : là où le péché a abondé, la grâce a surabondé.
Rendons grâce à Dieu, ne nous contentons pas de pensées, de mots, et de discours, mais agissons en disciples missionnaires à la suite du Christ pour aller vers les petits, les humbles, les méprisés de notre terre. Jésus veut s’approcher d’eux à travers nous, car il est avec nous jusqu’à la fin des temps.
Père Maurice Gottlieb
Bien-aimés dans le Seigneur, Nous voici Mardi de la troisième semaine de l’avent. …. Les jours avancent et la fête approche. Que les trois bougies illuminent nos cœurs et nous préparent à accueillir le verbe de Dieu.
Jésus, se trouvant à la fin de son ministère public, pouvait se permettre une sorte d’évaluation, ou même un certain jugement sur les attitudes de ses différents interlocuteurs parmi lesquels : les prêtres, les anciens du peuple, les publicains et même les prostituées.
Pour prononcer son jugement, Jésus se sert d’une parabole et place devant ses interlocuteurs l’image de fils ainé et celle du cadet. Par les attitudes qu’il attribue à l’un et l’autre de deux fils, Jésus énonce son critère de jugement, à savoir : ‘’L’enfant qui dit non à son père, puis s’exécute, vaut mieux que celui qui dit oui, mais n’obéit pas’’ car, l’homme digne de ce nom se juge à ses actes, et non à ses intentions qui, du reste, sont changeantes.
Et selon ce critère, dit Jésus aux prêtres et aux anciens du peuple, ‘’les publicains et les prostituées vous précèdent dans le Royaume de Dieu’’. L’emploi du temps présent, par Jésus, précise que : Dès aujourd’hui, par leur repentir, ces publicains et prostituées incarnent à votre place le peuple nouveau que Dieu fera éclore en royaume éternel.
Découvrons, entre les lignes, que la parole de Dieu est la semence du Royaume, et le cœur de l’homme, une terre appelée à accueillir cette semence pour la faire fructifier en vie éternelle. Apprenons, en vérité, que la foi est une adhésion de cœur qui nous change, nous rend dynamique et nous ouvre à vivre personnellement l’expérience de la rencontre. En effet, croire, c’est vivre dans l’imitation de Jésus.
Que la grâce nous soit donnée de la part de Dieu notre Père.
Joseph NKONGOLO
« Il n’y a de pire aveugle que celui qui refuse de voir », dit un adage.
Dieu est Dieu et rien ni au ciel ni sur terre ni sous la mer ne saurait se comparer à lui. Il est au-dessus de tout, Tout-Puissant, omnipotent, omniscient, éternellement souverain. Il jouit et agit en toute autonomie dans sa transcendance et dans son immanence. Il a tout crée et tout soumis à son Fils, bien-aimé, Jésus Christ, son image invisible, et à qui il a donné aussi tout pouvoir ; « Tout pouvoir m’a été donné au ciel et sur la terre » (Mt28,16-20).
Jésus accomplit donc la volonté de son Père dans tous ses actes, parce que le Père aime le Fils et lui montre tout ce qu’il doit faire. Et parce que le Fils aime le Père, il ne fait pas sa volonté mais la volonté de Celui qui l’a envoyé (Jn6,38).
Ainsi, la vie de Jésus, sa manière d’agir exceptionnelle, ses miracles époustouflants, ses prises de paroles éloquentes, la manière intelligente et astucieuse de répondre aux questions pièges, faisaient de lui un homme en qui habitait, certainement, toute la plénitude de la divinité. Ses activités désarmaient et déconcertaient ses interlocuteurs si bien qu’ils étaient, finalement, jaloux de son succès, de sa renommée et de son rayonnement. « On était tellement frappé par sa doctrine; car il enseignait comme ayant toute autorité,et non pas comme les scribes » (Mc1,22).,qu’on n’en revenait pas tout simplement.
Alors les Grands Prêtres et les anciens, rongés par l’envie et la haine tentent d’anéantir ce Jésus, cet homme aux qualités humaines et spirituelles éblouissantes. Ils lui posent une question insidieuse, à laquelle Jésus répond subtilement en les revoyant à l’évidence de ce qui est évident. On ne demande pas au soleil par quelle autorité il éclaire la planète terre ! C’est dans sa nature même de diffuser les rayons de lumière et de chaleur indispensables à la vie sur terre. Inutile de chercher de midi à quatorze heures d’où viendrait l’autorité de Jésus. Elle est dans son être même.
Pour entrevoir l’autorité convaincante de Jésus, il faut tout simplement avoir la foi, c’est-à-dire accepter que son autorité vient de lui-même. Autrement si elle est conçue et perçue comme venant d’un homme politique ou religieux, ce serait une sorte d’humanisme sous forme de religion.
Armons-nous de foi pour accueillir, en ce temps de l’Avent, Jésus qui vient « Maranatha » faire chemin avec tous ses frères et sœurs en humanité. IL vient parcourir le chemin des personnes frappées par la pauvreté, atteintes par les déceptions, les échecs, les souffrances, les maladies, les doutes et toutes sortes de questions vitales. IL vient faire corps avec tous ceux et celles qui sont laissés pour compte et qui le désirent.
C’est en cela que consiste la Bonne Nouvelle de Noël, Dieu avec nous, Emmanuel, dans toutes nos situations de joie comme de peine.
Chacun ou chacune est alors invité à se faire proche de l’autre pour vivre la fraternité universelle et donner sens à Noël. « Heureux les miséricordieux car ils obtiendront miséricorde » (Mt5,7). Partout où vivent les hommes et les femmes, l’Église est invitée à les rejoindre pour leur apporter le Christ, la joie de l’Évangile. C’est ça NOËL.
P.Norbert Gnama.
En ce troisième dimanche du temps de l’Avent, l’Église nous invite à nous réjouir et pour nous y aider, nous donne cet Évangile de St Jean. Jean annonce solennellement Jean Baptiste comme témoin de la Lumière et que voyons-nous ?….. Lire la suite….
Notre-Dame de Guadaloupé . Voici les mots que l’histoire rapporte, tels que Marie les a dits à Juan Diego : « Je souhaite vivement qu’une petite maison soit construite pour montrer mon fils et le donner à tous les hommes qui feront appel à moi ».Lire la suite ….
« Mais la Sagesse de Dieu se révèle juste à travers ce qu’elle fait ». Lire la Suite ..
L’évangile d’aujourd’hui nous parle surtout de Jean le Baptiste, le précurseur, celui qui est venu préparer la venue de Jésus. Jésus parle de lui à la foule. Que lui dit-il à son sujet ? … Lire la suite ….
Il n’y a que dans l’intimité de l’amour que nous pouvons recevoir et accueillir une confidence… C’est véritablement un secret que le Maître a soif de communiquer personnellement à chacun d’entre nous, tant Il sait dans son amour de compassion, que le cœur de l’homme est compliqué et malade !…Lire la suite …
« Je vous salue Marie, pleine de grâce … » Cette prière mariale que nous récitons bien souvent reprend les mots que l’ange Gabriel adressait à Marie dans le passage de l’évangile choisi pour cette solennité de la Conception immaculée de Marie…. Lire la suite …
Le Seigneur va venir, Il « Advient ». Isaïe nous annonce sa venue : « Il vient, Lui-même, et va nous sauver ». Lire la suite ….
Dans les lectures d’aujourd’hui, nous pouvons entendre des prophètes qui nous appellent à changer nos vies pour préparer nos cœurs au Seigneur. Mon esprit et mon cœur se sont arrêtés sur le verset du psaume : « Fais-nous voir, Seigneur, ton amour, et donne-nous ton salut. »… Lire la suite …
«La moisson est abondante, mais les ouvriers sont peu nombreux.»
Dans cet extrait de l’évangile, Matthieu nous présente d’abord la mission de Jésus qui enseigne le Royaume et guérit les malades; ensuite la grande mission des Douze apôtres, et cette mission est confiée à tous les baptisés. Car l’urgence missionnaire incombe à tous les baptisés «disciples-missionnaires».…Lire la suite ….
Deux aveugles ! Pourquoi deux ? Pour grandir, nous avons besoin d’un vis-à-vis, c’est un premier temps. Le deuxième temps est le temps du dépassement du deux vers le trois. Pour les deux aveugles, le dépassement, le Tiers, c’est le Christ. La rencontre avec Lui les révèlera à eux-mêmes…. Lire la suite ….
As-tu remarqué que les deux maisons subissent exactement les mêmes intempéries ? La première n’est donc pas en brique et ciment et la seconde n’est pas construite en paille ou en bois. Jésus n’évoque donc pas le conte pour enfant du XIXème s…. Lire la suite …
Ce second récit de la multiplication des pains chez saint Matthieu est proche d’une célébration eucharistique. On y retrouve les quatre verbes essentiels liés à la fraction du pain : prendre, rendre grâce, rompre et donner. …Lire la suite …
Il y a eu confinement puis déconfinement, puis reconfinement, à quand le déconfinement et ainsi de suite… ? Lire la suite ….
L’Évangile raconte l’appel des premiers Apôtres. Quatre pêcheurs travaillent sur le lac de Tibériade. L’un d’entre eux, André, jette les filets à la mer. Du rivage, Jésus les appelle à devenir ses disciples. Jésus a voulu appeler, dès le début, des Apôtres, pour les associer à son œuvre de salut….Lire la suite …
Les Chinois commencent en février, nos frères et sœurs Juifs avec Roshashana, je veux parler d’une fête ou célébration pour commencer la nouvelle année. On pourrait dire que pour nous chrétiens l’année ne commence pas le 1er janvier mais le premier jour de l’Avent parce ce jour-là c’est le début de notre année liturgique que nous vivrons le 29 novembre….. Lire la suite …
Chers frères et sœurs bien aimés dans le Seigneur, Loué soit Christ !
Les lectures de ce jour nous situent quelque peu déjà dans la réalité de la fin des temps, comme les textes nous la présentent en chaque fin d’année liturgique. … Lire la suite ….
Jésus vient de dire à ses disciples : » Quand ces évènements commenceront , redressez-vous et relevez la tête , car votre rédemption approche ». Mais comment être sûr qu’il s’agit bien de ces évènements « apocalyptiques » qu’il vient d’annoncer ?.… Lire la suite ….
« Il y aura un grand désarroi dans le pays », « sur terre, les nations seront affolées et désemparées ».
Ces textes des temps derniers, qui reviennent chaque année, prennent aujourd’hui une tonalité singulière et nous rejoignent dans notre quotidien où nous faisons face à la pandémie…. Lire la suite …
P.S. Dans la cathédrale Notre-Dame du Bourg, à Digne, on peut voir la fresque de la Résurrection dans la Jérusalem céleste. Les iconographes voient en Marie celle qui nous allaite du lait de la Parole.
« À cause de mon Nom ! Dans ce texte d’évangile, deux tonalités se dégagent : une grave qui peut semer la confusion et le doute ; de celle qu’on n’aimerait jamais entendre et qui nous porte des paroles de persécutions, des souffrances, de la haine et même de mort. Et l’autre, plus réconfortante et rassurante qui nous dit : « ne vous préoccupez pas de votre défense » : je m’en occupe ; peut-on entendre de la part de Jésus. « Pas un cheveu de votre tête ne sera perdu ! » ……Lire la suite ….
Le temple a été construit en l’honneur de Dieu et comme lieu de prière. Il était magnifique dans sa splendeur et tous ceux qui le voyaient ne pouvaient rester indifférents. … Lire la suite ….
Jésus sait voir. Il lit dans les cœurs. Il remarque que les riches font claironner devant eux leur offrande. De toutes façons, ils ne donnent qu’une partie de leur superflu..….Lire la suite ….
Les choses qui nous sont demandées de faire sont si simples : donner à manger et à boire à ceux qui ont faim et soif ; vêtir ceux qui sont nus ; rendre visite à ceux qui sont malades et en prison. Que nous le réalisions ou non, chaque fois que nous prenons soin spontanément d’un frère ou d’une sœur dans le besoin, c’est Jésus lui-même que nous servons….. Lire la suite …
QUI SONT MES FRÈRES, MA SŒUR, MA MÈRE ?
Certaines attitudes de Jésus, à l’égard de Marie en particulier, sont parfois déroutantes…. Lire la suite …
Dans les temps qui sont les nôtres, avec l’impossibilité d’avoir accès au Pain de Vie Eucharistique, il nous faut plus que jamais nous rappeler qu’il y a deux tables auxquelles nous pouvons nourrir notre être de Foi ; et les textes de ce jour nous l’évoquent particulièrement…. Lire la suite …
Chers frères et sœurs en Christ., bien aimés de Dieu, amis du Christ,
l’Évangile que nous méditons aujourd’hui nous rapporte les pleurs de Jésus sur Jérusalem. Jésus qui pleure peut nous paraître étrange. Pourtant cela n’est pas la première fois. …. Lire la suite ….
Curieuse parole de Dieu que celle d’aujourd’hui où le roi, devant ses ennemis qui refusent qu’Il règne sur eux, dit : « Amenez-les ici et égorgez-les devant moi » et où ce même roi est très attentif aux intérêts de son argent. Ce roi aurait-il oublié ce qu’auparavant il demandait : « Aimez vos ennemis » et « Heureux les pauvres de cœur » ?…. Lire la suite ..
Zachée est un personnage sympathique pour nous. Si nous l’imaginons, petit de taille, avec sa belle position économique, comme un seigneur avec son âge respectable, un peu gros, des vêtements cossus, le voir retrousser tous ses beaux vêtements et s’accrocher à une branche, pour voir Jésus qui passe, c’est plutôt comique. Lire la suite …
Chers frères et sœurs, les textes qui nous sont donnés en méditation en ce jour nous invitent à une confiance absolue entre les mains de notre Seigneur et Sauveur Jésus-Christ….. Lire la suite …
Il semble que les français épargnent énormément et la pandémie a augmenté ce bas de laine. Nous pouvons comprendre ce réflexe qui traduit une peur de l’avenir, de lendemains terribles pour soi-même, pour ses enfants, pour ses proches. Lire la suite …
Face à ce juge inique, ce juge sans justice qui, plus est, ne craint ni Dieu ni ses semblables, la cause de cette veuve semble perdue d’avance. Elle a de multiples raisons de ne pas s’aventurer, de ne pas oser. Mais elle fait fi de la triste image reconnue à cet homme et implore sa mansuétude…. Lire la suite …
Aujourd’hui la parole de Dieu nous invite à nous mettre en garde pour être prêts le jour où fils de l’homme se révélera, en réveillant en chacun de nous le vrai désir ultime de tous les croyants « être avec Dieu éternellement dans son Royaume » c’est-à-dire être sauvés. Lire la suite ci-dessous ……
Dans ce passage d’évangile, Jésus répond aux pharisiens qui n’ont de cesse de le questionner plus pour le prendre en défaut que pour être enseigner par lui. .…Lire la suite ci-dessous …
Jésus est en marche vers Jérusalem, et comme à son habitude, sur la route Il accueille ceux qui viennent à Lui. ….. Lire la suite ci-dessous :
Nous avons tous en tête ces domestiques, ces majordomes et valets qui passent une vie entière au service d’un seigneur, d’un noble ou d’un bourgeois selon les époques…… Lire la suite avec le lien ci-dessous
Nous fêtons aujourd’hui dans toute l’Église l’anniversaire de la « dédicace », c’est-à-dire de la « consécration » de la cathédrale de Rome, l’Église Saint-Jean de Latran….. Lire la suite ci-dessous …
Est-ce que nos lampes sont allumées ? Choquant, non ? Lire la suite ci-dessous :
Jésus, nous surprendra toujours ! Lire la suite ci-dessous :
Jésus ferait-il en ce jour l’éloge de la malhonnêteté? Évidemment, non ! Jésus, ne loue pas la malhonnêteté de ce gérant mais son habileté……. Lire la suite ci-dessous :
La miséricorde de Dieu est infinie. Et son amour est immense. il n’a pas de plus grand désir que tous soient rassemblés auprès de lui pour vivre de son amour. …….Lire la suite ci dessous :
« Ainsi donc, celui d’entre vous qui ne renonce pas à tout ce qui lui appartient, ne peut pas être mon disciple. » La finale de l’Évangile d’aujourd’hui ne peut nous laisser indifférent… tout spécialement en ce temps de confinement. Le Seigneur nous veut-il sans aucuns biens ? La radicalité totale est-elle source d’épanouissement ? N’est-ce pas excessif ?…….. Lire la suite en cliquant sur ce lien
En ces jours de confinement où il nous est impossible de partager la table avec des amis, Jésus raconte une parabole où de très nombreuses personnes entrent dans une grande salle pour s’attabler dans un irrespect total des mesures barrières. …lire la suite en téléchargeant la méditation ci dessous :
Nous nous en doutions, les circonstances particulières de cette année font que l’équipe habituelle ne fera pas la crèche traditionnelle… Et nous en sommes bien tristes !
Retrouvez l’article de la Provence : https://www.laprovence.com/article/edition-alpes/6195855/pas-de-creche-a-leglise-pour-la-premiere-fois-depuis-37ans.html#xtor=Nonli
Quelle que soit l’évolution des conditions d’exercice du culte, le confinement dans lequel nous nous trouvons empêchera nombre d’entre nous de se rendre à des célébrations dans leur église. La quête, de toute manière, comme durant le printemps, va se trouver très réduite. Aussi, le diocèse de Digne met-il à votre disposition ce moyen électronique pour « remplacer » votre offrande habituelle de quête si vous ne pouvez pas vous rendre à la messe.
Nous sommes si nombreux à faire ce petit don hebdomadaire qu’il représente une proportion importante des ressources de notre Église.
Merci d’avance de continuer dans cette fidélité.
Je vous en remercie de tout cœur : votre générosité nous permettra de poursuivre notre mission auprès de chacun.
Monseigneur Jean-Philippe Nault, évêque de Digne, Riez et Sisteron
Pour aider la paroisse, cliquez sur le lien ci-dessous :https://quete.catholique.fr/?reserved_diocese=DIGNE&reserved_paroisse=SP BANON
Monseigneur Nault s’adresse à tous
Octobre 2020
L’Église en France, pour vivre et assurer sa mission, n’a pas d’autres ressources que la générosité des fidèles. Elle ne touche aucune subvention.
La situation financière de notre diocèse dans cette période marquée d’incertitudes sanitaires et sociétales est devenue particulièrement critique ; le début d’un nouveau confinement ne vient que souligner cette tendance.
C’est par et grâce à vous que l’Eglise peut assurer un traitement, même modeste, aux prêtres et aux laïcs qui ont la responsabilité d’un service diocésain. C’est aussi grâce à vos dons que peuvent être financées des actions missionnaires afin que la joie et l’audace de l’Evangile puissent continuer à se répandre.
Habitués de nos églises, vacanciers ou paroissiens d’un jour, votre participation à notre appel de ce jour est un signe fort de votre appartenance à notre communauté.
Des documents sont disponibles dans les églises.
Si l’Eglise dans les Alpes de Haute Provence peut tant se rendre proche de chacun (e) c’est grâce à vous !
Oui, nous avons besoin de vous… et nous comptons sur vous !
Merci d’avance de tout cœur ! Merci à ceux qui nous aident déjà, et merci à ceux qui vont le faire à partir d’aujourd’hui…
Avec l’assurance de ma prière et de mes sincères remerciements.
+Jean Philippe NAULT
Le Pape François a signé ce samedi 3 octobre à Assise sa troisième encyclique : Fratelli Tutti, sur la fraternité, et l’amitié sociale.
EN quelques illustrations, comprenez de quoi il s’agit :
Nouveauté à l’église de Banon, on peut admirer le travail de Fabienne, et la remercier chaleureusement !
Samedi 29 aout la paroisse avait rendez-vous avec les habitants de Maleefougasse pour célébrer l’Eucharistie.
Pour fêter l’Assomption de la Vierge Marie, les paroissiens habitant Banon et les villages environnants se sont retrouvés à la très jolie chapelle Notre Dame des Anges, pour vivre une célébration enjouée.
Pour cette belle occasion, la statue de Notre Dame a même été sortie pour un mini pèlerinage.
La chapelle avec son abside du XIIIème siècle est en forme de croix. Son clocher-mur à une arcade est surmonté d’une Vierge. Des peintures du XIXème siècle recouvrent la nef, l’abside et le cul de four. Les murs de la nef portent cinq ex-voto. Le mur de l’arc triomphal est recouvert d’une fresque « adoration de la vierge par Saint Marc et Sainte Claire ». L’autel de l’Immaculée supporte une vierge dorée qui était amenée en procession la nuit du 14 août.
L’entrée de la chapelle Notre Dame des Anges est encadrée par deux statues, Saint Joseph et Sainte Anne.
Elles sont toutes deux supportées par des anges et semblent veiller sur la chapelle, sur les visiteurs, et regarder au loin le village de Banon.
La chapelle Notre Dame des Anges va être l’objet de restauration dans les mois à venir grâce à la commune et à la fondation du patrimoine : https://www.fondation-patrimoine.org/les-projets/chapelle-notre-dame-des-anges-a-banon
Rendez-vous à partir du mardi 8 septembre….
Les rencontres sont déjà fixées :
23 août 2020, Fête votive à Banon
C’est à l’occasion de la fête de Banon que la messe dominicale a été célébrée sur la place du village.
Près de 100 personnes recueillies ont assisté à la célébration de l’Eucharistie présidée par le père Barthélémy. Et de nombreux villageois ont apprécié, de plus loin, ce rappel des fêtes d’autrefois où tous les habitants se retrouvaient pour des messes au centre du village.
Messe de 11h00 à Saint Etienne les Orgues, célébrée par notre évêque Monseigneur Nault
Les habitants de St Étienne les Orgues et des villages environnants sont venus nombreux, comme les touristes habitués du lieu, pour participer à la messe présidée par Monseigneur Nault, accompagné du père Yves Clouet-d’Orval, habitant du secteur puisque résidant à Fontienne.
A l’issue de la célébration, un verre de l’amitié a permis de nombreux échanges entre les paroissiens et Monseigneur Jean-Philippe Nault, ainsi qu’avec madame le maire de St Étienne les Orgues, madame Patricia Paul présente à la célébration. Ce temps fraternel a aussi été l’occasion de vivre une dimension importante des 5 essentiels de la vie chrétienne (Prière, Charité, Formation, Évangélisation et Fraternité) : la convivialité !
Institutions aux ministères du Lectorat et de l’Acolytat
C’est avec une belle ferveur et une grande joie que la paroisse de la Montagne de Lure a vécu ce dimanche 19 juillet.
C’est dans une église fleurie et joyeuse, rassemblés autour de Monseigneur Nault, que les paroissiens ont prié et chanté à l’occasion de cette belle fête inédite dans le secteur paroissial, soutenus par Martine à la flûte et Marie comme chantre,
Cyrille Prache a été institué à ces deux beaux ministères, entourés de son épouse et de ses enfants, de sa maman et de membres de sa famille, ainsi que de nombreux amis du diocèse de Digne et de diocèses voisins.
Le père Stéphane Ligier, accompagnateur du comité de discernement du diaconat permanent a présenté Cyrille Prache en mettant en lumière toute la dimension ecclésiale de l’assistance présente à cette célébration: communauté paroissiale, prêtre du secteur et doyen de Forcalquier, représentants de services diocésains, diacres de la Province, et enfin notre évêque.
La remise par Mgr Nault du Lectionnaire -apporté en procession par Carole et Marie, épouse et fille de Cyrille- et de la patène et du calice -apportés par Guillaume et Ludovic les fils de Cyrille- ont été les gestes symboliques de cette célébration qui s’est poursuivie dans la cour du presbytère pour un apéritif-repas à l’image de la communauté de la Montagne de Lure : GÉNÉREUX !
Le rendez-vous suivant-s’il a lieu- sera probablement l’année prochaine, et il s’agira de l’ordination diaconale de Cyrille Prache.
Pendant cette messe Cyrille Prache recevra les ministères institués du lectorat et de l’acolytat.
En chemin vers le diaconat permanent depuis 4 ans, Cyrille Prache vivra ainsi la deuxième étape vers l’ordination diaconale.
Pour continuer la fête, un apéritif sera servi à l’issue de la célébration dans la cour du presbytère.
Voici quelques explications concernant l’Institution :
Le Lectorat et l’Acolytat ne sont pas des sacrements ; ils ne sont pas une « ordination » mais une « institution ».
Le lecteur est institué pour la fonction, qui lui est propre, de lire la parole de Dieu dans l’assemblée liturgique.
L’acolyte est institué pour servir de ministre au prêtre. Il lui revient donc de s’occuper du service de l’autel, d’aider le prêtre dans les fonctions liturgiques et principalement dans la célébration de la messe ; il lui appartient en outre de distribuer la sainte communion, en tant que ministre extraordinaire.
Lectorat et acolytat sont deux « ministères institués », c’est-à-dire des fonctions particulières conférées par l’évêque, de manière définitive, à un homme laïc, au service de la Parole de Dieu – le lecteur – et au service de l’autel –l’acolyte. Le lecteur est institué pour inviter ses frères à se mettre toujours plus à l’écoute de la Parole de Dieu, à en vivre. L’acolyte est au service de l’autel, pour mieux tourner les regards des fidèles vers le Corps du Christ et les entraîner encore et toujours à s’en nourrir.
Pour celui qui reçoit ces ministères, il s’agit le plus souvent d’une étape vers l’ordination et c’est un moyen de recevoir les grâces par étapes successives.
https://cybercure.fr/je-celebre-les-sacrements/ordre/article/institution-au-lectorat-et-a-l-acolytat
Dimanche 31 mai, JOIE de retrouver les paroissiens de la Montagne de Lure, qui se sont adaptés aux mesures demandées pour éviter tout transmission de la maladie ! Masques et gel, distanciation physique, ont été respectés, le tout dans une bonne humeur générale ! Nous étions si heureux de nous rassembler pour le Seigneur en cette belle fête de Pentecôte !
Voici quelques clichés pris pendant la célébration pour se remémorer ces bons moments de fraternité !
Les paroissiens sortent de chez eux et louent la Création ! Rendons grâce à la beauté du monde voulu par Dieu ! Venez faire un tour avec eux dans les villages de notre secteur paroissial… et dans les paysages qui nous entourent
Les paroissiens sortent de chez eux et louent la Création ! Rendons grâce à la beauté du monde voulu par Dieu !
Seigneur, nous te rendons grâce pour cette pluie et cette douceur du temps, les pâturages sont magnifiques ! Nous te confions les récoltes, préserve les des intempéries… Protège tous ceux qui s’affairent à nourrir tout le monde avec ce que tu nous donnes… Permets que tout le monde puisse manger à sa faim ! Marie Josée
21 mai 2020
Chers amis du diocèse de Digne,
Une nouvelle fois, je viens vous retrouver avec joie. Aujourd’hui, c’est la fête de l’Ascension ! Quand on évoque ce mot, tout spécialement dans nos régions montagneuses, on imagine immédiatement une montée… vers un sommet. Ce que nous célébrons aujourd’hui, ou plus précisément l’événement dont nous faisons mémoire, est bien une montée… celle de Jésus ressuscité vers Son Père. Cette fête est bien plus qu’un jour férié, elle nous donne une direction et nous rappelle le désir de Dieu de nous voir près de Lui.
® Le Ciel !
Indéniablement, la fête de l’Ascension nous oriente vers le Ciel ! Jésus monte au Ciel, à la fin de cette période, dite “des apparitions du Ressuscité”, et avant la Pentecôte. Il l’avait annoncé à ses apôtres –« Je monte vers mon Père et votre Père » [Jn 20,2]–, et cet événement vient clore la période de Sa présence physique visible et de sa vie concrète au milieu de nous, initié par l’Annonciation certes, mais surtout par la fête de Noël. Mais ce temps n’est pas une parenthèse qui se termine, l’incarnation du Fils de Dieu est bien réelle, même si sa présence au milieu de nous diffère maintenant ; Jésus en montant au Ciel, fait entrer l’humanité dans la Divinité. Mais qu’est-ce que le Ciel ? L’analogie avec ce qui est au-dessus de nous et que nous contemplons en levant la tête est bonne, elle nous est donnée par l’Écriture. Mais ce que l’on appelle le Ciel est bien différent d’un lieu localisé. Pour nous chrétiens, le Ciel, c’est la Vie avec Dieu ; Jésus “monte” ainsi vers son Père au cœur de la Trinité. Le Ciel c’est cette Vie de l’amour, reçu et donné, cette dynamique de l’Amour qui caractérise la Vie trinitaire, la vie de Dieu. En Icône de l’Ascension – Photo DR
2
remontant au Ciel, Jésus nous ouvre ainsi cette route vers la plénitude de Dieu ; il est bien le Sauveur qui “répare” ce qui était brisé entre l’humanité et Dieu. La couleur dorée qui habille le fond de l’icône veut nous rappeler ce qu’est le Ciel, l’immersion dans la divinité même, milieu de Vie et d’Amour éternel.
® En route sur le chemin du Ciel…
Le Ciel n’est pas seulement objet de contemplation ou d’action de grâce… nous sommes fait pour lui ! Et notre vocation, ce pour quoi nous avons été créés, c’est bien la vie au Ciel. Notre horizon à chacun est donc le Ciel, c’est-à-dire la Vie en et avec Dieu. La fête de l’Ascension nous le rappelle très fortement. On se rappelle la première phrase du Curé d’Ars arrivant dans sa paroisse et croisant le petit berger qui lui montre la route à suivre pour arriver au village : « tu m’as montré le chemin d’Ars, moi je te montrerai le chemin du Ciel » ; le Curé d’Ars résumait sa mission de pasteur ainsi : indiquer le chemin du Ciel, de la vie avec Dieu, à chacun. En fêtant l’Ascension, on se rappelle que cette voie montrée par le Christ est aussi la nôtre… qu’Il nous ouvre la route du Ciel pour nous y retrouver pleinement un jour. Et qu’Il nous y attend : « Je vais vous préparer une place » [Jn 14,2]. Le Ciel est donc pour nous ! Notre vie chrétienne se résume donc en cette marche vers le Ciel… où nous nous retrouverons auprès du Seigneur et de la Vierge-Marie. Notre vie est donc une route où le Seigneur nous accompagne (comme à Emmaüs), où nous nous portons et entraînons les uns les autres… C’est cela l’Église ; le peuple de Dieu en marche vers le Ciel. Écartons donc notre vision peut-être trop humaine de l’Église (comme une seule institution), et contemplons ce peuple en marche vers la Vie éternelle, peuple auquel nous appartenons. Avec Elle, laissons le désir du Ciel nous habiter et grandir. La vertu théologale d’Espérance (reçue à notre baptême) est cette vertu par laquelle nous désirons le Ciel comme notre bonheur… Laissons donc cette vertu prendre toujours plus de place dans nos vies… « On obtient de Dieu autant qu’on en espère » disait Saint Jean de la Croix. L’Espérance est cette vertu qui nous permet de vivre aujourd’hui ce que nous avons à vivre, le regard porté sur la Vie éternelle, en en vivant déjà à chaque instant dans le quotidien de nos vies…
® Demander l’Esprit-Saint…
Entre la fête de l’Ascension et celle de la Pentecôte, il nous est donné un temps [9 jours exactement] pour se préparer à accueillir l’Esprit-Saint. Il nous est proposé, durant cette neuvaine, de demander l’Esprit-Saint avec confiance ; le demander avec insistance, non parce que le Seigneur “serait sourd”, mais parce que plus je le demande et le désire, plus j’ouvre mon cœur… et ainsi Dieu peut me combler. Demander le Saint Esprit comme l’Amour de Dieu qui vient “m’habituer” à cette Vie divine pour laquelle je suis fait et vers laquelle je tends ; le demander pour qu’Il me rappelle, selon les mots de Jésus, les bienfaits de Dieu pour moi ; le demander afin qu’Il vienne me brûler intérieurement de l’Amour même de Dieu ; le demander pour qu’il m’ajuste à Dieu et m’aider à discerner Sa volonté ; le demander pour qu’Il me pousse à témoigner autour de moi ; le demander pour qu’il m’aide à devenir un saint ! Être chrétien, c’est vivre selon l’Esprit, et ce toujours davantage. C’est donc un temps privilégié qui s’ouvre devant nous… !
3
Prier l’Esprit-Saint pour soi, sa famille, ses amis, … mais aussi ses ennemis ! Le demander pour notre Église, notre paroisse, nos voisins, nos pasteurs… Quel plus grand don à demander et à accueillir que Dieu lui-même ? Pourquoi, durant ces neuf jours qui nous séparent de la Pentecôte, ne demanderions-nous pas les uns pour les autres les dons de l’Esprit Saint ? Ces 7 dons qui caractérisent l’action de l’Esprit dans nos vies : sagesse, intelligence, conseil, force, science, piété, crainte de Dieu. En ces temps difficiles et délicats pour beaucoup, même si les perspectives s’éclaircissent, l’aide du Saint Esprit ne peut nous être que favorable : ne pas décider que par nous-même en fonction de ce que nous pressentons ou désirons… peut nous aider à nous ouvrir davantage à la Volonté de Dieu.
Belle fête de l’Ascension à chacun ! Que notre désir du Ciel grandisse ! Portons-nous les uns les autres avec attention sur ce “chemin du Ciel”. Et demandons l’Esprit Saint… qu’il vienne en abondance sur notre diocèse ! Je vous transmets avec joie la bénédiction du Seigneur.
Pour nous aider dans cette fin de “confinement du culte public” : – Voir les sites internet ou pages Facebook ou YouTube de vos paroisses. N’hésitez-pas à contacter votre curé ou son CPP pour avoir des infos, des nouvelles, les initiatives en cours… – Les textes et aides diocésaines (messages diocésains, Services diocésains…) sont sur le site diocésain : catho04.fr – Un service d’écoute a été mise en place (avec n° vert) dans le diocèse : voir catho04.fr – Des sites nationaux peuvent aider : eglise.catholique.fr ; aleteia.org ; ktotv.com, …
Messe Chrismale en direct !
® Ce vendredi 22 mai à 18h30, sur le site Youtube, Paroisse de Digne Venez priez avec tout le diocèse !
Le pape François vous invite à célébrer la Semaine Laudato Si
Le pape François vous invite à venir célébrer le 5e anniversaire de son encyclique Laudato Si’ qui a été signé le 24 mai 2015 !
Joignez-vous aux milliers de catholiques du monde entier et protégeons tous ensemble notre maison commune. En agissant et en priant ensemble, nous pouvons résoudre la crise écologique. Apprenez-en plus sur
https://laudatosiweek.org/fr/home-fr/
L’encyclique du pape François sur l’attention à apporter à notre maison commune, Laudato Si’, est une source d’inspiration dans les moments difficiles. Elle nous encourage à réfléchir sur les valeurs que nous partageons et à créer un avenir plus juste et plus durable.
Le thème de la semaine Laudato Si’ est “tout est lié”. Pendant la semaine Laudato Si’, nous nous réunissons comme un seul peuple dans le monde entier pour discerner dans la prière les leçons de ce moment. Alors que le monde traverse une crise historique, nous réfléchissons et nous nous préparons à construire un monde meilleur.
Laudato Si’ a été accueilli comme un document d’une beauté profonde et durable, et il a incité les gens du monde entier à réfléchir plus profondément sur le Créateur et la Création. Sa vision de l’écologie intégrale, qui voit des liens entre la façon dont nous traitons Dieu, la nature et les autres, offre des vérités simples mais profondes sur les liens qui nous unissent.
Faites preuve de solidarité dans notre monde en partageant un moment de prière à midi, heure locale, le 24 mai. Les catholiques du monde entier seront unis spirituellement car “tout est lié”.
par Bernadette (Betty) JEAN-CARBOU
Nous voilà tous confinés ! Nous sommes comme KO par cette nouvelle
On pense « c‘est ailleurs, pas chez-nous » comme si les virus raisonnaient et choisissaient leur lieu de passage – par là …oui par là-bas …non !!!!!!!
Confrontée à cette réalité je suis perplexe et presque anxieuse au départ, et je songe à mes enfants, à tous les enfants du monde à notre jeunesse, déjà avec les désastres des déchets de la planète que l‘on va leur offrir et maintenant le Virus !
Mon Dieu ! Voilà le mot ! comme « Maman » ! quand on a peur du mal du monde.
Mon Dieu que faire : et j‘ai prié, prié, et puis j‘ai téléphoné et appelé mes enfants et les personnes fragiles de notre famille- nos amis – comment allons-nous vivre cette épidémie ?
Puis l‘organisation s‘est établie dans notre beau village et le maire et ses conseillers ont pallié pour que tout se passe au mieux et la solidarité a joué son rôle positif – et j‘ai prié avec le chapelet en direct avec Lourdes -puis la messe du matin avec le Pape François à Rome
Durant ce temps j‘ai offert de mon mieux par SMS les jeux et loisirs pour les enfants de l‘association – nous avons fait des dessins qui ont été envoyés dans les Maisons de retraite et EPHAD
et puis la construction des masques nous a occupés du temps et par téléphone ou sms les relations se sont établies pour vivre ce temps confiné chez soi –
Notre curé puis notre évêque nous ont donné de bonnes sources pour nous aider à mieux vivre ces moments difficiles – Merci à Carole pour toutes les infos fournies durant ce confinement –
Pour ma part j‘ai toujours été d‘un monde à part – poète et comédienne – les artistes sont toujours confinés dans leur tête avec une musique spéciale et un monde magique – ce qui fait que je n‘ai pas souffert de solitude – mais j‘ai plutôt profité de ce repos et silence pour créer des histoires et des contes pour enfant et autre- j‘ai beaucoup chanté des chants d‘église comme des chansons les plus belles que je trouvais et qui me donnaient le goût de vivre joyeusement –
puis des ballades à Notre Dame de pitié pour prendre l‘air et encore prié, prié …
Je pense que ce temps à l‘écart nous donne une leçon d‘humilité, de silence, de réflexion sur la vie dans sa beauté, sa bonté et qu‘il faut tenir compte désormais à être plus aimable avec notre monde
créer et non détruire, choisir la douceur plutôt que la violence, la charité plutôt que l‘orgueil
C‘est une remise à niveau de notre planète de notre monde, à nous de comprendre et d‘apprendre à vivre avec Amour
Bernadette (Betty) JEAN-CARBOU
par Geneviève Moy
Je ne m’imaginais pas combien il est difficile d’accepter l’interdiction de nous laisser faire les choses simples de la VIE au quotidien.
Certes, cela permet de se remettre en question sur divers sujets.
Bien entendu, j’ai un manque de ne pas pouvoir prier dans une ÉGLISE et d’assister à la MESSE, cela devient très pesant, ce manque.
Grâce au Père Barthélémy et à son équipe paroissiale qui ont mis tout en œuvres pour que chaque dimanche, et d’autres jours, nous puissions assister à la Messe. MERCI
Mais le recueillement à l’Église manque. A la maison c’est bien, mais ce n’est pas pareil !
Dans mes prières quotidiennes, je ne manque pas de penser à vous tous, et de prier pour vous TOUS.
Que le Seigneur nous rende Grâce, pour que cette pandémie cesse, et que très vite, nous puissions nous retrouver.
Merci à TOUS
Que Dieu nous aide et nous protège
Geneviève MOY
Monseigneur Jean-Philippe Nault, évêque de Digne, est venu célébrer une messe à la chapelle du presbytère vendredi 1er mai à 18h00. Cette célébration a été diffusée sur Skype, sur Faceboojkainsi que par téléphone, pour les personnes ne disposant pas d’internet.
Toute l’assemblée, même dispersée en restant à son domicile, a ainsi pu se recueillir en mémoire des personnes disparues, et soutenir par la prière les familles affligées.
Un mot d’accueil écrit et lu par les responsables du service des funérailles et du deuil de la paroisse a manifesté la proximité et l’empathie de tous les croyants auprès de ceux qui souffrent en cette période de confinement, que ce soit par la maladie, le deuil ou d’autres épreuves.
Notre évêque a lui aussi su trouver les mots pour rejoindre les habitants et paroissiens réguliers de notre secteur paroissial, en assurant chacun de sa prière régukière et attentive.
La chapelle, décorée pour débuter le mois de Marie, a accueilli la ferveur de tous, montrant que même à distance la foi rassemble et unit.
Monseigneur Nault,
chapelle du presbytère de Banon, le 2 mai 2020
Retrouvez le message du pape pour cette 57e Journéecde prière pour les vocations
Suite à la proposition du père Bernard-Marie Geffroy, de la communauté des pères Trinitaires de Faucon, mais aussi de la Conférence des Evêques de France, Monseigneur Nault a décidé la constitution d’une cellule d’écoute – avec numéro vert – sur notre diocèse.
Cette proposition d’écoute a pour objectif d’accueillir les questions/émotions des personnes souffrant du confinement, sur les plans spirituel, existentiel et pastoral.
Cette écoute démarre dès jeudi 16 avril à 9h00 et pour toute la durée du confinement.
Les célébrations dominicales continuent… mais d’une autre manière ! Le père Barthélémy célèbre les offices dans la chapelle du presbytère, et Cyrille le filme…pour transmettre les images aux paroissiens branchés sur Skype…Voici quelques images de l’organisation…
La Chapelle le jour de Pâques
Vigile Pascale
Cyrille
Rendez-vous à 17h45 sur le SKYPE « Messe à Banon » pour vivre ensemble la Célébration de la mémoire de la Cène du Seigneur » à 18h00
Rendez-vous sur SKYPE à 15h00 pour le Chemin de Croix,
et à 18h00 sur SKYPE pour la Célébration de la Passion (et Vénération de la Croix) Préparez un espace de prière avec une croix
Rendez-vous à 21h00 sur SKYPE pour la Vigile Pascale Préparez une bougie pour vivre vous aussi la victoire de la Lumière dans les ténèbres)
Messe à 10h30 sur SKYPE .
si vous désirez suivre les célébrations sur Skype, merci de vous inscrire en utilisant la zone « contact » du bas de la page
Chers amis,
Comme promis vous trouverez ci-dessous la méditation donnée par le Cardinal Jean-Pierre Ricard pour nous accompagner durant cette semaine Sainte.
Merci à lui de son travail et de sa proximité. Que ce texte nous aide à entrer dans le Mystère célébré, et fasse grandir entre nous une belle communion autour de l’offrande d’amour du Seigneur pour nous.
C’est une grande semaine qui s’ouvre pour nous chrétiens…
Le sommet de notre vie liturgique va se déployer devant nous, pour nous avec nous.
En cette année si particulière, nous allons vivre ce temps seuls pour la majorité d’entre nous, en tout cas éloignés de nos communautés habituelles et sans offices structurés à notre disposition…
Les curés de vos paroisses ont tous reçu des propositions précises pour vivre ce temps “à la maison” ; beaucoup ont organisé des temps de prière communs (à distance). N’hésitez-pas à leur demander.
Des propositions jour par jour ont été faites, mais nous pouvons aussi rejoindre les grands médias catholiques (KTO,RCF…) qui proposent par internet de multiples possibilités.
Sur le site du diocèse, vous retrouverez les principaux textes ou liens possibles.
Que ce temps de retrait obligé, soit aussi pour nous l’occasion de nous recentrer sur l’essentiel, notre amitié avec le Christ. Que ce temps qui fait mémoire du cœur de notre Foi, la mort/résurrection du Christ, nous fasse grandir dans le désir d’une vraie conversion et d’une intimité toujours plus grande avec le Seigneur.
Ne serait-ce pas aussi l’occasion de donner un pardon difficile et d’appeler des personnes “oubliées” de nos réseaux habituels…
Les consacrés du diocèse nous portent dans leur prière et leur offrande…
Belle Semaine Sainte à chacun !
Restons unis par la prière et l’amitié.
Que dans le silence de cette Grande Semaine grandisse notre Foi et notre communion.
A bientôt !
+Jean-Philippe NAULT
évêque de Digne
Le dimanche 5 avril l’église catholique fête le dimanche des rameaux.
Vous trouverez le document pour suivre la bénédiction à télécharger ci-dessous
[rédigée par le diocèse de Vannes]
« Seigneur Jésus, je crois fermement que Tu es présent dans le Saint Sacrement de l’Eucharistie. Je T’aime plus que tout et je Te désire de toute mon âme. « Après toi languit ma chair comme une terre assoiffée » (psaume 62).
Je voudrais Te recevoir aujourd’hui avec tout l’amour de la Vierge Marie, avec la joie et la ferveur des saints.
Puisque je suis empêché de Te recevoir sacramentellement, viens au moins spirituellement visiter mon âme.
En ce temps de carême, que ce jeûne eucharistique auquel je suis contraint me fasse communier à Tes souffrances et surtout, au sentiment d’abandon que Tu as éprouvé sur la Croix lorsque Tu t’es écrié : « Mon Dieu, mon Dieu pourquoi m’as-tu abandonné ».
Que ce jeûne sacramentel me fasse communier aux sentiments de Ta Très Sainte Mère et de Saint Joseph quand ils T’ont perdu au temple de Jérusalem, aux sentiments de Ta Sainte mère quand elle Te reçut, sans vie, au pied de la Croix.
Que ce jeûne eucharistique me fasse communier aux souffrances de Ton Corps mystique, l’Église, partout dans le monde où les persécutions, ou l’absence de prêtres, font obstacle à toute vie sacramentelle.
Que ce jeûne sacramentel me fasse comprendre que l’Eucharistie est un don surabondant de Ton amour et pas un dû en vue de mon confort spirituel.
Que ce jeûne eucharistique soit une réparation pour toutes les fois où je T’ai reçu dans un cœur mal préparé, avec tiédeur, avec indifférence, sans amour et sans action de grâce.
Que ce jeûne sacramentel creuse toujours davantage ma faim de Te recevoir réellement et substantiellement avec Ton corps, Ton sang, Ton âme et Ta divinité lorsque les circonstances me le permettront.
Et d’ici là, Seigneur Jésus, viens nous visiter spirituellement par Ta grâce pour nous fortifier dans nos épreuves.
Maranatha, viens Seigneur Jésus.
Retrouvez la bénédiction Urbi et Orbi donnée par le Pape François depuis Rome le 27 mars: https://www.youtube.com/watch?v=JgEBdOO6Juk
« Le soir venu » (Mc 4, 35). Ainsi commence l’Évangile que nous avons écouté. Depuis des semaines, la nuit semble tomber. D’épaisses ténèbres couvrent nos places, nos routes et nos villes ; elles se sont emparées de nos vies en remplissant tout d’un silence assourdissant et d’un vide désolant qui paralyse tout sur son passage : cela se sent dans l’air, cela se ressent dans les gestes, les regards le disent. Nous nous retrouvons apeurés et perdus. Comme les disciples de l’Évangile, nous avons été pris au dépourvu par une tempête inattendue et furieuse. Nous nous rendons compte que nous nous trouvons dans la même barque, tous fragiles et désorientés, mais en même temps tous importants et nécessaires, tous appelés à ramer ensemble, tous ayant besoin de nous réconforter mutuellement. Dans cette barque… nous nous trouvons tous. Comme ces disciples qui parlent d’une seule voix et dans l’angoisse disent : « Nous sommes perdus » (v. 38), nous aussi, nous nous apercevons que nous ne pouvons pas aller de l’avant chacun tout seul, mais seulement ensemble.
Il est facile de nous retrouver dans ce récit. Ce qui est difficile, c’est de comprendre le comportement de Jésus. Alors que les disciples sont naturellement inquiets et désespérés, il est à l’arrière, à l’endroit de la barque qui coulera en premier. Et que fait-il ? Malgré tout le bruit, il dort serein, confiant dans le Père – c’est la seule fois où, dans l’Evangile, nous voyons Jésus dormir –. Puis, quand il est réveillé, après avoir calmé le vent et les eaux, il s’adresse aux disciples sur un ton de reproche : « Pourquoi êtes-vous si craintifs ? N’avez-vous pas encore la foi ? » (v. 40).
Cherchons à comprendre. En quoi consiste le manque de foi de la part des disciples, qui s’oppose à la confiance de Jésus ? Ils n’avaient pas cessé de croire en lui. En effet, ils l’invoquent. Mais voyons comment ils l’invoquent : « Maître, nous sommes perdus ; cela ne te fait rien ? » (v. 38). Cela ne te fait rien : ils pensent que Jésus se désintéresse d’eux, qu’il ne se soucie pas d’eux. Entre nous, dans nos familles, l’une des choses qui fait le plus mal, c’est quand nous nous entendons dire : “Tu ne te soucies pas de moi ?”. C’est une phrase qui blesse et déclenche des tempêtes dans le cœur. Cela aura aussi touché Jésus, car lui, plus que personne, tient à nous. En effet, une fois invoqué, il sauve ses disciples découragés.
La tempête démasque notre vulnérabilité et révèle ces sécurités, fausses et superflues, avec lesquelles nous avons construit nos agendas, nos projets, nos habitudes et priorités. Elle nous démontre comment nous avons laissé endormi et abandonné ce qui alimente, soutient et donne force à notre vie ainsi qu’à notre communauté. La tempête révèle toutes les intentions d’“emballer” et d’oublier ce qui a nourri l’âme de nos peuples, toutes ces tentatives d’anesthésier avec des habitudes apparemment “salvatrices”, incapables de faire appel à nos racines et d’évoquer la mémoire de nos anciens, en nous privant ainsi de l’immunité nécessaire pour affronter l’adversité.
À la faveur de la tempête, est tombé le maquillage des stéréotypes avec lequel nous cachions nos “ego” toujours préoccupés de leur image ; et reste manifeste, encore une fois, cette appartenance commune (bénie), à laquelle nous ne pouvons pas nous soustraire : le fait d’être frères.
« Pourquoi êtes-vous si craintifs ? N’avez-vous pas encore la foi ? ». Seigneur, ce soir, ta Parole nous touche et nous concerne tous. Dans notre monde, que tu aimes plus que nous, nous sommes allés de l’avant à toute vitesse, en nous sentant forts et capables dans tous les domaines. Avides de gains, nous nous sommes laissé absorber par les choses et étourdir par la hâte. Nous ne nous sommes pas arrêtés face à tes rappels, nous ne nous sommes pas réveillés face à des guerres et à des injustices planétaires, nous n’avons pas écouté le cri des pauvres et de notre planète gravement malade. Nous avons continué notre route, imperturbables, en pensant rester toujours sains dans un monde malade. Maintenant, alors que nous sommes dans une mer agitée, nous t’implorons : “Réveille-toi Seigneur !”.
« Pourquoi êtes-vous si craintifs ? N’avez-vous pas encore la foi ? ». Seigneur, tu nous adresses un appel, un appel à la foi qui ne consiste pas tant à croire que tu existes, mais à aller vers toi et à se fier à toi. Durant ce Carême, ton appel urgent résonne : “Convertissez-vous”, « Revenez à moi de tout votre cœur » (Jl 2, 12). Tu nous invites à saisir ce temps d’épreuve comme un temps de choix. Ce n’est pas le temps de ton jugement, mais celui de notre jugement : le temps de choisir ce qui importe et ce qui passe, de séparer ce qui est nécessaire de ce qui ne l’est pas. C’est le temps de réorienter la route de la vie vers toi, Seigneur, et vers les autres. Et nous pouvons voir de nombreux compagnons de voyage exemplaires qui, dans cette peur, ont réagi en donnant leur vie. C’est la force agissante de l’Esprit déversée et transformée en courageux et généreux dévouements. C’est la vie de l’Esprit capable de racheter, de valoriser et de montrer comment nos vies sont tissées et soutenues par des personnes ordinaires, souvent oubliées, qui ne font pas la une des journaux et des revues ni n’apparaissent dans les grands défilés du dernier show mais qui, sans aucun doute, sont en train d’écrire aujourd’hui les évènements décisifs de notre histoire : médecins, infirmiers et infirmières, employés de supermarchés, agents d’entretien, fournisseurs de soin à domicile, transporteurs, forces de l’ordre, volontaires, prêtres, religieuses et tant et tant d’autres qui ont compris que personne ne se sauve tout seul. Face à la souffrance, où se mesure le vrai développement de nos peuples, nous découvrons et nous expérimentons la prière sacerdotale de Jésus : « Que tous soient un » (Jn 17, 21). Que de personnes font preuve chaque jour de patience et insufflent l’espérance, en veillant à ne pas créer la panique mais la coresponsabilité ! Que de pères, de mères, de grands-pères et de grands-mères, que d’enseignants montrent à nos enfants, par des gestes simples et quotidiens, comment affronter et traverser une crise en réadaptant les habitudes, en levant les regards et en stimulant laprière ! Que de personnes prient, offrent et intercèdent pour le bien de tous. La prière et le service discret : ce sont nos armes gagnantes !
« Pourquoi avez-vous peur ? N’avez-vous pas encore la foi ? ». Le début de la foi, c’est de savoir qu’on a besoin de salut. Nous ne sommes pas autosuffisants ; seuls, nous faisons naufrage : nous avons besoin du Seigneur, comme les anciens navigateurs, des étoiles. Invitons Jésus dans les barques de nos vies. Confions-lui nos peurs, pour qu’il puisse les vaincre. Comme les disciples, nous ferons l’expérience qu’avec lui à bord, on ne fait pas naufrage. Car voici la force de Dieu : orienter vers le bien tout ce qui nous arrive, même les choses tristes. Il apporte la sérénité dans nos tempêtes, car avec Dieu la vie ne meurt jamais.
Le Seigneur nous interpelle et, au milieu de notre tempête, il nous invite à réveiller puis à activer la solidarité et l’espérance, capables de donner stabilité, soutien et sens en ces heures où tout semble faire naufrage. Le Seigneur se réveille pour réveiller et raviver notre foi pascale. Nous avons une ancre : par sa croix, nous avons été sauvés. Nous avons un gouvernail : par sa croix, nous avons été rachetés. Nous avons une espérance : par sa croix, nous avons été rénovés et embrassés afin que rien ni personne ne nous sépare de son amour rédempteur. Dans l’isolement où nous souffrons du manque d’affections et de rencontres, en faisant l’expérience du manque de beaucoup de choses, écoutons une fois encore l’annonce qui nous sauve : il est ressuscité et vit à nos côtés. Le Seigneur nous exhorte de sa croix à retrouver la vie qui nous attend, à regarder vers ceux qui nous sollicitent, à renforcer, reconnaître et stimuler la grâce qui nous habite. N’éteignons pas la flamme qui faiblit (cf. Is 42, 3) qui ne s’altère jamais, et laissons-la rallumer l’espérance.
Embrasser la croix, c’est trouver le courage d’embrasser toutes les contrariétés du temps présent, en abandonnant un moment notre soif de toute puissance et de possession, pour faire place à la créativité que seul l’Esprit est capable de susciter. C’est trouver le courage d’ouvrir des espaces où tous peuvent se sentir appelés, et permettre de nouvelles formes d’hospitalité et de fraternité ainsi que de solidarité. Par sa croix, nous avons été sauvés pour accueillir l’espérance et permettre que ce soit elle qui renforce et soutienne toutes les mesures et toutes les pistes possibles qui puissent aider à nous préserver et à sauvegarder. Étreindre le Seigneur pour embrasser l’espérance, voilà la force de la foi, qui libère de la peur et donne de l’espérance.
« Pourquoi êtes-vous si craintifs ? N’avez-vous pas encore la foi ? » Chers frères et sœurs, de ce lieu, qui raconte la foi, solide comme le roc, de Pierre, je voudrais ce soir vous confier tous au Seigneur, par l’intercession de la Vierge, salut de son peuple, étoile de la mer dans la tempête. Que, de cette colonnade qui embrasse Rome et le monde, descende sur vous, comme une étreinte consolante, la bénédiction de Dieu. Seigneur, bénis le monde, donne la santé aux corps et le réconfort aux cœurs. Tu nous demandes de ne pas avoir peur. Mais notre foi est faible et nous sommes craintifs. Mais toi, Seigneur, ne nous laisse pas à la merci de la tempête. Redis encore : « N’ayez pas peur » (Mt 28, 5). Et nous, avec Pierre, “nous nous déchargeons sur toi de tous nos soucis, car tu prends soin de nous” (cf. 1P 5, 7).
La messe n’ayant pas eu lieu à cause du confinement, voici quelques photos de la chapelle St Joseph !
Merci Isabelle !
Monseigneur Nault vient bénir l’église rénovée de l’Hospitalet.
Mallefougasse-Augès est situé au pied de la montagne de Lure, sur la route départementale D951, à 25 kilomètres de Forcalquier et à 20 kilomètres de Sisteron. Le nom des habitants de Mallefougasse-Augès est Fougassais.
Un village né au Moyen Age
Le terroir de Mallefougasse trouve son origine au cœur de l’histoire médiévale de la Provence. Durant tout le Moyen Age, le terroir de Mallefougasse fut étroitement lié au diocèse de Sisteron dont les évêques, seigneurs spirituels de cette ville, prêtaient à tour de rôle serment de fidélité totale « hommage lige » aux comtes de Provence, en échange de quoi ils gardaient en gage le fief de Consonoves, alias « bosc croumpat », territoire de Mallefougasse à partir du XIXème siècle.
En grimpant au dessus du village, vous pourrez voir le chateau de Casenoves qui date des XVII° et XVIII° siècle.
L’église paroissiale Saint-Jean-Baptiste est un rare spécimen du premier art roman provençal, dont quelques parties ont été conservées. Elle est peut-être construite à l’initiative des moines de Saint-André d’Avignon, sur plan basilical. Par comparaison avec la chapelle Saint-Donat de Montfort, et malgré les changements importants opérés au XVIIe siècle, elle peut être datée du milieu du XIe siècle. Elle recèle de très belles fresques du XVIIe siècle, cachées sous des peintures du XIXe siècle. Les absidioles, minuscules, sont reliées à la nef par d’étroits passages voûtés.
Son clocher roman est inscrit depuis 1997 sur l’inventaire supplémentaire des monuments historiques.
L’église est proche du château de Consonoves (ou Consonaves), qui date des XVIIe et XVIIIe siècles. Il est construit sur l’emplacement d’une motte castrale datant du début du XIe siècle. Le bâtiment actuel date de 1551 (linteau d’une porte latérale), mais a subi des travaux conséquents au XVIIIe siècle. La façade compte un étage et un pignon, en bel appareillage de pierres plates. La terrasse permet d’admirer la vallée de la Durance et les Pénitents des Mées.
De très belles balades sont à faire autour du village, en particulier par la route pittoresque du Grand Vallat qui vous conduira jusqu’à la chapelle Saint-Donat.
Histoire
Dans l’Antiquité, le territoire de Mallefougasse-Augès fait partie de celui des Sogiontiques (Sogiontii), qui peuplent la montagne de Lure, en étant fédérés aux Voconces. Après la Conquête (campagnes de 125-124 av. J.-C.), ils sont rattachés avec eux à la province romaine de Narbonnaise. Au IIe siècle, ce peuple est détaché des Voconces et forme une civitas distincte, avec pour capitale Segustero (Sisteron).
Alors que le sud-est de la Gaule était une terre burgonde, le roi des Ostrogoths Théodoric le Grand fait la conquête de la région entre la Durance, le Rhône et l’Isère en 510. La commune dépend donc brièvement à nouveau de l’Italie, jusqu’en 526. En effet, pour se réconcilier avec le roi burgonde Gondemar III, la régente ostrogothe Amalasonthe lui rend ce territoire.
Au XIIIe siècle, l’abbaye Saint-André de Villeneuve-lès-Avignon s’est fortement implantée dans le secteur, possédant simultanément les églises d’Augès, de Consonaves et de Mallefougasse.
De la fin du Moyen Âge à la Révolution française, les trois communautés villageoises (Augès, Consonoves et Mallefougasse) relevaient de la viguerie de Forcalquier.
Augès
Au XIIe siècle, l’abbaye Saint-André de Villeneuve-lès-Avignon possédait les deux églises, haute et basse, d’Augès, dont le prieuré Saint-Georges d’Augès.
Augès est cité dans les chartes sous forme d’un castrum (lieu fortifié) entre 1225 et 1250. Il compte 62 habitants en 1765.
Consonoves
Le village le plus ancien serait situé à Consonoves : une motte castrale y est présente dès le XIe siècle (dite Consonavis à ce moment). Ce castrum s’élevait en limite ouest du territoire actuel de Mallefougasse-Augès, à 719 m d’altitude. Il en subsiste des vestiges permettant d’apprécier sa puissance, pour une fortification de cette époque : mur d’1,40 m d’épaisseur, protégeant une plate-forme de 250 m2 environ, et renforcé d’une tour. Cité une unique fois en 1045, il a pu être construit à la fin du Xe siècle. Centre administratif, probablement situé sur un itinéraire de Sisteron à Apt, c’est Consonoves qui concentre la majeure partie de la population du secteur au Moyen Âge, Mallefougasse et Augès étant des villages secondaires.
Au XIIe siècle, l’abbaye Saint-André de Villeneuve-lès-Avignon possédait l’église de Consonoves, et en percevait les revenus. Le seigneur était le comte de Provence, jusqu’à la fin du XIIIe siècle. En 1296 il cède le droit d’albergue à l’évêque de Sisteron. Mais dès le XIIIe siècle, c’est l’abbaye de Cruis qui contrôle le territoire. Au siècle suivant, elle possède le castrum. Tout au long du Moyen Âge, des conflits opposent l’abbaye, propriétaire des forêts, aux Sisteronais, qui viennent s’y fournir pour leurs différents usages (chauffage, construction, ameublement, etc.). En 1266, une sentence limite leur usage à la collecte de bois de chauffage, et quatre gardes sont recrutés pour en surveiller l’application. Les défrichements sont aussi interdits à l’abbaye de Cruis. Finalement, en 1436, les bois de Consonaves et de Bois-Crompat sont cédés à Sisteron, tandis que l’abbaye gardait les droits de justice et les terres arables.
En 1391 ou 1392, dans le contexte de la guerre de l’Union d’Aix, le castrum de Consonaves est détruit. Le site est indiqué comme déserté en 1400, et le reste jusqu’à la fin de la guerre de Cent Ans. Bien que réoccupé, il ne retrouve pas son ancienne importance : à la veille des guerres de religion, les fortifications sont toujours en ruines, et seules « six granges » (six fermes) sont habitées.
Au XVIe siècle, c’est la ville de Sisteron qui est seigneur du lieu.
La version sur la situation géographique de Consonoves est fortement remise en cause par les documents originaux trouvés par l’association Au pied du mur de Mallefougasse. En effet dans un document de 1776 signé au château de Consonoves entre Consonoves et Mallefougasse concernant les frais à payer par les habitants de Consonoves pour l’entretien de l’église, (ces derniers ne participent en rien à l’entretien de l’église de Mallefougasse), on trouve les noms des signataires au nom de Consonoves, noms que l’on retrouve dans les recensements aux hameaux de Chapelet, la Grange et les Buissières.
Mais le document le plus intéressant c’est une visite durant trois journées du terroir de Consonoves les 6,7 et 8 novembre 1721 par des estimateurs, à la demande de la Marquise Anne Daveussian, (représentée par le Sieur Giraud-Gaubert) veuve de Jean-Joseph Antoine de Glandevès Chevalier et Marquis de Niozelles, Seigneur de Pierrerue et Consonoves ses dépendances et autres places. Ce document retranscrit la visite des estimateurs pour évaluer les dégâts occasionnés par les cochons et les chèvres des habitants de Mallefougasse dans les chênaies de Consonoves, dont voici quelques détails: « au septentrion la route de Forcalquier à Sisteron, au levant la commune de Montfort, au midi la commune d’Augès et au couchant la commune de Mallefougasse les détails de cette visite permettent aussi de situer l’emplacement de l’église de Consonoves (ou il y a une vieille masure qui était autrefois l’église de Consonoves) » Consonoves se situe donc à l’est de Mallefougasse.
Mallefougasse
La localité de Mallefougasse appartient aux vicomtes de Sisteron jusqu’en 1045. La motte est d’abord partagée entre l’abbaye Saint-Victor de Marseille et les chanoines de Forcalquier, puis est donnée à l’abbaye Saint-André-de-Villeneuve-les-Avignon (1118).
L’abbaye Saint-André de Villeneuve-lès-Avignon possédait le prieurés Saint-Jean-Baptiste de Mallefougasse. L’église de Mallefougasse passe à l’abbaye de Cruis et enfin est rattachée avec cette abbaye à l’évêché de Sisteron, qui perçoivent les revenus attachés à cette église.
La communauté de Mallefougasse est complètement inhabitée au XVe siècle, et le village recréé dans la deuxième moitié du XVIIe siècle.
En 1807, le village de Consonoves (8 bastides habitées en 1698 et 56 habitants en 1806) est rattaché à Mallefougasse. Une placette derrière l’église en perpétue le souvenir.
Le coup d’État du 2 décembre 1851 commis par Louis-Napoléon Bonaparte contre la Deuxième République provoque un soulèvement armé dans les Basses-Alpes, en défense de la Constitution. Après l’échec de l’insurrection, une sévère répression poursuit ceux qui se sont levés pour défendre la République : 22 habitants de Mallefougasse sont traduits devant la commission mixte, la majorité étant condamnés à la déportation en Algérie.
Comme de nombreuses communes du département, Mallefougasse se dote d’une école bien avant les lois Jules Ferry : en 1863, elle en possède déjà une qui dispense une instruction primaire aux garçons, au chef-lieu. Aucune instruction n’est donnée aux filles : ni la loi Falloux (1851), qui impose l’ouverture d’une école de filles aux communes de plus de 800 habitants, ni la première loi Duruy (1867), qui abaisse ce seuil à 500 habitants, ne concernent Mallefougasse, et ce n’est qu’avec les lois Ferry que les filles de Saint-Lions sont régulièrement scolarisées. Quant à Augès, la commune n’ouvre d’école qu’avec les lois Ferry.
Jusqu’au milieu du XXe siècle, la vigne était cultivée dans les communes de Mallefougasse et d’Augès. Le vin produit, de qualité médiocre, était destiné à l’autoconsommation. Cette culture est aujourd’hui abandonnée. De la même façon, la culture de l’olivier, pratiquée sur de petites surfaces au XIXe siècle, jusqu’à l’altitude de 600 mètres, exceptionnellement jusqu’à 700 mètres, a aujourd’hui disparu.
En 1973, la commune d’Augès en voie de désertification fusionne avec Mallefougasse, la nouvelle commune prenant le nom de Mallefougasse-Augès. Cependant, répondant aux désirs des propriétaires des terrains, la plus grande partie du territoire de la commune, dont l’ancien chef-lieu, est rattachée à Peyruis en 1975, Mallefougasse-Augès ne conservant finalement que 111 hectares de l’ancienne commune dont elle porte le nom (situés dans le ravin des Gachen).
TOPONYMIE
les plus anciens documents mentionnent ce village sous sa forme latinisée : MALAFUGACIA. Ce nom apparaît dans les chartes ecclésiastiques attribuant l’église Saint Jean Baptiste, ainsi que les églises d’Augès, à l’abbaye Saint André de Villeneuve lès Avignon. Il s’agit des bulles et privilèges des Papes Gélase II (1118), Innocent II (1143), Alexandre III (1178) qui se copient et mentionnent toutes MALAFUGACIA.
Fugacia, qui à l’époque de la rédaction des chartes (début du XIIe siècle) désignait un lieu sauvage, réservé au gros gibier (voir plus bas dans ce texte) a été confondu par la suite avec Focacia > Fougasse, pain cuit sous la cendre : Mala focacia en 1274, cité par Louis Pelloux d’où le nom, peut-être ironique, mentionné par le même Pelloux pour 1218: Malo tortello = mauvais gâteau.
Le dictionnaire Ducange (Glossarium mediae et infimae latinitatis), donne pour Fugacia, la définition suivante (traduite car le dictionnaire est rédigé en Latin) « Portion de campagne réservée aux cerfs et aux bêtes sauvages, sans aucune clôture, gérée non pas par les lois forestières, mais par ses propres privilèges, terrain de chasse ». Ce même dictionnaire donne à l’appui de cette définition un exemple tiré de la charte de Mathilde 1ère, impératrice, par laquelle elle éleva Milon de Gloucester au rang de Comte d’Herford : « Je désire que tous les biens susmentionnés qu’il tenait de moi [il puisse en jouir] librement et paisiblement, dans les bois et dans la plaine, dans les forêts et dans les terrains de chasse, dans les prés et les pâtures… (in forestis et fugaciis, in pratis et pasturis) »
Cette référence donnée par l’ancien mais excellent dictionnaire Ducange, dictionnaire du bas latin et du latin médiéval, est précieuse car l’impératrice Mathilde a vécu de 1102 à 1167, c’est-à-dire exactement à l’époque où les papes Gélase II, Innocent II et Alexandre III faisaient don de l’église de Mallefougasse à l’abbaye Saint André de Villeneuve. (chartes de 1118, 1143, 1178)
Le sens attribué par le scribe au nom du prieuré était donc « Mauvais terrain de chasse au gros gibier ». Rien à voir avec le pain à ce moment-là ! La confusion entre fugacia = terrain de chasse et focacia= fougasse s’est produite plus tard. Mais cela ne signifie pas que ce sens soit conforme au nom véritable du lieu. La forme Malafugacia est en effet à rapprocher d’une longue série de toponymes provençaux commençant par la même racine ou ses variantes (man-, mar-, etc.) : Malijai, Mallemoisson, Malaucène, Malaussène, mais aussi Manosque, Mane, Mandelieu, etc.. Charles Rostaing écrit : « Le sens généralement admis est « montagne ». Toutes les localités ainsi nommées sont situées dans des régions montagneuses. »
Le nom de ce village pourrait se rattacher à cette racine, mais dans ce cas il reste à expliquer l’autre composante (de même époque prélatine) qui a été interprétée par le latin Fugacia. Et faute de document cette recherche est pour l’heure impossible : dans quelle langue ce nom a-t-il été créé ?
Un autre rapprochement pourrait se faire avec MALGA, toponyme fréquent dans l’Italie alpine, surtout dans les Dolomites, et qui désigne un territoire d’altitude consacré à l’élevage laitier. Mais là aussi il faut être prudent.
Enfin dernière éventualité : le recours au terme Mallus, Mallum. À l’époque franque ce terme désigne un tribunal siégeant en plein air et jugeant des affaires mineures. Il se tenait sur des espaces découverts, au centre des territoires, ou à proximité des grands carrefours, sous la présidence du comte ou de son représentant. Cette pratique est à l’origine de quelques noms de lieux : Mallemort, La Malle (près de Bouc bel Air30. Bien que le terroir de Mallefougasse ne semble pas propice à l’établissement d’un tel tribunal, ce n’est pas non plus une hypothèse à rejeter. Il faudrait cependant en trouver des traces dans les annales, ce qui n’est pas le cas actuellement.
De toutes façons cela ne pourrait expliquer que le début du nom. La fin risque de rester mystérieuse longtemps encore.
En conclusion, comme souvent en toponymie, il est difficile de donner avec certitude une explication au nom de notre village. La version que nous donnent les chartes pontificales : MALAFUGACIA = mauvais terrain de chasse a le mérite de donner un sens plausible, à la différence des explications faisant allusion au pain, mais repose sur l’idée que le terme MALA est latin, ce qui est probablement inexact. Il faudrait disposer de documents plus anciens pour pouvoir formuler une hypothèse acceptable.
Anciennes communes :
Augès, anciennement de Augeto (1274) de alvea (creux) augmenté du suffixe -ensem.
Consonoves signifierait « maison neuve ».
Retrouvez les détails des informations : https://fr.wikipedia.org/wiki/Mallefougasse-Aug%C3%A8s
Vous pouvez retrouver l’histoire du village en suivant ce lien : http://mallefougasse.chez-alice.fr/documents/histoire.html
Église sainte Anne
Pour tout savoir sur l’église de ce charmant village
https://fr.wikipedia.org/wiki/%C3%89glise_Sainte-Anne_de_Lardiers
ATTENTION:
DIMANCHE 21 JUILLET, MESSE UNIQUE DE SECTEUR à CRUIS
ATTENTION
La messe anticipée du samedi 17 aout avait été annoncée à LA ROCHEGIRON, elle sera célébrée à L’HOSPITALET
DIMANCHE 18 AOUT, MESSE UNIQUE DE SECTEUR A BANON
Journée d’adoration à l’église de Banon, de 9h00 à 18h00
La dévotion au Sacré-Cœur de Jésus a toujours constitué un aspect important de la spiritualité catholique, nourrie et soulignée par divers papes tout au long de l’histoire. Ces documents pontificaux ont apporté des éclairages théologiques et des conseils spirituels aux fidèles.
En 1899, le pape Léon XIII a publié l’encyclique Annum Sacrum, consacrant le monde entier au Sacré-Cœur de Jésus. Ce document souligne que la dévotion est essentielle pour renforcer la foi et la charité parmi les croyants. Léon XIII a souligné que le Sacré-Cœur était le symbole de l’amour illimité du Christ et une source de grâce et de miséricorde pour l’humanité. La consécration mondiale a été considérée comme un acte significatif pour relever les défis spirituels de l’époque et renouveler la vie chrétienne.
Dans son encyclique Miserentissimus Redemptor de 1928, le pape Pie XI s’est penché sur le thème de la réparation au Sacré-Cœur de Jésus. Il a souligné la nécessité pour les fidèles d’accomplir des actes de réparation pour les péchés de l’humanité, qui ont profondément blessé le Cœur du Christ. Pie XI a souligné que la dévotion au Sacré-Cœur n’est pas seulement une expression d’amour et de gratitude, mais aussi un moyen de participer activement à la rédemption par des actes de pénitence et de réparation. Cette encyclique est un appel à combattre le sécularisme et l’éloignement de la foi par une dévotion plus profonde et engagée.
En 1956, le pape Pie XII a publié Haurietis Aquas, une profonde réflexion théologique sur le Sacré-Cœur de Jésus. Pie XII a approfondi les fondements bibliques et théologiques de la dévotion, présentant le Sacré-Cœur comme le symbole ultime de l’amour rédempteur du Christ pour l’humanité. L’encyclique explique comment cette dévotion est enracinée dans l’Écriture et la tradition de l’Église et encourage les fidèles à la pratiquer avec ferveur et constance. Pie XII considérait cette dévotion comme une source de renouveau spirituel et de force pour faire face aux défis du monde moderne.
La prochaine exhortation du pape François devrait s’appuyer sur cette riche tradition, en proposant des réflexions et des conseils contemporains sur la vénération du Sacré-Cœur de Jésus.
Fête de la Famille au Bartèu
mais aussi Fête du Fromage à Banon